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4. Le droit des enfants à l’éducation et à la scolarisation



4. Le droit des enfants à l’é ducation et à la scolarisation

En ce qui concerne le droit à l’é ducation des enfants, le juge dé clare: « Les é coliers ne sont pas seulement soumis à l’obligation scolaire en vertu du droit du Land, mais ont é galement un droit lé gal à l’é ducation et à la scolarisation.

Cela dé coule é galement des articles 28 et 29 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant, qui est le droit applicable en Allemagne.

Selon ce texte, tous les É tats contractants doivent non seulement rendre la fré quentation de l’é cole primaire obligatoire et gratuite pour tous, mais aussi promouvoir le dé veloppement de diverses formes d’enseignement secondaire à caractè re gé né ral et professionnel, les rendre disponibles et accessibles (! ) à tous les enfants et prendre des mesures approprié es telles que l’instauration de la gratuité de l’enseignement et l’octroi d’un soutien financier en cas de besoin. Les objectifs é ducatifs de l’article 29 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant doivent ê tre respecté s ».

5. Ré sultat

Le juge a ré sumé sa dé cision comme suit:

« La contrainte imposé e aux é coliers de porter des masques et de se tenir à distance les uns des autres et des tiers porte atteinte aux enfants sur le plan physique, psychologique, é ducatif et dans leur dé veloppement psychosocial, sans ê tre contrebalancé e par un bé né fice plus que marginal pour les enfants eux-mê mes ou pour les tiers. Les é coles ne jouent pas un rô le important en cas de « pandé mie ».

Les tests PCR et les tests rapides utilisé s ne sont pas adapté s en soi, en principe et dans un premier temps, pour dé tecter une « infection » par le virus SRAS-CoV-2. Ceci ré sulte dé jà des propres calculs de l’Institut Robert-Koch selon les explications des avis d’experts. Selon les calculs de RKI, comme l’indique le professeur Kuhbandner, té moin expert, la probabilité d’ê tre ré ellement infecté lors d’un ré sultat positif lors d’un test de masse avec des tests rapides, indé pendamment des symptô mes, n’est que de 2% pour une incidence de 50 (spé cificité du test 80%, sensibilité du test 98%). Cela signifie que pour deux ré sultats de test rapide vrais positifs, il y aurait 98 ré sultats de test rapide faux positifs, qui devraient tous ê tre retesté s avec un test PCR.

Une contrainte (ré guliè re) de tester en masse des personnes asymptomatiques, c’est-à -dire des personnes en bonne santé, pour lesquelles il n’existe aucune indication mé dicale, ne peut ê tre imposé e car elle est disproportionné e par rapport à l’effet qui peut ê tre obtenu. En mê me temps, l’obligation ré guliè re de passer le test soumet les enfants à une pression psychologique, car leur capacité à fré quenter l’é cole est ainsi constamment mise à l’é preuve ».

Enfin, le juge note: « Sur la base d’enquê tes mené es en Autriche, où aucun masque n’est porté dans les é coles primaires, mais où des tests rapides sont effectué s trois fois par semaine dans tout le pays, les ré sultats suivants selon les explications de l’expert Prof: 100 000 é lè ves d’é coles primaires devraient supporter tous les effets secondaires du port de masques pendant une semaine afin d’é viter une seule infection par semaine.

Qualifier ce ré sultat de simplement disproportionné serait une description tout à fait inadé quate. Elle montre plutô t que le lé gislateur de l’É tat qui ré glemente ce domaine est tombé dans une dé connexion factuelle qui a atteint des proportions historiques ».

source: https: //2020news. de

via https: //www. cielvoile. fr

 



  

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