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Il s’agit véritablement d’un grand mystère de la création, probablement l’un des mieux gardés.Il s’agit vé ritablement d’un grand mystè re de la cré ation, probablement l’un des mieux gardé s. Une fois de plus on reconnaî t la maniè re de faire des é coles de sagesse qui ne transmettent le savoir Traditionnel que par petites touches suggestives afin qu’il ne tombe pas entre les mains des ignares et des sots.
Né anmoins, les paroles du prê tre de Sais contiennent une indication qui va nous mettre sur la voie. De maniè re judicieuse, le sage mentionne à Solon le mythe grec de Phaé ton de maniè re à orienter sa ré flexion sur la bonne voie:
Prenons par exemple cette histoire qu’on raconte chez vous. Un jour, Phaé ton, le fils du Soleil attela le char de son pè re, il mit le feu à ce qui se trouvait à la surface de la terre et pé rit lui-mê me foudroyé. Ce ré cit n’est qu’un mythe.
Le mythe de Phaé ton est donc intimement lié à la grande catastrophe cyclique. Cette fable recè le un sens caché que seuls certains sages sont en mesure de comprendre. Si à premiè re vue, on devine qu’il concerne à la fois le soleil et la destruction par le feu sur Terre, il faudra l’é tudier dans la perspective d’une inversion du sens de rotation de la Terre afin appré hender complè tement le sens de l’allé gorie. À la lumiè re des té moignages que nous ont transmis Hé rodote et Platon, on a dé jà pu dé terminer que le cataclysme du dé luge se joue en 2 é tapes correspondant au va et vient de la Terre sur son axe et qu’à la destruction du genre humain par l’eau s’ajoute ulté rieurement un ané antissement par le feu. C’est le mythe grec de Phaeton qui nous fournira l’une des clé s du mystè re de la grande catastrophe cyclique. C’est ce que l’on tentera d’é lucider par le prochain article. Puis par la suite, toujours en gardant pour ré fé rence le cadre de l’ancienne É gypte, on fera la lumiè re sur la cause sous-jacente de cet é vé nement. Et finalement, en vertu des seules donné es acadé miques, on sera mê me en mesure de faire la lumiè re sur l’ultime mystè re que repré sente l’intervalle de temps entre les catastrophes. L’embrasement du monde est consigné dans les archives de l’humanité
Grâ ce au té moignage des anciens é gyptiens on a pu dé terminer, qu’à intervalles ré guliers le sens de rotation de la Terre effectuait un va et vient causant non pas une mais 2 inondations universelles successives (Solon). Nous avons é galement vu que selon le té moignage consigné par Platon, à ces inondations s’ajoutait une destruction du genre humain par le feu. Les choses sont ainsi faites que les conditions qui autorisent la survie à l’un des cataclysmes entraî nent la mort lorsque survient l’autre. La grande inondation consé cutive au dé bordement des océ ans et des fleuves é limine ceux qui n’habitent pas dans les hauteurs. Ensuite vient la destruction par le feu qui n’é pargne que ceux qui pourront se ré fugier dans la fraî cheur des mers et des fleuves. Et d’un autre cô té, les habitants des hauteurs survivent aux inondations mais pé rissent par le feu tandis que ceux qui vivent au bord de l’eau survivent à la destruction par le feu mais pé rissent sous les flots. On peut en conclure que selon les enseignements des anciens é gyptiens, le ré sultat des 2 cataclysmes combiné s est imparable et se solde par la destruction quasi complè te du genre humain.
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