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que nous croyons qu'il sera aussi impossible de prouver l'histoire de Hav-musuv que de produire un disque captif. Cependant, votre rédacteur en chef est un ami des Amérindiens depuis de nombreuses années et il a rarement vu un Indienque nous croyons qu'il sera aussi impossible de prouver l'histoire de Hav-musuv que de produire un disque captif. Cependant, votre ré dacteur en chef est un ami des Amé rindiens depuis de nombreuses anné es et il a rarement vu un Indien mentir. Il est convaincu de la sincé rité de l'histoire que nous pré sentons dans ce numé ro, et qu'elle n'a pas é té dé formé e. Qu'est-ce que ç a veut dire? Que sont vraiment les Hav-musuvs? " L'histoire des Hav-musuvs semble ê tre une «piè ce» majeure ou clé du puzzle global d'un large é ventail de phé nomè nes aé riens et souterrains qui ont mystifié de nombreux chercheurs tout au long de ce siè cle. Parmi ces phé nomè nes inhabituels, les soi-disant `` contacté s '' de Californie qui, dans les anné es 1950 et 1960, ont en fait dé crit leurs propres rencontres pré sumé es avec des ê tres `` bienveillants '' ressemblant à des humains qui ont é té vus é merger de disques aé riens, ne sont pas les moindres de ces phé nomè nes inhabituels. pas loin du tout des mysté rieuses montagnes Panamint elles-mê mes. Le dé sert de Mojave est aussi, croyez-le ou non, l'endroit mê me où William Shatner a pré tendu avoir eu sa rencontre avec un OVNI avec un `` disque argenté '', qui, selon lui, lui a sauvé la vie aprè s s'ê tre perdu dans l'é tendue d'un autre monde du Mojave, et ce long avant qu'il ne soit baptisé «capitaine» de l'USS Enterprise! Le dé sert de Mojave de Californie est en ce sens peut-ê tre l'une des ré gions les plus inté ressantes au monde alors qu'il s'agit de rencontres avec d'é tranges phé nomè nes aé riens. Dans certaines petites villes du dé sert de Californie et de Mojave, comme la petite ville d'Anza par exemple, on est plus susceptible d'ê tre qualifié de fou de NOT croire aux OVNIS qu'ils ne le sont pour y croire. Les observations ont é té si nombreuses au fil des ans que ces visiteurs aé riens sont une ré alité accepté e. La chose inté ressante, cependant, est que les deux types d'`` occupants '' les plus communé ment signalé s qui sont dé crits par des milliers de té moins avec une cohé rence remarquable dans le monde entier (en relation avec ces phé nomè nes aé riens) jouent é galement un grand rô le dans le scé nario du dé sert de Mojave. . Ce sont les deux groupes auxquels on a souvent fait ré fé rence aux «Saurian Greys» et aux «Nordic Blonds». Les deux types d '«entité s» sont apparus dans de nombreux ré cits dé crivant des rencontres non seulement avec des ê tres dits extraterrestres, mais aussi avec les ré cits moins connus - bien que persistants - des ê tres intraterrestres. Dans ce dossier, nous documenterons de nombreux ré cits qui semblent suggé rer que les `` nordiques '' pourraient ê tre nos anciens ancê tres qui, quelques milliers d'anné es avant la `` course à l'espace '' moderne, ont peut-ê tre atteint la science et la technologie né cessaires pour s'enfouir profondé ment dans le terre afin de construire de vastes mé tropoles technologiques souterraines, et peu de temps aprè s comme une fronde des profondeurs infé rieures de la terre, ils se sont peut-ê tre lancé s dans des vaisseaux spatiaux de leur propre conception à travers les profondeurs interplané taires et peut-ê tre mê me interstellaires de l'espace. L'é trange allé gation parmi les `` UFOlogistes '', cependant, est celle mentionné e par de nombreux `` contacté s '' qui pré tendent qu'une race né o-sauroï de ou reptilienne connue sous le nom de GRAYS peut avoir é té en conflit depuis des centaines, voire des milliers d'anné es, voire mê me dans tous - la guerre avec les soi-disant «nordiques» (comme nous le verrons plus loin, l'appellation «nordique» est peut-ê tre plus proche de la vé rité qu'on ne le pense). L'explication donné e par certains chercheurs quant à l'ORIGINE RÉ ELLE de cette (autre) race malveillante et pré datrice d'extraterrestres «grisâ tres» peut vous choquer! Puisque les sondages nationaux ré vè lent qu'environ 80% de tous les Amé ricains croient aux phé nomè nes connus sous le nom d'ovnis dans une certaine mesure, et que jusqu'à 2% ou 1 sur 50 croient qu'ils ont é té la cible d'un `` enlè vement '' par le mê me dans le passé, ce fichier est é crit avec l'hypothè se que le lecteur est l'un des 80% (et peut-ê tre mê me l'un des 2% qui ont une connaissance expé rientielle des phé nomè nes OVNIS). Si le lecteur croit qu'ils font partie des 20% qui ne croient pas aux ovnis et n'ont aucun dé sir de le faire, alors ce qui suit n'est peut-ê tre pas pour vous. Si l'on n'aime pas l'idé e d'avoir le «tissu» mê me de leur concept de ré alité dé chiré et tissé à nouveau, alors ils feraient bien de transmettre cette information à quelqu'un avec un esprit plus ouvert. Mais si vous dé sirez supporter avec nous, nous vous ré vé lerons les secrets caché s d'un endroit sur terre qui semble ê tre une `` porte '' vers d'autres mondes, vers des mondes et des ré alité s et des aventures qui pourraient bien faire la propre perception du lecteur de ' la ré alité 'semble absolument banale à l'extrê me... Mais si vous osez, lisez la suite: George H. Leonard, dans son livre " QUELQU'UN D'AUTRE EST SUR LA LUNE" (David McKay Co. Inc., New York., 1967), cite Morris K. Jessup (l'ufologue qui est mort dans des circonstances mysté rieuses aprè s avoir exposé le soi-disant 'PHILADELPHIA EXPERIMENT'), qui a posé la question: " Qui nous a battus sur la Lune par des centaines, voire des milliers d'anné es? " Leonard, basé sur des recherches rassemblé es par lui-mê me et certains ex-employé s de la NASA, confirme les soupç ons de certains chercheurs selon lesquels la NASA est consciente du fait qu'une race extraterrestre (les Gris, etc. ) ET une race humaine a pour des siè cles se sont battus pour la possession de la lune, que du maté riel minier a é té vu ainsi que de nombreuses autres preuves d'activité lunaire. Leonard dit: " Plus d'une... race occupe la Lune - Les traits de culture et la technologie observé s dans diffé rentes parties de la Lune varient considé rablement... il ressort du corpus de donné es fiables qu'une ou plusieurs des races (non humaines) nous regardent avec dé dain et valorise la vie humaine à bon marché ... Les races capables de se dé placer entre les systè mes stellaires... et existant sur la Lune doivent ê tre capables de nous ané antir à volonté. C'est probablement cela (compré hensible) qui PANIQUE les militaires. " M. Leonard, lors d'une de ses entrevues avec un ancien employé de la NASA qu'il appelle le Dr Sam Wittcomb (un pseudonyme pour proté ger sa vé ritable identité ), moment auquel il a montré à Wittcomb le ms. pour son livre, a appris les faits troublants suivants: "... Et Sam Wittcomb a lu mon manuscrit en brouillon, puis s'est assis à regarder dans la nuit noire. Quand il parlait, c'é tait à voix basse. Je ne l'avais jamais entendu comme ç a auparavant. 'Ils ont ré uni des scientifiques de nombreux pays. au printemps 1975. La ré union a eu lieu en Angleterre. Ils voulaient parler tranquillement des " extraterrestres" et de ce qu'ils font. Beaucoup de gens au sommet ont peur. ' Un point froid s'est formé dans le bas de mon dos. Sam s'est tourné vers moi. '' Ils ont invité un physicien du Colorado, un homme du nom de Joachim Kuetner, qui avait travaillé sur le programme Moon et savait ce qu'il y avait là -bas. Il pourrait leur en parler. À propos de la construction fré né tique et des fouilles en cours, de la pulvé risation des cratè res et du dé coupage des bords et des crê tes des cratè res Je ne sais pas exactement de quoi ils ont parlé. Mais vous pouvez parier qu'ils savent que ce n'est plus la Lune du peuple terrestre - si jamais ç a l'a é té. Il leur appartient. '" Comme nous l'avons dit, au moins une des races sur la Lune est humaine, ou identique à celles d'entre nous sur terre. Si tel est le cas, alors nous pourrions nous demander " d'où sur terre ces gens sont-ils venus, et comment sont-ils arrivé s sur la lune avant« nous »? " C'est certainement une question raisonnable. Il existe plusieurs ré cits corroborants tiré s d'anciens scripts hindous (encore une fois, comme Ripley dirait «croyez-le ou non»), que nous citerons sous peu, affirmant que les anciens GRECS avaient en fait dé veloppé des navires volants il y a des milliers d'anné es. Est-il possible que les Hav-musuvs (qui, comme nous l'avons dit, é taient peut-ê tre une race né o-grecque en raison de leur tenue vestimentaire et de leurs villes en marbre) auraient franchi la prochaine é tape logique aprè s avoir dé veloppé les voyages aé riens: c'est-à -dire tenter d'atterrir un ou plusieurs de leur genre sur la Lune... é ventuellement sur Mars... et peut-ê tre mê me plus tard sur des planè tes dans un systè me stellaire proche? Les É tats-Unis ont fait d'incroyables progrè s dans ce domaine en moins de 100 ans, grâ ce aux phé nomè nes connus sous le nom de courbe technologique (c'est-à -dire qu'un effort synchrone de la part de nombreux facteurs contributifs conduit finalement à une explosion multiplicatrice de la technologie). Si l'Amé rique a fait atterrir un homme sur la lune seulement 70 ans aprè s que les frè res Wright ont ouvert le ciel aux voyages aé riens, pouvons-nous attendre moins des Hav-musuv ou d'autres comme eux? Par exemple, la technologie dans notre socié té devient des milliers de fois plus sophistiqué e chaque anné e. Est-il possible que les Grecs de l'Antiquité ou une socié té ancienne similaire aient eu une «explosion technologique» il y a des milliers d'anné es? Si tel est le cas, il leur aurait peut-ê tre é té possible d'é tablir des bases ou des colonies sur la Lune, sur Mars et peut-ê tre au-delà! Si «nous» pouvons passer du cheval et du buggy à l'atterrissage des hommes sur la lune en MOINS de 100 ans (ou du voyage du cheval et du buggy à «l'hyperespace» en seulement 40 ans!? ) Alors combien d'exploration et la colonisation d'autres corps plané taires aurait pu avoir lieu par une race qui, il y a trois ou quatre mille ans, possé dait des engins aé riens et des technologies é gales ou supé rieures aux nô tres? Un `` contacté '', incidemment, a dé claré qu'un grand `` port spatial '' existe en fait dans un ré seau de cavernes profondé ment en dessous de la vallé e de la mort actuelle. En ré fé rence à cela, nous citerons un `` synopsis '' des expé riences du `` contacté '' bré silien Jefferson Souza, tel qu'il figurait dans un catalogue publié par la UFO LIBRARY (11684 Ventura Blvd. # 708., Studio City, CA 91604). Bon nombre des personnes mentionné es dans ce catalogue, qui propose des interviews enregistré es ou des confé rences dé crivant leurs rencontres, sont soit des `` contacté s '' qui ont eu des rencontres amicales avec les soi-disant `` nordiques '' ou des ê tres humains qui pilotent de nombreux ' artisanat; ou qui ont é té «enlevé s» par les entité s «grises» ou «sauriennes» les plus manipulatrices et pré datrices. Citant leur description des expé riences de M. Souza: «La ré action à la premiè re observation d'un OVNI est impré visible. Jeff Souza a eu son premier contact en 1979 alors qu'il n'avait que 13 ans. Le souvenir de celui-ci é tait caché dans les recoins de son esprit. Vingt contacts extraterrestres au cours des 10 anné es suivantes, jamais complè tement restauré l'image, mais ces anné es ont é té remplies d'excitation qui ont abouti à l'une des histoires de contact extraterrestre les plus inspirantes jamais enregistré es. " Le jeune Bré silien é tait doué d'intelligence et d'intuition. Il a é tudié et a ré ussi à terminer un semestre d'é cole de mé decine avant d'abandonner ses é tudes. " En contact avec deux races d'extraterrestres, Jeff les a rencontré s au Bré sil, en Argentine et aux É tats-Unis. Mais l'endroit où ils se sont produits n'a pas d'importance par rapport à la profondeur et à la capacité de faire face à ce qu'il a appris. «Les gentils VEGANS et les UMMITES, qui ressemblent à des entreprises, ont appris à Souza plus qu'il ne pourrait l'imaginer sur la technologie et la vie sur toutes les planè tes. Il a é té transporté à bord d'un vaisseau spatial par LIGHT (rayons anti-gravité? - Branton) et emmené sur d'autres planè tes et Lors d'un de ces voyages, il a subi une ré action inhabituelle - tous ses cheveux sont tombé s. Sa montre s'est cassé e à chaque contact. " Jeff Souza a é té interrogé par des experts dans le domaine des contacts avec des extraterrestres. Il a é té cliniquement ré gressé par hypnotisme au moment de son premier contact mais les ré ponses ne sont arrivé es qu'en portugais. À cet â ge, Jeff ne parlait pas anglais. " Les dé tails qu'il a appris sont impressionnants. Les ré ponses aux questions sur le temps, l'espace, la matiè re, l'é nergie, la vie et la spiritualité sont facilement sorties de sa langue. Tout cela est suscité par les contacts extraterrestres de son passé et de son pré sent. " Son interview et les dé tails enregistré s de ses nombreux contacts physiques FOURNISSENT DES INFORMATIONS INCONNUES SUR PLUSIEURS RACES EXTRATERIEUSES, Y COMPRIS LES GRIS MYSTÉ RIEUX ET MENACANTS. DE JEFF SOUZA NOUS APPRENONS LES SEPT RACES (probablement humanoï de et / ou saurien - Branton) POUR LA TERRE, UNE STATION SPATIALE SUBTERRANÉ E DANS LA VALLÉ E DE LA MORT ET SI LE SIDA POURRAIT Ê TRE GUÉ RÉ PAR DES É TRANGERS. " Il y a une derniè re pré caution de la part de ses contacts - nous devons tous apprendre les leç ons donné es à Jeff Souza parce que nous dé truisons notre planè te et si nous ne changeons pas, mê me les extraterrestres amicaux ne pourront pas nous sauver. " Nous voyons donc ici un lien dé fini entre les souterrains de la ré gion de la Vallé e de la Mort, qui serait habité e par les Hav-musuvs né o-grecs (? ) Et les socié té s humaines de `` Vega '' et `` Ummo '', qui, comme nous le verrons plus loin sur, selon d'autres contacté s, sont «fé dé ré s» avec d'autres colonies ou civilisations humaines à Tau Ceti, Epsilon Eridani, Alpha Centauri, les Plé iades et ailleurs. Bien que Jefferson Souza pré tende avoir rencontré le peuple Ummo dans des bateaux dé barqué s, les vé gé taliens sont ceux qui lui ont permis de voyager le plus souvent sur leur bateau. Ce sont é galement les vé gé taliens qui lui ont montré le complexe de base MASSIVE sous Death Valley, qui contenait des chambres de plusieurs kilomè tres de diamè tre et de nombreux secteurs compartimenté s qui avaient é té adapté s pour ré pondre aux besoins gravitationnels, atmosphé riques et environnementaux des divers repré sentants mondiaux de la Fé dé ration qui utilisent la base comme une é tape pour leurs opé rations sur terre. Apparemment, les Hav-musuvs ont é té TRÈ S OCCUPÉ S ces derniers milliers d'oreilles, si l'on en croit le ré cit de Souza. En plus de ce qui pré cè de, Souza a appris l'existence de deux autres espè ces exotiques qui sont dans une certaine mesure en conflit avec les humanoï des avec lesquels il est resté en contact. L'une d'elles comprend une race de type «insectoï de», tandis que l'autre est reptilienne. Ce dernier se compose d'une grande race «maî tresse» d'apparence trè s reptilienne-saurienne à laquelle sont subordonné s les plus petits reptiliens «Greys». Il existe au moins trois types de " Gris", selon Souza: ceux qui se reproduisent via les é closeries, ceux qui se reproduisent par clonage et ceux qui se reproduisent via la polyembryonie. On pourrait se demander: si certains de nos anciens ancê tres é taient si intelligents qu'ils pouvaient dé velopper des engins aé riens, alors où sont toutes les preuves? Les preuves sont là, mais ont é té largement ignoré es par les scientifiques orthodoxes qui ne peuvent pas inté grer l'existence de civilisations pré historiques avancé es dans leur propre cadre thé orique. Par exemple: Anciens artefacts sophistiqué s dé couverts inté gré s dans SOLID ROCK (y compris d'anciennes `` bougies d'allumage '', des cubes de mé tal, des chaî nes en or, des vases en mé tal, des clous, des vis et mê me des piles é lectriques telles que celles dé crites dans `` SECRETS OF THE LOST RACES '' de René Noorbergen - Bobbs- Merril Co., NY), ainsi que des artefacts trouvé s sur le fond de l'océ an, té moignent du fait que nos anciens ancê tres é taient BEAUCOUP plus intelligents dans le domaine scientifique que nous ne leur en attribuons le mé rite. Yves Naud, dans son livre " UFO'S AND EXTRATERRESTRIALS IN HISTORY" (Ferni Publishers, Genè ve, Suisse, 1978) dé crit un tel artefact: «En 1900, des plongeurs d'é ponges prè s d'Antikythera (Grè ce), ont trouvé des fragments rouillé s d'un appareil mé tallique sur le fond de la mer. Les scientifiques ont d'abord pensé qu'il s'agissait des restes d'un astrolabe datant de 65 avant JC En 1959, le scientifique anglais, Solla Price, a fait une dé couverte qui a stupé fié le monde professionnel lorsqu'il l'a publié e dans la revue NATURAL HISTORY de mars 1962: " 'Il semble que cet objet est vraiment un ordinateur qui peut dé terminer et dé crire les mouvements du soleil, de la lune et probablement des planè tes. ' «Cet expert moderne se sentait extrê mement humble et ne pouvait que rendre hommage à la haute science de nos ancê tres, bien que l'hommage soit teinté de peur. «'Il est assez effrayant', é crit-il dans SCIENTIFIC AMERICAN (juin 1959), 'd'apprendre que, peu de temps avant que leur grande civilisation ne s'effondre, les ANCIENS GRECS é taient aussi proches que celui-ci de notre é poque, non seulement en termes de leur pensé e, mais aussi dans leur technologie scientifique. " " Revenons au mystè re du dé sert de Mojave - il semblerait que, sur la base des diffé rents rapports (dont beaucoup nous enregistrerons plus tard), le dé sert de Mojave du sud de la Californie et les dé serts de l'ouest du Nevada puissent en fait ê tre un champ de bataille secret. 'impliquant les troupes du gouvernement amé ricain travaillant en ALLIANCE avec les races extraterrestres connues sous le nom de «Nordiques». Qui combattent-ils? Leur bataille, selon PLUSIEURS sources, est contre les «Gris» qui, au cours du siè cle dernier, peut-ê tre plus tô t, se sont retranché s sous terre dans des «bases» souterraines dans la ré gion du dé sert de Mojave et ailleurs. Tout comme le gouvernement amé ricain travaillerait avec les `` Nordiques '' basé s au mont. Shasta prè s de Weed, en Californie et d'autres dans les systè mes stellaires voisins tels que ceux mentionné s ci-dessus qui ont une base sous la ré gion de Panamint Mt. -Death Valley; leurs adversaires né o-sauriens travailleraient avec d'autres de leur espè ce au sein d'un immense ré seau souterrain centré sous le mont. Ré gion d'Archuleta prè s de la ville de Dulce dans le nord-ouest du Nouveau-Mexique (qui semble ê tre le CENTRE amé ricain d'activité en ce qui concerne les MIB ou les `` Men In Black '', les enlè vements, les mutilations, les disparitions, les observations d'entité s reptiliennes, etc. Ces `` Gris '' travailleraient pré tendument avec d'autres `` Draconiens '' qui se sont é tablis dans Alpha Draconis, Epsilon Bootes, Zeta Reticuli, Altair à Aquila, Rigel et Belletrax Orion, ainsi que peut-ê tre d'autres systè mes stellaires à PROXIMITÉ. Pourquoi cette «guerre» se dé roule-t-elle en secret? En partie parce que le gouvernement amé ricain ne croit pas que le public amé ricain puisse gé rer la vé rité. Rappelez-vous juste l'é mission radiophonique «WAR OF THE WORLDS» d'Orson Wells d'il y a tant d'anné es, et la panique qu'elle a provoqué e. En ré fé rence à Zeta Reticuli, d'où l'on dit que de nombreux Gris sont `` originaires '', Jeffrey L. Kretch, dans son article `` L'Â GE DES É TOILES À PROXIMITÉ '' (paru dans le magazine ASTRONOMY en ré ponse à l'article de Terence Eckerson de dé cembre 1974) THE ZETA RETICULI INCIDENT », dé crivant l'enlè vement de Colline, un article qui a d'ailleurs suscité plus d'inté rê t parmi le lectorat que tout autre article publié par le magazine), fait é tat des dé ficiences METAL et CARBON de ce systè me binaire. Il suggè re que la vie à base de carbone n'aurait pas pu «é voluer» dans un tel environnement, et il a peut-ê tre raison, car les «Gris» ont «dit» à certains kidnappé s qu'ils RETOURNENT ré ellement sur Terre, leur planè te natale. Nul doute qu'ils essaieront d'utiliser cet argument, mê me s'il est vrai, Ré cemment, un chercheur, KS, a é té approché par la famille d'un agent du renseignement amé ricain (OSI) du nom de «Tucker», qui avait mysté rieusement disparu. Ils é taient inquiets et effrayé s car ils avaient dé couvert, dans l'un de ses casiers personnels, PLUSIEURS papiers dé crivant des dé tails INTIMES des activité s entourant les installations souterraines de Dulce, Nouveau-Mexique et Nevada (S-4, etc. ). Parmi cette grande pile de papiers se cachait la lettre suivante, estampillé e «SECRET». La lettre, dont des copies é taient apparemment é galement entre les mains de quelques autres chercheurs, indiquait ce qui suit: " Cher John...
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