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Et en fin de compte, le chercheur ne pourra que constater que oui, il existe bien une grande catastrophe cyclique et que c’est bien à cela que l’on assiste aujourd’hui !
Le cycle du basculement des pô les dans les archives de l’ancienne Egypte! Par Elishean -mai 26, 2015 - 1531 Notre é poque est caracté risé e par une augmentation sans pré cé dent des cataclysmes en tous genres. Les super-tempé tes succè dent aux sé ismes tandis que le climat se dé traque. Mê me les mé té ores strient le ciel à un rythme jamais vu. Face à cette monté e en puissance des cataclysmes, plusieurs choix s’offrent à chacun. On peut tout d’abord se contenter du discours officiel qui veut que ce soit l’activité humaine qui en est responsable et qu’une politique de ré gulation gé ré e au niveau global serait à mê me d’en limiter les dé gâ ts. On peut é galement ê tre tenté de s’informer via les mé dias alternatifs sur internet au risque de tomber parfois sur des thé ories abracadabrantes où le ridicule se dispute à l’incompé tence la plus crasse. Reste une autre possibilité, certes trè s marginale compte tenu de l’é tat de dé cadence dans lequel se trouve l’homme moderne, celle qui consiste à é tudier soit mê me la question de maniè re rationnelle en faisant appel à l’immense base de connaissance accumulé e depuis des siè cles dans les é crits anciens. À la question de savoir si à intervalles pé riodiques, le monde est affecté par un cataclysme universel, on dé couvre une avalanche d’é crits qui attestent que ce sujet faisait l’objet d’intenses spé culations des gé né rations avant nous. Et en fin de compte, le chercheur ne pourra que constater que oui, il existe bien une grande catastrophe cyclique et que c’est bien à cela que l’on assiste aujourd’hui! Pour d’é videntes raisons, les anciens auteurs n’ont pas indiqué de date explicite mais ont laissé divers indices qui permettent de calculer assez facilement la pé riode du cycle et la date à laquelle celui-ci prendra fin. Les sources nombreuses et varié es concordent toutes pour dé signer l’é poque qui est la nô tre comme é tant la phase finale d’un cycle. C’est ainsi que les sources Traditionnelles dé signent de maniè re indirecte l’an 2000 comme le point terminal d’un cycle de 64 800 ans (le cycle des yugas), un auteur comme Ibn Khaldoun cite é galement de maniè re dé tourné e l’an 1440 du calendrier islamique (il commence en Juin 2018). Et, entre les prophé ties des indiens Hopis, celles des Mayas, celles des 3 religions monothé istes et les anciens mythes antiques, il y aurait de quoi ré diger l’é quivalent d’une encyclopé die en plusieurs volumes rien que sur ce thè me. Il est impossible de recenser la totalité des informations concernant le grand cataclysme. Tout au plus peut-on faire observer que pas moins de 272 mythes anciens ré pandus à travers le monde entier attestent d’une inondation universelle. Si on é tudie les anciens livres de gé ologie, on observera que les gé ologues ont retrouvé pas moins de 14 couches de limon superposé es qui prouvent sans conteste qu’à intervalles ré guliers, les océ ans ainsi que les cours d’eau dé bordent et inondent les plaines et les bassins. Pour celui qui veut bien se donner la peine de chercher, les sources se comptent par milliers et seule la dé gé né rescence propre à la fin du cycle actuel conjugué e à la proximité de la catastrophe, peut expliquer pourquoi aujourd’hui si peu de gens s’inté ressent à ce sujet. Aujourd’hui, on ne fera qu’effleurer la question en analysant 2 petits passages d’à peine quelques lignes mais qui contiennent cependant des informations de la plus haute importance. On retrouve là, la maniè re de faire des anciens sages qui é taient capables de dire beaucoup de choses en peu de mots, une dé marche qui se situe à l’exact opposé des penseurs modernes qui dé blatè rent à l’infini à seule fin de cacher la vacuité de leur propos. Le premier té moignage est celui du grand Hé rodote, le second nous a é té transmis par le non moins fameux Platon. Ces 2 personnages figurant au Panthé on du genre humain, il est curieux que personne ne se soit donné la peine de les analyser, à moins bien entendu qu’il y ai des sujets tabous qu’il vaut mieux é viter de divulguer au public.
Le ré cit d’Hé rodote
Hé rodote est considé ré comme le pè re de l’Histoire. Né vers 484, il est l’un des rares auteurs grecs dont l’œ uvre nous soit parvenue en entier. Il y raconte notamment ce qu’il a appris au cours de ces nombreux voyages. Dans le passage qui suit (extrait de « Histoires II » pages 142 à 147. ), il dé crit sa visite aux grands prê tres de Memphis. Ceux-ci lui dressent la liste de tous les rois qui ré gnè rent sur l’É gypte: Jusqu’à ce point de mon histoire, ce sont les É gyptiens et leurs prê tres qui avaient la parole; ils faisaient voir que, du premier roi à ce prê tre d’Hé phaistos qui ré gna le dernier, il y eut trois cent quarante et une gé né rations humaines, et, dans l’espace de ces gé né rations, autant de grands-prê tres et de rois. Or, trois cents gé né rations en ligné e masculine repré sentent dix mille ans; car trois de ces gé né rations font cent ans; et les quarante et une gé né rations encore restantes, qui s’ajoutent aux trois cents, font treize cent quarante ans. Un rapide calcul lui permet d’estimer à environ 11 140 ans la duré e totale de cette pé riode qui s’est dé roulé e sur 340 gé né rations. En outre, les prê tres é gyptiens lui affirment que durant ce laps de temps, le soleil changea à 4 reprises son dé placement dans le ciel. Par 2 fois, il s’est levé à l’Ouest, et par 2 fois il s’est couché à l’Est: Au cours de ces anné es, disaient-ils, le soleil changea quatre fois de demeures, deux fois se levant là où maintenant il se couche et deux fois se couchant là où maintenant il se lè ve, sans que rien en É gypte subî t alors de changement, ni ce que la terre ni ce que le fleuve donnait aux habitants, ni le ré gime des maladies ni les conditions de la mort. En d’autres termes, selon les annales é gyptiennes scrupuleusement mises à jour par les prê tres, la Terre aurait à 4 reprises inversé son sens de rotation en l’espace de 11 140 ans. On pourrait donc aisé ment en dé duire que ce cycle destructeur qui est celui du dé luge et qui, selon les prê tres n’aurait pas affecté l’É gypte (contrairement aux autres ré gions du monde), ne saurait en aucun cas excé der une duré e d’environ 2700 ans. On se rend compte tout de suite que quelque chose cloche avec ce chiffre puisque l’on sait avec certitude qu’il n’y a eu aucun dé luge depuis l’é poque relativement ré cente de -700 av JC. Une seconde lecture du passage en question s’impose donc tout en gardant à l’esprit que chaque mot à son importance. Les anciens prê tres é gyptiens lui ont dé claré qu’à 4 reprises le soleil changea de demeure, ce qui en d’autres termes signifie que le sens de rotation de la Terre s’est inversé 4 fois, mais ils ajoutent aussi que par 2 fois, le soleil s’est levé à l’Ouest et que par 2 fois il s’est couché à l’Est. Pourquoi une telle formulation? On fera observer qu’en cas d’inversion du sens de rotation de la Terre, le soleil se lè vera à l’Ouest et se couchera iné vitablement à l’Est. La phrase est donc redondante, la chose importante qu’il faut retenir c’est que le cycle de la grande catastrophe s’est inscrit à 2 reprises dans un intervalle de 11 140 ans et que par consé quent d’un point de vue strictement arithmé tique, il ne peut avoir une valeur supé rieure à la moitié de cette pé riode soit 5570 ans. Mais alors dans ce cas pourquoi les prê tres ont il dé claré qu’il y a eu 4 changements du sens de rotation de la Terre? L’explication logique, c’est que chaque basculement se fait en 2 é tapes, tout d’abord la Terre inverse son sens de rotation ce qui engendre divers effets né fastes qui vont du tremblement de Terre universel au dé luge dû, il faut le rappeler, au dé placement des masses d’eaux océ aniques, puis dans un second temps, elle retrouve son sens de rotation initial, ce qui donne lieu à un second dé luge! Voilà la raison pour laquelle les prê tres ont scrupuleusement noté 4 inversions au cours des 2 cycles de la grande catastrophe. Et il est vrai qu’il ne sert à rien d’anticiper cet é vé nement des millé naires à l’avance si c’est pour pé rir sous le coup de la seconde vague.
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