Хелпикс

Главная

Контакты

Случайная статья





  naissance de l'art dramatique.



                 naissance de l'art dramatique.

                          Le thé â tre de l'é glise

La plus grande partie du thé â tre mé dié val est repré senté e par le thé â tre de l'é glise. Le drame de l'é glise (drame liturgique) vient du chant liturgique appelé «trope». Ce sont des courtes sé quences versifié es dialogué es entre deux parties du chœ ur qui, avec le temps, commencent à ê tre exé cuté es par les individus autres qu'eux-mê mes.

L’é volution de la liturgie au XIe-XIIe siè cle apporte le renforcement de l’é lé ment dramatique. La liturgie change de forme en passant d'une liturgie de participation (où tous les fidè les prennent part à l'action commune) à une liturgiecentré e sur l'officiant (les fidè les deviennent des spectateurs passifs). L’office pascal s'enrichit de nouveaux é pisodes (arrivé au tombeau d’autres personnages é vangé liques) ou mê me des é pisodes qui n'apparaissent pas dans les Evangiles (comme celui du marchand de parfum qui propose ses aromates aux saintes femmes). D'autres fê tes aussi donnent lieu à la dramatisation, comme par exemple le cycle de Noë l (adoration des bergers, adoration des mages, massacre des innocents); on voit aussi apparaî tre des jeux dramatiques en l'honneur de saints.

                                                          

                            LE THEATRE

Notre pays est riche en thé â tres. Par exemple, parmi les thé â tres qu’il y a à Moscou il faut citer le Grand Thé â tre (le Thé â tre Bolchoï ), le Thé â tre d'Art, le Petit Thé â tre (le Maly Thé â tre), le Thé â tre de la Satire, le Thé â tre Vakhtangov, le Thé â tre de Marion­nettes, et d'autres. Les thé â tres jouent chaque soir. La plupart des thé â tres donnent des repré sentations appelé es matiné es. A Moscou les spectacles commencent à sept heures et finissent à neuf heures et demie ou à dix heures. Pour savoir ce qu'on joue on consulte les journaux et les affiches.

Les piè ces de thé â tre sont de caractè res trè s diffé rents. On joue (repré sente) des tragé dies, des comé dies, des tragi-comé dies, des drames, des opé ras, des opé ra-comiques, des opé rettes, des ballets.

Les piè ces se divisent en actes, les actes, en scè nes. L'in­tervalle entre deux actes s'appelle entracte. Pendant l'en­tracte on va au foyer.

Un coup de sonnette annonce le commencement de la piè ce. En France on frappe trois coups, puis le rideau se lè ve.

La premiè re repré sentation d'une piè ce se nomme une premiè re. Quand une piè ce a du succè s, elle est applaudie, les acteurs et les actrices sont rappelé s. Quand la piè ce ne plaî t pas, elle fait four. Quand on veut entendre ré pé ter une scè ne, on crie « bis ».

Pour savoir les noms des acteurs on achè te un programme. Le programme indique le titre de la piè ce et son auteur, les personnages et leurs interprè tes.

Les Russes aiment beacoup le thé â tre. Chaque soir à la porte de. thé â tres les enthousiastesinterpellent les passants pour leur domander s'ils n'ont pas un billet de trop. Ils s'arrachent les billets pour voir une premiè re ou une piè ce qui obtient un grand succè s.

Arrivé au thé â tre on va tout d'abord au vestiaire pour se dé barrasser de son pardessus, ou de son manteau et pour louer une jumelle. Devant la glace on se donne le dernier coup de peigne. Une ouvreuse conduit les spectateurs à leurs places. Enfin, la derniè re sonnerie retentit. Les retardataires s'é lan­cent vers la salle, car personne n'a le droit d'y pé né trer du­rant le spectacle (la repré sentation).



  

© helpiks.su При использовании или копировании материалов прямая ссылка на сайт обязательна.