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Alors, savez-vous quelque chose sur les OVNIS?



Il y a quelques jours, je vous ai é crit une lettre dans laquelle j'ai porté à votre attention un article que vous avez placé dans la section des petites annonces du numé ro de dé cembre 1959 de SEARCH MAGAZINE. Dans cette annonce, vous avez demandé des informations sur la localisation de L. Taylor Hansen, qui avait disparu douze ans avant ce numé ro, et il aurait dé claré avoir dé couvert un arbre noir et poli, menant dans la terre prè s de Vallé e de la Mort.

" Vous vous souviendrez que j'ai mentionné qu'il é tait é trange d'avoir le poè me, 'La malé diction de Tippecanoe', ré pertorié comme é crit par Hansen si l'auteur avait disparu depuis quatorze ans. Eh bien, mon visage est vraiment rouge! parmi les plus ré cents magazines SEARCH et FLYING SAUCER, j'ai constaté qu'au cours des trois derniers numé ros de vos magazines, pas moins de cinq articles avaient é té é crits par M. Hansen. Par consé quent, je peux supposer que M. Hansen ne manque pas! excuses pour mes dé clarations irré flé chies. J'essaierai d'ê tre un peu plus complet dans mes enquê tes la prochaine fois que j'essaierai de faire une annonce qui fait trembler la terre!

" Cependant, ma seule suggestion tient toujours. Pourquoi ne pas informer tout le monde, si vous ne l'avez pas dé jà fait, de la vé ritable histoire derriè re la disparition de Hansen et sa dé couverte? Quel é tait son manche noir poli? "

La ré ponse é ditoriale de Ray Palmer à la lettre de Statler é tait la suivante:

"... Il est vrai que nous avons recherché M. Hansen pendant toutes ces anné es, et quand nous l'avons trouvé, il a eu cette remarque é nigmatique à faire concernant ses allé es et venues: " Il vaudrait mieux laisser tomber le sujet. " Cependant, M. Hansen est de retour en train de ré diger des articles pour nous, et pas seulement cela, mais nous avons un manuscrit de livre en cours de production - un sur l'Atlantide et un sur la Lé murie. ils ré pondront à de nombreuses questions sans ré ponse concernant M. Hansen et son mysté rieux silence de douze ans. "

Comme nous l'avons vu dans le Hav-musuv et les ré cits connexes, les socié té s technologiques caché es descendant de la Grè ce antique ou d'autres socié té s anciennes, peuvent trè s bien avoir é tabli des voyages aé rospatiaux il y a plusieurs centaines, voire quelques milliers d'anné es.

En supposant cela, une fois que les voyages aé riens ont é té accomplis par des races anciennes telles que celles dé crites par Oga-Make, William Hamilton et d'autres, le voyage «spatial» serait la prochaine é tape logique. Il y a des indications que les Hav-musuvs n'ont peut-ê tre é té que l'un des nombreux anciens groupes `` terriens '' à dé couvrir `` l'é nergie libre '' propulsion (é lectromagné tique), et ils n’ont certainement pas é té les derniers. Le problè me est, lorsqu'un segment de la race humaine, une cabale scientifique par exemple, tombe sur le secret de la propulsion é lectromagné tique (ou mê me des entraî nements d'é nergie atomique, mercure, ionique ou tachyon - les tachyons é tant une particule plus rapide que la lumiè re reconnue par le quantum physiciens), ils ont tendance à s'isoler de l'humanité dominante. Selon divers té moignages, cela é tait gé né ralement fait par crainte que leurs technologies soient volé es et utilisé es à des fins destructrices. fins. Ce n'est qu'au cours des derniers siè cles que ce `` techno-impé rialisme '' de la part des fraternité s scientifiques secrè tes s'est affaibli, car les masses globales de l'humanité ont exigé leur `` part '' du `` gâ teau '' technologique, et avec elle elles ont aussi a reç u le cô té le plus sombre de la technologie - mitrailleuses, missiles, armes atomiques - les œ uvres.

Habituellement, l'homme a une vision mé fiante envers son prochain, ce qui est compré hensible, et cela a apparemment conduit de nombreuses cultures souterraines à dé velopper leurs technologies en secret. Certaines socié té s caché es telles que le MIB ou `` Men In Black '' ont é té particuliè rement dé fensives contre l'intrusion et ont utilisé un type de `` terrorisme psychologique '' afin de garder leurs secrets caché s à ceux qui sont en surface, surtout maintenant que les technologies du ' Les socié té s internationales sont de plus en plus raffiné es. Cette attitude dé fensive et cette paranoï a de la part du MIB pourraient s'expliquer par leur propre culpabilité qui dé coule de leurs anciennes associations avec les races de serpents, et du contrô le mental ulté rieur que les reptiliens ont é tabli dans leur propre socié té et dans d'autres socié té s `` collaboratives ''. Beaucoup de MIB ' cependant sont prisonniers d'influence environnementale et ne peuvent ê tre condamné s pour ê tre «né s» dans une telle socié té (nous nous ré fé rons ici au MIB «humanoï de», bien que des «hommes en noir» androï des et mê me reptiliens aient é galement é té rencontré s). On ne sait pas combien de fois un tel scé nario (d'une socié té dé couvrant l'utilisation de l'é nergie é lectromagné tique et se dé connectant par la suite de la socié té dominante) a suivi son cours au cours des millé naires.

Quant aux `` Men In Black '', qui, selon des chercheurs comme John Keel sont une socié té secrè te `` semblable aux Illuminati '' qui pourraient collaborer avec les malveillants (reptiliens), leurs automobiles noires ont é té vues entrer et sortir des zones souterraines, comme pour exemple - selon un té moin - une montagne particuliè re prè s d'une route qui relie Hopland à Lakeport en Californie, une route sur laquelle de nombreuses automobiles, y compris des vé hicules du gouvernement, auraient disparu au fil des ans.

Les Haï tiens se ré fè rent à ces grosses automobiles noires, qui ont parfois é té vues «apparemment» fonctionnant sans conducteur visible, comme les «Zobops». Les haï tiens superstitieux, dont beaucoup adorent eux-mê mes le vaudou et le serpent, se ré fè rent aux Zobops comme à une race de sorciers, et ajoutent que si l'on voit l'une de ces grandes automobiles noires fonctionner apparemment sans chauffeur, il vaut mieux la laisser tranquille. Comme nous l'avons suggé ré, il existe é galement de nombreux cas qui suggè rent que bon nombre des soi-disant «hommes en noir» ne sont pas du tout humains.

Mais qu'elles soient bonnes ou mauvaises, il y a apparemment de nombreuses socié té s - beaucoup d'entre elles trè s avancé es sur le plan technologique et beaucoup d'entre elles trè s anciennes - qui se sont caché es des socié té s de surface dominantes, encore une fois pour des raisons bienveillantes ou malveillantes. Il y a, en fait, des preuves que de telles cultures anciennes de haute technologie existaient dans les temps anciens:

Yves Naud, dans son livre " OVNIS ET EXTRATERRESTRIELS DANS L'HISTOIRE", enregistre des comptes rendus ré els d'anciennes usines de mé tallurgie, ainsi que des preuves documenté es que les anciens connaissaient trè s bien les sciences atomiques. Il dé clare que: " ... La fabrication d' objets mé talliques (une forme trè s avancé e de mé tallurgie serait né cessaire dans la construction de machines ou d'engins aé rospatiaux - Branton)pré suppose l'existence d'usines approprié es. Malgré le fait que l'esprit moderne se retire de cette conclusion, nous sommes obligé s d'accepter les preuves. Le Dr Korin Meguerditchian, a mis au jour une fonderie où les Anciens travaillaient le cuivre, le plomb, le zinc, le manganè se, l'acier, etc. Les scientifiques qui doutaient de l'existence de hauts fourneaux ont dé sormais des preuves maté rielles: vingt-cinq de ces constructions ont é té dé couvertes, mais on calcule qu'il doit y en avoir eu au moins deux cents... "

Ces anciens scientifiques, comme nous l'avons indiqué, semblent é galement avoir fait des efforts persistants pour cacher leurs connaissances aux personnes irresponsables, bien que certaines de ces anciennes connaissances soient apparemment tombé es entre de mauvaises mains, si l'on en croit certains ré cits d'explosions nuclé aires anciennes. Yves Naud ré vè le: «On retrouve à nouveau des traces des sciences atomiques antiques en Inde. Les traité s Brahman VAISESIKA et NYAYA, le livre sacré YOGA VASISTHA, parlent tous de la structure de la matiè re: « Il y a de vastes mondes dans les vides de chaque atome, aussi diversifié e que la poussiè re dans les rayons du soleil.

«É tant plus sages que nous et conscients du danger que repré sentait la force atomique, les Anciens n'ont divulgué aucun des secrets de cette science aux profanes, afin que l'atome ne soit pas utilisé à des fins destructrices. des pé ché s », é crivait un Chinois, il y a mille ans ou plus, « pour ré vé ler le secret de notre art aux soldats ».

«Les anciens connaissaient l'atome, mais é taient-ils capables de produire une explosion atomique? Les scientifiques se sont longuement interrogé s sur cette question jusqu'à la dé couverte du DRONA PARVA, un texte hindou qui raconte l'explosion d'une bombe atomique:

" Un projectile flamboyant avec l'é clat d'une flamme sans fumé e, a é té lancé. Une grande obscurité a soudainement obscurci le ciel. Les nuages ​ ​ ont tonné dans l'air le plus é levé, libé rant une averse de sang. par la fiè vre.

"... Le physicien, Frederick Soddy, demande: 'Dans ces vieux contes, ne pouvons-nous pas voir une justification de la croyance que les repré sentants anté rieurs d'une race d'hommes oublié e n'ont pas seulement atteint le niveau de connaissance que nous avons si ré cemment atteint, mais mê me un pouvoir que nous n'avons pas encore? En effet, des traces de radioactivité ARTIFICIELLE ont é té dé tecté es dans diverses parties du monde au cours de fouilles dans des sites antiques. En Inde, un squelette a é té exhumé qui a ré vé lé une forte intensité de radioactivité. Cela tendrait à confirmer la thé orie des explosions atomiques dans la pré histoire. " M. Naud conclut.

Daniel Cohen, dans son livre " THE ANCIENT VISITORS" (Doubleday & Co. Inc., New York. 1976), relate é galement un ré cit tiré d'un texte ancien concernant ce qui aurait pu ê tre un engin aé rien dé veloppé par une ancienne race: " Un numé ro des é popé es anciennes de l'Inde contiennent des descriptions de chars volants enflammé s. Il y a des lignes comme celle-ci, 'Bhima a volé avec son Vimana sur un rayon é norme qui é tait brillant comme le soleil et faisait un bruit comme le tonnerre d'une tempê te. ' "

Yves Naud a raconté encore d'autres ré cits suggé rant que les anciens Terriens avaient en fait tenté de voyager dans l'espace... avec succè s:

" UN CHINOIS SUR LA LUNE 4300 ANS AVANT LES RUSSES ET LES AMÉ RICAINS - Les anciens peuples, utilisant leurs connaissances astronomiques, ont peut-ê tre pu se lancer dans l'exploration de l'espace. " 'Le chemin é tait long, et comme enveloppé dans les té nè bres '', explique Chu Yan, un poè te chinois du IIIe siè cle av. J. -C. La tradition chinoise raconte l'extraordinaire aventure de Hou Yih, ingé nieur de l'empereur Yao, qui a dé cidé, il y a 4300 ans, d'aller sur la lune avec un 'oiseau cé leste ». Au cours du vol, l'oiseau indiquait au voyageur les mouvements exacts du lever, de l'apogé e et du coucher du soleil. Hou Yih expliqua par la suite qu'il «remontait le courant d'air lumineux». Ce courant aurait-il pu ê tre l'é chappement d'une fusé e? «Il ne percevait plus le mouvement rotatif du soleil, fait remarquer le narrateur. En effet, les astronautes contemporains ont noté que, dans l'espace, il n'é tait pas possible de discerner le passage diurne du soleil. Et qu'a observé l'ingé nieur chinois sur la lune? Il a vu «un horizon qui paraissait figé ». Pour se proté ger de l'air glaciaire, il construisit le «Palais du grand froid». Sa femme, Chang Ngo, est partie le rejoindre sur le satellite, qu'elle a dé crit comme " une sphè re lumineuse, brillante comme du verre, d'une taille é norme et trè s froide". " Palais du grand froid. Sa femme, Chang Ngo, est partie le rejoindre sur le satellite, qu'elle a dé crit comme " une sphè re lumineuse, brillante comme du verre, d'une taille é norme et trè s froide". " Palais du grand froid. Sa femme, Chang Ngo, est partie le rejoindre sur le satellite, qu'elle a dé crit comme " une sphè re lumineuse, brillante comme du verre, d'une taille é norme et trè s froide". "

Si l'un de ces vols vers la Lune ré ussit, nous devons supposer que beaucoup d'autres ont suivi. En fait, Yves Naud cite une autre lé gende ancienne de Chine qui suggè re qu'à un moment donné, une grande `` course spatiale '' pour explorer et coloniser les planè tes voisines é tait une ré alité, et qu'à la suite d'une race perverse de troglodytes, le monde a é té plongé dans l'obscurité. â ges qui ont conduit à une perte presque complè te de contact et de communication entre les colons des autres plané taires et le monde antique. Citant la lé gende:

"... Les Mao-tse é taient une race perverse qui s'é tait ré fugié e dans les cavernes. On dit que leurs descendants vivent encore dans les ré gions pé riphé riques de Canton. Puis, sous l'influence de Tchu-Yeo, ils ont semé le trouble partout. le monde, et il est devenu envahi par les bandits. Le seigneur Chan-Ty (un roi de la soi-disant dynastie «divine») a vu que le peuple avait perdu tout vestige de vertu. Et il a donc ordonné à Tchang et Lhy de couper toute communication entre le ciel et la terre. A partir de ce moment-là, il n'y eut plus de monté e ni de descente. "

En relation avec ce qui pré cè de, ce n'est peut-ê tre pas une coï ncidence que John A. Keel dé clare aux pages 93-94 de son livre 'THE MOTHMAN PROPHECIES' (Signet Books, NY, é dition de poche 1975) ce qui suit concernant certains té moins d'OVNIS: " ... Dans certains cas, des lettres anciennes comme le grec ou le chinois apparaissent sur l'objet. L'effet est le mê me. Des mois, voire des anné es, plus tard, le mê me percipient peut à nouveau voir les mê mes chiffres ou lettres sur un objet... "

À partir du texte ancien, le BRIHAT KATHA , nous lisons comment les anciens habitants de l'INDE é taient conscients de l'engin volant QUI AVAIT É TÉ DÉ VELOPPÉ PAR CERTAINS GRECS qui é taient trè s possessifs de leurs connaissances scientifiques et mé caniques. Dans l'ancien ré cit, nous lisons:

" Padmavit explique que la reine Vasavadotta souhaite voler dans un char pour visiter les (autres parties de) la terre. Vasantoke, le maî tre du divertissement, a é claté de rire et lui a dit: 'Les servantes du roi ont exactement le mê me dé sir. Je leur ai dit de suspendre une balanç oire entre deux poteaux hauts et de s'en servir pour aller et venir dans les airs. Et si la reine souhaite ces voyages aé riens, alors elle doit se contenter de la mê me faç on! Tout le monde s'est mis à rire, mais Rumanavit a interrompu: " C'est assez plaisant", a-t-il dit, " maintenant regardons les faits. " " Nous parlons dans le vide", interrompit Yangandharayame. " C'est un problè me pour les artisans. "

" Rumanavit a convoqué les charpentiers et leur a donné une injonction stricte de construire une machine volante à la fois. Le corps des artisans s'est ré uni et aprè s une longue pé riode de remue-mé nage dans un effort pour é viter tout le problè me, ils ont finalement envoyé leurs dé lé gué s, tremblant de peur. , pour trouver Rumanavit. «Nous connaissons quatre sortes de machines, lui dirent-ils, celles en eau, celles en air, celles en poussiè re et celles composé es d'un grand nombre de piè ces. Mais en ce qui concerne les machines volantes. sont concerné s, nous n'en avons mê me jamais vu. Les Yavanas (Grecs) sont ceux qui les connaissent.

" Puis un brahmane a parlé d'un charpentier, Pukrasaka, à qui le roi avait parlé de l'existence d'un certain Vicvita, qui é tait monté sur un coq mé canique. Les ambassadeurs é trangers ont chuchoté: 'Nous ne devrions jamais ré vé ler le secret des machines volantes. à qui que ce soit, qu'il soit artisan ou autre. C'est trop difficile à comprendre pour quelqu'un qui n'est PAS GREC.

«Tout à coup, un é tranger (un Grec? ) Est apparu. Il a demandé à Rumanavit de lui fournir le maté riel né cessaire, et il a construit un char volant sous la forme de Garuda (l'aigle au corps humain, le coursier de 'Vishnu'). Il é tait orné de fleurs. La reine et son mari ont fait le tour du monde puis sont retourné s dans leur ville... "

Ce ré cit, comme nous pouvons le voir, indique que les ANCIENS Indiens de l'Est et les Grecs é taient des allié s et travaillaient ensemble au dé veloppement des engins aé riens. Cela pourrait-il expliquer l'implication apparente des cultures né o-grecques, et peut-ê tre «indiennes» et mayas en relation avec les civilisations humaines vivant dans les diffé rents systè mes de cavernes sous la Californie?

Il y a d'autres indications en plus de celles que nous venons de mentionner qui suggè rent que les Grecs de l'Antiquité é taient trè s impré gné s des sciences intellectuelles et utilisaient ces connaissances pour explorer les ré gions inconnues. Est-il possible qu'avant l'effondrement de l'empire grec, certains membres de cette socié té aient continué à perpé tuer leur propre version de leur civilisation dans des avant-postes é loigné s sous ou au-delà de la terre? Selon l'histoire et la prophé tie judé o-chré tiennes (livre de Daniel), quatre «empires» mondiaux suivraient leur cours avant que le Messie lui-mê me ne ré gnâ t finalement en tant que roi d'un royaume incorruptible. Le premier é tait l'empire babylonien, le second é tait l'empire mé do-perse, suivi de l'empire grec qui soumettrait «la face de la terre entiè re» (voir: Daniel 8: 5, 21). Le dernier empire serait le plus grand, Empire. Il s'é lè verait et ré gnerait sur les nations, puis `` tomberait '' dans un sens tout en conservant un contrô le considé rable sur le monde `` religieux '' (Apocalypse ch. 17-18), puis ressusciterait dans un empire à `` 10 cornes '' gouverné par une contrefaç on. Messie.

L'idé e que l'empire grec a fonctionné «sur la surface de la terre entiè re» pourrait ê tre significative si l'on considè re que les «Hav-musuvs», par exemple, é taient lié s à la Grè ce antique. Quant à la nature hautement intellectuelle des Grecs, cela a é té confirmé par l'apô tre Paul, qui a allé gué que lors de sa visite à Athè nes, en Grè ce, "... les Athé niens et les é trangers qui é taient là ont passé leur temps dans rien d'autre, mais soit à dire, ou entendre quelque chose de nouveau. " (Actes 17: 21). En fait, lorsque nous considé rons la possibilité qu'une ancienne race semblable à la Grè ce ait dé veloppé des voyages aé rospatiaux il y a des milliers d'anné es et que nous comparons cela avec des ré cits modernes d'OVNIs humains, il y a des indications qu'un lien entre les deux peut ê tre trouvé. De nombreux historiens modernes attribuent nos sciences actuelles aux philosophes grecs antiques. Pourtant, lorsque les â ges sombres de l'inquisition romaine sont arrivé s, ces sciences ont é té supprimé es. Mais que se passerait-il si, comme certains le suggè rent, certaines des premiè res socié té s scientifiques philosophiques-fraternelles grecques dé couvraient pour elles-mê mes des demeures caché es loin de l'oppression de la socié té dominante et continuaient à dé velopper leurs sciences avec la liberté et la cré ativité que seules de telles colonies caché es pouvaient offrir?

Un ré cit trè s inté ressant, qui semble indiquer que les socié té s humaines de haute technologie sur et à l'inté rieur de la terre ont en fait colonisé d'autres corps plané taires il y a des milliers d'anné es, a é té publié dans le magazine SEARCH. L'article, intitulé " BRACE YOURSELVES", a é té é crit par un ancien employé de la NASA qui s'est identifié uniquement comme " The Doc". Son ré cit est paru dans le numé ro d'hiver 1988-1989 de ce magazine. Cet ancien employé de la NASA a raconté au dé but de l'article deux choses trè s remarquables qu'il avait entendues alors qu'il travaillait à la NASA. L'un d'eux comprenait la dé couverte que la surface du soleil n'é tait peut-ê tre pas une ré gion d'activité thermonuclé aire continue comme on le croyait gé né ralement. Au lieu, les scientifiques avaient dé couvert qu'il s'agissait essentiellement d'une formidable dynamo ou sphè re é lectromagné tique qui à son tour gé nè re les champs é lectromagné tiques des planè tes. En d'autres termes, il semblait ê tre plus une gigantesque «lumiè re» ou «sphè re» é lectrique qu'un gigantesque ré acteur thermonuclé aire, bien que les ré actions nuclé aires puissent jouer un rô le, mais pas autant que beaucoup le croient.

Certains ont allé gué que la `` chaleur '' ressentie par l'orbe solaire à la surface d'une planè te n'est pas tant dé terminé e par leur proximité avec le soleil, mais plus par la quantité et le type d'atmosphè re avec laquelle les radiations et les rayons solaires interagissent pour produire du frottement. et la chaleur. En termes simples, le soleil n'est pas «chaud» au sens où la plupart le croient, mais les é ruptions solaires et les explosions qui se produisent à la surface du soleil sont plus compatibles avec d'é normes «arcs» é lectriques qu'avec des explosions nuclé aires. L'autre `` ré vé lation '' qu'il a reç ue d'autres employé s de la NASA é tait que la marine amé ricaine effectue depuis plusieurs anné es des voyages de reconnaissance-observation ré guliers pour surveiller les `` villes-bulles '' extraterrestres au fond de l'océ an.

Quelques anné es plus tard, alors qu'il pratiquait la mé decine homé opathique à Phoenix, Arizona en 1984, 'The Doc' a rencontré un jeune homme qui é tait venu dans son bureau chercher des 'photos d'OVNI' qu'il avait prê té es à un autre mé decin lors d'une pré cé dente visite. L'ancien employé de la NASA a entamé une conversation avec le jeune homme. Voici un extrait de la conversation qui a eu lieu entre le jeune homme et «The Doc» lors de cette visite. Le jeune homme a dit, aprè s avoir parlé à ' The Doc' des photos:

" Alors, savez-vous quelque chose sur les OVNIS? "



  

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