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poiler (se) [pwale] v. pron. (Conjug. : 1) • 1893; de éboeler (région.) « éventrer », d'apr. poil хохотать до упаду



poiler (se) [pwale] v. pron. (Conjug. : 1) • 1893; de é boeler (ré gion. ) « é ventrer », d'apr. poil хохотать до упаду

¨ Fam. Rire aux é clats. Þ se bidonner, se gondoler, se marrer.  

Ä HOM. Poê lé e, poê ler.

 

1. poilu, ue [ pwaly ] adj. • 1530; pelu XIIe; de poil 1. (- poilue) волосатый •• c'est poilu — 1) это здорово 2) это смешно 2. 1) пуалю, солдат-фронтовик (в годы первой мировой войны) 2) парень, мужик

Qui a des poils.  

Qui a des poils trè s apparents. Þ hirsute, velu. Jambes, mains poilues; bras poilus. Un homme à torse poilu. Femme trop poilue. Poilu comme un singe.  

Ä CONTR. Glabre, 1. lisse.

perdre [pDYdY] v. tr. (Conjug. : 41) • Xe; lat. perdere 1) терять, утрачивать, лишаться чего-либо; упускать perdre le temps — терять, тратить время perdre la trace [la piste, son chemin] — потерять след; сбиться с пути perdre sa peine — напрасно стараться faire perdre qch à qn — лишить кого-либо чего-либо; не дать возможности достичь чего-либо •• perdre l'usage de la parole — потерять дар речи perdre l'occasion — упустить случай perdre la tê te, perdre la boule — растеряться, потерять голову perdre le pas — сбиться с ноги perdre du terrain — отступать; терять преимущества vous n'avez rien à perdre mais tout à gagner — вы в этом деле можете только выиграть vous ne perdez rien pour attendre — вы своё получите tu n'y perds rien — ты ничего не теряешь il ne veut pas en perdre une bouché e [une miette] — он ничего не хочет упустить perdre terre — терять из виду землю 2) сбить с дороги; повести не по тому пути notre guide nous a perdus — наш гид нас повёл не туда 3) погубить, обесславить; повредить; разорить perdre qn de ré putation — погубить чью-либо репутацию perdre qn dans l'esprit d'un autre — погубить кого-либо в чьих-либо глазах 4) развратить 5) проигрывать perdre un procè s — проиграть дело; потерпеть неудачу 6) не расслышать; не понять; не увидеть чего-либо 2. ; 1) потерять, понести убыток, потерпеть ущерб perdre gros — нести большие убытки perdre sur qch — терять на чём-либо tu as perdu — ты много потерял 2) убывать (о море) 3) течь (о бочке и т. п. ) 4) терять ход (о корабле) 5) проигрывать (в игре)

(Sens pass. ) 

Ê tre privé, provisoirement ou dé finitivement, de la possession ou de la disposition de (qqch. ).  

Ne plus avoir (un bien). Perdre une somme d'argent. Perdre sa fortune, ses biens (dé truits, pris ou acquis par d'autres). Perdre sa maison dans un incendie. Absolt « On hasarde de perdre en voulant trop gagner » (La Fontaine). Perdre au jeu. Perdre sur une marchandise.  

à (Abstrait) Perdre un avantage. « on perdait sa situation, on perdait de l'argent à la Bourse, on perdait le goû t du travail » (Aymé ). PROV. Qui va à la chasse perd sa place. Perdre la confiance de qqn. « si vous ne voulez pas perdre mon estime aprè s avoir perdu mon amitié » (Balzac). Perdre son prestige, ses droits, ses illusions.  

à Loc. N'avoir rien à perdre mais tout à gagner. Tu ne perds rien pour attendre: tu n'é chapperas pas à ma revanche (formule de menace). Perdre au change*. Perdre des plumes*. — Fam. Tu n'as rien perdu en ne venant pas à cette confé rence, ce n'é tait pas inté ressant.  

Ê tre sé paré de (qqn) par la mort (cf. Ê tre en deuil* de). « Jadis, à l'â ge de vingt-cinq ans, elle avait perdu, en un seul mois, son pè re, son mari et son enfant nouveau-né »  (Maupassant). Perdre des soldats dans la bataille.  

à Ne plus avoir (un compagnon, un ami, etc. ). « je ne sais pas lequel est le plus cruel, de perdre tout à coup la femme qu'on aime, par son inconstance ou par sa mort » (Musset). « J'ai entendu dire qu'on perd une femme pour la trop aimer » (Montherlant).  

Cesser d'avoir (une partie de soi; un caractè re inhé rent). Perdre un bras, un œ il, ses dents, ses cheveux. Le chat perd ses poils. Les arbres perdent leurs feuilles. Perdre du poids, des kilos: maigrir. Perdre la parole: devenir muet. Perdre le souffle: ê tre essoufflé. À perdre haleine*. Perdre l'appé tit, ses forces, le sommeil. Perdre la vue. Perdre la vie: mourir. Faire perdre à qqn ses moyens. Þ enlever, ô ter.  

à Perdre l'esprit, la raison, la tê te, (fam. ) la boule: devenir fou. Perdre la mé moire. Perdre connaissance: s'é vanouir. Perdre courage: se dé courager. Perdre espoir: dé sespé rer. Perdre son sang-froid. Perdre patience: s'impatienter. Perdre son calme: s'é nerver. « Comment puis-je, à ces moments-là, perdre aussi complè tement tout contrô le sur moi-mê me? se demanda-t-il » (Martin du Gard). Perdre la face*. « Lentement, je perds l'habitude de l'effort » (André Gide)(cf. Se dé faire* d'une habitude). Perdre confiance. Perdre la foi.  

 à (Choses) Mot qui perd son sens. Perdre de la vitesse: ralentir. L'avion perd de l'altitude. Ç a perd de son inté rê t. Perdre une partie de sa valeur.  

Ne plus avoir en sa possession (ce qui n'est ni dé truit ni pris). Þ é garer, fam. paumer. Perdre ses lunettes, ses clé s, sa carte de cré dit. Il est terrible, il perd tout! « Parmi tant de gens dont j'avais perdu les noms, les coutumes, les adresses » (Cé line). Þ oublier. — Fam. Les touristes ont perdu leur guide.  

Laisser s'é chapper. Il perd son pantalon. Le blessé perd son sang. Þ se vider. Perdre les pé dales*. — Absolt Tonneau qui perd. Þ fuir.  

Cesser de percevoir. « Malgré son embarras, Jeanne é coutait, sans perdre une syllabe, ni une inflexion » (Romains). Il ne veut pas en perdre une bouché e, une miette*. — Loc. Perdre (qqn, qqch. ) de vue: ne plus voir; fig. ne plus fré quenter qqn, ne plus s'inté resser à lui. « Il le congé dia d'une tape amicale sur la joue en lui promettant de ne pas le perdre de vue » (A. Daudet). Il ne faut pas perdre de vue que la situation a changé. Þ oublier. Pronom. Nous nous sommes perdus de vue depuis le service militaire.  

à Mar. Perdre terre, ne plus la voir.  

Ne plus pouvoir suivre, contrô ler. Perdre son chemin, sa route. « je tremble à cette idé e horrible que je pourrais en effet perdre sa trace »  (Loti). Perdre le fil*. Y perdre son latin*. Perdre pied*. Perdre l'é quilibre. Perdre le nord*, la boussole*.  

 8¨ Ne pas profiter de (qqch. ), en faire mauvais usage. Þ dissiper, gâ cher, gaspiller.  Perdre sa peine*, sa salive*. Perdre une belle occasion de se taire*.  

à (Temps) « Edmond a l'impression de pié tiner, de perdre son temps, de ne pas avancer » (Maurois). Tu perds ton temps à essayer de le convaincre. Perdre du temps: laisser passer un temps qu'on devrait pleinement utiliser. Sans perdre une minute. Il n'y a pas un instant à perdre. Iron. Avoir du temps, de l'argent à perdre, le gaspiller pour rien. Cet é lè ve a vraiment perdu son anné e. « Oisive jeunesse À tout asservie, Par dé licatesse J'ai perdu ma vie » (Rimbaud).  

Ne pas obtenir ou ne pas garder (un avantage dans une compé tition). Perdre l'avantage.  

à Ne pas remporter. Perdre la partie. Allus. hist. « La France a perdu une bataille! Mais la France n'a pas perdu la guerre! » (de Gaulle). « Une guerre absurde, injustifié e, Jacques dit qu'elle est perdue d'avance » (Sartre). Perdre son procè s, son pari. — Absolt Ê tre le perdant. Il a perdu. Il n'aime pas perdre. Jouer à qui perd gagne.  

à Perdre du terrain: aller moins vite que son adversaire. — Fig. La Bourse perd du terrain. Þ reculer.  

Intrans. La maré e perd, faiblit. Le bateau perd, marche moins vite qu'un autre.

II¨ (Sens actif) Priver de la possession ou de la disposition de biens, d'avantages.   

Ruiner totalement. Vieilli « Il n'y a personne qu'on ne puisse perdre en interpré tant ses paroles » (Voltaire). Þ dé considé rer, fam. dé molir, dé shonorer.  

(Sujet chose) Priver de sa ré putation, de son cré dit (auprè s de qqn); priver de sa situation. Son orgueil le perdra. « Ces propos de tout le monde me perdront dans l'â me d'Alfred » (Stendhal). « Ce qui perdit Fouquet [¼ ] ce fut ce qui perdit tant d'autres hommes spirituels et habiles, je veux dire l'excè s de pré somption et la vanité » (Sainte-Beuve). — Spé cialt Faire condamner. Son té moignage l'a perdu.  

Vx ou litté r. Corrompre; rendre mauvais. « Ce sont le fer et le blé qui ont civilisé les hommes et perdu le genre humain » (Rousseau). — Relig. Damnerperdition).  

Mettre hors du bon chemin pour se dé barrasser de. Þ é garer.  Le Petit Poucet fut perdu dans la forê t par ses parents.

III¨ SE PERDRE v. pron. (XVIe).  

Ê tre ré duit à rien; cesser d'ê tre. Rien ne se perd, rien ne se cré e.  

à Ê tre perdu; cesser de se manifester, d'exister. Les traditions se perdent peu à peu. Þ disparaî tre. Le sens de ce mot s'est perdu. « La noblesse se conquiert par l'é pé e et se perd par le travail » (Hugo).  

Ê tre mal utilisé, ne servir à rien. « Il est absurde que cette é norme somme d'é nergie s'é vapore ainsi, se perde dans l'espace » (Duhamel). (Avec ellipse de se) Il finit les plats, il ne veut rien laisser perdre. Laisser perdre une occasion. Loc. fam. Il y a des coups de pied au cul qui se perdent, se dit lorsque qqn aurait mé rité une correction.  

(Aliments) Se gâ ter, s'avarier. Mange ces pê ches, elles vont se perdre. Þ s' abî mer. Laisser perdre des fruits.  

Cesser d'ê tre perceptible. Þ disparaî tre. « Elle gé mit en vain; sa plainte au vent se perd » (La Fontaine). « La plaine, en bas, se prolongeait, perdue dans les vapeurs de la nuit » (Flaubert). — Par mé taph. Les origines de la vie se perdent dans la nuit des temps. Riviè re qui va se perdre sous terre. Þ s' enfoncer, s' engloutir, s' engouffrer. « Les vertus se perdent dans l'inté rê t comme les fleuves se perdent dans la mer » (La Rochefoucauld).  

(Personnes) S'é garer, ne plus retrouver son chemin. Þ se fourvoyer, fam. se paumer. Se perdre dans un labyrinthe, en forê t, dans une ville inconnue. Un enfant qui s'est perdu. « Nulle part, dans la plaine où le regard se perd » (Hugo).  

à Fig. Se perdre dans les dé tails. Þ s' embrouiller, se noyer. Se perdre en conjectures*.  

à Ê tre incapable de comprendre, ne voir plus clair dans. L'intrigue est trop compliqué e, on s'y perd. « Plus je sonde l'abî me, hé las! plus je m'y perds » (Lamartine).  

Appliquer entiè rement son esprit à (un objet) au point de n'avoir conscience de rien d'autre. Þ s' absorber, se plonger. Se perdre dans la contemplation de qqch. Se perdre dans une rê verie, dans ses pensé es. Þ s' abî mer.  

Causer sa ruine. « tu te perdras par le bonheur comme d'autres se perdent par le malheur » (Balzac). — Vieilli Devenir mauvais, corrompu. « Il se perdait avec une femme marié e » (Flaubert).  

Ä CONTR. Acqué rir, 1. avoir , conqué rir , conserver, dé tenir, emparer (s'), gagner,  garder, obtenir, possé der, ré cupé rer, regagner, retrouver, sauver, trouver. Suivre, voir. Bé né ficier, profiter, utiliser.

perdition [ pDYdisjT ] n. f. perdiciun 1080; lat. ecclé s. perditio  

Thé ol. É loignement de l'É glise et des voies du salut; ruine de l'â me par le pé ché. É tat de perdition. — Loc. cour. Lieu de perdition: lieu de plaisir, de dé bauche. « ce thé â tre, un abî me de perditions » (Aragon).  

(XIIIe) Vx É tat de ce qui se perd, se dissipe. Þ dissipation, perte.  

à (1787) Mod. Navire en perdition, en danger de faire naufrage. Þ danger, dé tresse. — Fig. Une entreprise en perdition, qui va à la ruine, court à sa perte.  

Ä CONTR. Salut.



  

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