|
|||
Fig. 4. Des pins Torrey morts se découpant sur un ciel présentant des traces particulaires laissées par des avions. Photographié le 16 mars 2018, en direction de High Point Overlook dans la réserve naturelle de Torrey PiFig. 4. Des pins Torrey morts se dé coupant sur un ciel pré sentant des traces particulaires laissé es par des avions. Photographié le 16 mars 2018, en direction de High Point Overlook dans la ré serve naturelle de Torrey Pines State La Terre reç oit le rayonnement solaire de longueurs d'ondes diffé rentes et renvoie cette é nergie dans l'espace pour maintenir l’é quilibre du bilan thermique terrestre. La matiè re particulaire pulvé risé e dans les ré gions où se forment les nuages renvoie une certaine quantité du rayonnement entrant, mais en absorbe é galement une partie laquelle est transmise par collisions molé culaires à l'atmosphè re sous forme de chaleur. De plus, les particules aé riennes empê chent la perte de chaleur à la surface de la terre et, lorsqu’elles se dé posent sur la glace ou la neige, elles modifient l’albé do. Au lieu de refroidir la Terre, la matiè re particulaire pulvé risé e provoque un ré chauffement de la planè te, une circonstance paradoxale qui né cessite une enquê te.
Pour alté rer le temps et le climat, les militaires amé ricains engagent et/ou autorisent la pulvé risation de particules, inconnues du public, dans l’air que nous respirons, sans notre consentement é clairé, mais avec d’autres observations, par exemple, le document de l’armé e de l’air amé ricaine AFD-051013-001 [23. ]. Un exemple de cette matiè re particulaire pulvé risé e est illustré figure 4. Pulvé risé e dans l'atmosphè re où les nuages se forment, la matiè re particulaire ré chauffe l'atmosphè re, augmentant ainsi la pression, ce qui peut aller à l'encontre des fronts mé té orologiques naturels. Cette matiè re particulaire empê che donc les pré cipitations en interfé rant avec la coalescence des gouttelettes d’humidité, jusqu’à ce que la charge en eau devienne trop importante et se traduise par des tempê tes et des dé luges. De plus, la matiè re particulaire spé cifique est utilisé e pour que l’humidité de l’atmosphè re soit un meilleur conducteur é lectrique, et favorise l'utilisation du rayonnement é lectromagné tique.
Des analyses scientifiques ont dé montré que la matiè re particulaire dispersé e dans la basse atmosphè re é tait constitué e de cendres volantes de charbon (CVC) [24-28], le dé chet extrê mement fin et à faible teneur en cendre lé gè re provenant de la combustion du charbon industriel qui doit ê tre pié gé et sé questré selon ré glementation des pays occidentaux, en raison de sa toxicité. Nous fournissons par la pré sente des preuves supplé mentaires à l'appui de l'identification et de la prise en compte de ses effets toxicologiques, en particulier l'empoisonnement à l'aluminium, en mettant l'accent sur les pins Torrey. Les toxines de pollution particulaire en aé rosol, y compris, en particulier, les CVC utilisé es en aé rosols pour alté rer le temps et le climat. De plus, nous pré sentons des donné es d'observation indiquant un rayonnement ultraviolet plus intense du fait de la destruction de la couche d'ozone par les CVC.
2. METHODES
Les é chantillons 2018 de neige ont é té collecté s dans un nouveau ré cipient en polyé thylè ne/polypropylè ne aprè s une pulvé risation de particules aé riennes conformé ment au protocole [28]. Une aliquote (ndt: une partie) d'environ 250 ml a é té soumise à un laboratoire d'analyse certifié par spectromé trie de masse à plasma couplé par induction (ICP-MS). Le laboratoire a suivi l’un des deux protocoles - EPA 200. 7 ou EPA 200. 8 - en fonction de l'é lé ment analysé. Les mesures ont é té effectué es aprè s filtration de la solution pour pié ger les particules > 0, 45 μ m. L'é chantillon d'eau de brouillard de pin de Torrey est recueilli sur un plateau en plastique sous des branches secoué es, lors d’un é pais brouillard; une aliquote de 250 ml, a alors é té envoyé e au mê me laboratoire certifié pour l'analyse ICP-MS avec la mê me procé dure.
Les donné es de base et les donné es scientifiques sur les pins Torrey ont é té examiné es lors d’une recherche de documentation. L'é tat actuel des pins Torrey a é té é tudié par des é tudes sur le terrain, des observations personnelles, des photographies et des é chantillonnages, etc. Les arbres individuels ont é té soigneusement examiné s afin de dé tecter les dommages dû s à l'environnement et ceux dû s aux pathogè nes. Ces informations ont é té comparé es à celles d’enquê tes pré cé dentes approfondies ré alisé es par l’un des auteurs (DDW) sur les pins Torrey et à l’é tude des arbres endommagé s du sud de la Floride par un autre auteur (MW). Nous avons interpré té les donné es d'analyses dans le contexte de ces observations.
|
|||
|