Le top 10 des États avec le plus de bétail.

En janvier 2019, le Forum é conomique mondial a publié son rapport de 33 pages « Amé liorer la traç abilité des chaî nes de valeur alimentaires grâ ce aux innovations technologiques » dans le cadre de leur « Grande ré initialisation », en collaboration avec McKinsey & Company.

« La quatriè me ré volution industrielle est en train de transformer les systè mes alimentaires sous nos yeux. Mais nous ne pouvons pas tenir ses avantages pour acquis, en particulier dans les pays en dé veloppement où la chaî ne de valeur est dominé e par les petits agriculteurs et les petites et moyennes entreprises alimentaires. Il est maintenant temps d'examiner les technologies é mergentes et de nous demander ce que nous pouvons faire, du cô té des politiques et du plaidoyer, pour nous assurer qu'elles orientent le monde vers un dé veloppement inclusif et durable. – Juergen Voegele Directeur principal, Pratique mondiale de l'alimentation et de l'agriculture, Banque mondiale

Dans ce rapport, ils pré cisent que « les technologies de traç abilité é mergentes pourraient ê tre un outil puissant pour les petits producteurs; cependant, sans les voies approprié es pour passer à l'é chelle, il existe un risque que ces producteurs soient laissé s pour compte en raison des coû ts initiaux et des exigences opé rationnelles. Le dé veloppement ré ussi de la traç abilité né cessite une collaboration multipartite pour relever les dé fis de traç abilité uniques auxquels sont confronté s les diffé rents acteurs de la chaî ne de valeur.

Il s'agit de contrô ler les agriculteurs, les é leveurs et la chaî ne d'approvisionnement alimentaire - tout au long de la chaî ne jusqu'à la nourriture à laquelle vous avez accè s. Chaque ê tre humain, chaque animal, chaque vé hicule, chaque morceau de nourriture, chaque produit que vous achetez et mê me votre compte bancaire seront suivis et surveillé s. Vous ne pourrez mê me pas aller aux toilettes sans qu'ils le sachent, car vos maisons sont é quipé es d'appareils intelligents partout où vous vous tournez. Dé barrassez-vous des appareils intelligents et relâ chez l'emprise de la technologie sur votre esprit.

Les graphiques WEF « Great Reset » sont assez vastes et trè s ré vé lateurs. Ils dé composent le « avenir de l'alimentation » avec « l'inclusivité agricole » qui pointe directement vers « l'é conomie numé rique et la cré ation de nouvelles valeurs ». Selon vous, qu'est-ce qu'une « cré ation de valeur »? Ils veulent é galement une « infrastructure numé rique pour tous » avec une « identité numé rique ». Commencer à voir l'image? Continuez à cliquer sur chaque sujet pour voir le pouvoir et le contrô le infinis qu'ils souhaitent avoir sur le monde, dans plus de 200 graphiques.

Un laboratoire de recherche sur les maladies animales en biosé curité de niveau 4 arrive au Kansas

L'USDA fera croire à tout le monde qu'il s'agit de « proté ger l'approvisionnement alimentaire et la santé publique du pays », comme indiqué dans son annonce de la nouvelle installation nationale de bio et d'agro-dé fense (NBAF) à Manhattan, au Kansas. Le BSL-4 Plum Island Animal Disease Center, supervisé par le DHS, dé mé nage au Kansas sous le nouveau nom NBAF et sera dé sormais dé tenu, gé ré et exploité par l'USDA. La nouvelle installation de 1, 25 milliard de dollars est en cours de construction sur le campus de Manhattan de l'Université d'É tat du Kansas, à cô té du Biosecurity Research Institute de l'université, et devrait ê tre opé rationnelle en 2023, la mê me anné e où ils souhaitent une conformité totale avec les puces RFID.

Le centre de recherche sur les maladies des animaux NBAF sera le seul endroit aux É tats - Unis où les scientifiques vont é tudier la maladie vivant de la fiè vre aphteuse dans l' é levage, qui a é té accidentellement libé ré sur Plum Island en 1978. Ils seront é galement en train d' é tudier les maladies mortelles zoonotiques qui sont trè s contagieuse, peut se propager entre les humains et les animaux, et qui n'ont pas de vaccins ou de traitements connus.

Le Kansas a é té choisi en 2008, parmi six sites potentiels, malgré le fait que le Government Accountability Office a mené une é tude concluant que « le DHS n'a ni mené ni commandé d'é tude pour dé terminer si des travaux sur la fiè vre aphteuse (FA) peuvent ê tre effectué s. en toute sé curité sur le continent amé ricain …. Par consé quent, le GAO pense que le DHS ne dispose pas de preuves permettant de conclure que le travail contre la fiè vre aphteuse peut ê tre effectué en toute sé curité sur le continent amé ricain. Bien que l'emplacement, en gé né ral, ne confè re aucun avantage dans la pré vention d'un rejet, l'emplacement peut aider à pré venir la propagation d'agents pathogè nes et, par consé quent, une é pidé mie ré sultante s'il y a un rejet. É tant donné qu'il existe toujours un risque de rejet de toute installation de confinement biologique, la plupart des experts avec lesquels le GAO s'est entretenu ont dé claré qu'un emplacement insulaire peut fournir une protection supplé mentaire.

Un autre é chantillon de virus alarmant hé bergé dans ce laboratoire est la peste bovine (peste bovine)

Il existe actuellement 27 institutions qui s'accrochent au virus vivant connu sous le nom de peste bovine (peste bovine). Le dernier cas connu s'est produit au Kenya en 2001 et a é té dé claré é radiqué en 2011, mais l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) affirme que le virus est stocké dans de trop nombreux endroits et qu'il existe un risque que quelqu'un le libè re accidentellement, ou mê me le fasse. donc exprè s. L'OIE a essayé de convaincre les centres de recherche de dé truire les é chantillons car s'ils é taient libé ré s, ce serait dé vastateur. La peste bovine est une maladie virale hautement contagieuse du bé tail, en particulier des bovins et des buffles, avec un taux de mortalité é levé. La peste bovine n'a pas é té connue pour infecter les humains.

L'OIE et l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture ont dé signé cinq centres de recherche comme emplacements autorisé s pour le stockage du virus. Devinez quel centre de recherche amé ricain a fait la coupe? Le Plum Island Animal Disease Center, qui dé mé nage au Kansas.

Le Dr Hamilton, qui travaillait auparavant pour l'OIE, ainsi que pour le gouvernement britannique, a publié cette enquê te en dé cembre 2015 selon laquelle l'Animal Disease Center devrait conserver un é chantillon du virus, deux mois seulement aprè s avoir occupé un poste nouvellement cré é à la Kansas State University. en tant que nouveau directeur exé cutif des programmes internationaux, qui comprend les programmes de sé curité sanitaire mondiale et la ré duction des menaces biologiques.

Quelle est l'importance du bé tail au Kansas?

Le top 10 des É tats avec le plus de bé tail.

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