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Klaus Schwab, le sabbatéenKlaus Schwab, le sabbaté en Klaus Schwab est issu d’une famille « juive »[48] de collaborateurs nazis. Le groupe qui contribua le plus à la cré ation de son Forum É conomique Mondial est le Club de Rome, dont les valeurs « humanistes » sont bien connues: Le Club de Rome et Klaus Schwab partagent é videmment les mê mes valeurs, ainsi que tous les grands philanthropes milliardaires de notre temps, ce qui illustre bien le principe d’inversion é noncé plus haut. Cela nous renvoie directement à la kabbale. En effet, dans son é tude du messianisme sabbaté en, Gershom Scholem nous dit: Le rê ve sabbaté en de « ré volution gé né rale », é voqué par l’auteur, ressemble fort au projet de Klaus Schwab: un grand « reset » gé né ral pour « balayer le passé d’un seul coup et reconstruire le monde ». Schwab, l’é lu de Satan, usurperait alors la fonction du Cré ateur pour reconstruire le monde « en mieux » (« build back better »). [52] 666, la marque dé posé e Ce n’est pas un hasard si Microsoft a dé posé un brevet transhumaniste, dont le numé ro contient la marque de la bê te, [53] car le symbolisme est important chez les kabbalistes. L’internet des « corps »[54] marqué s et contrô lé s par l’IA est la vision de Schwab pour la nouvelle humanité. Celle-ci sera, non seulement diminué e numé riquement, mais aussi spirituellement, car l’â me qui aspire à Dieu ne peut que dé plaire à son maî tre. Maintenant que la science possè de les moyens techniques de la juguler, la mise en garde de Rudolf Steiner, qui, en 1917, nous disait qu’un vaccin, qui effacerait toute aspiration à la spiritualité, pourrait ê tre mis au point, ne doit pas ê tre é carté e. La science de la gé né tique est sans doute beaucoup plus é volué e que ce que nous pouvons imaginer. Les premiè res expé rimentations gé né tiques sur le VMAT2, qu’on a appelé « le gè ne de Dieu », [55] remontent dé jà à une vingtaine d’anné es. Ne sous-estimons pas les possibilité s actuelles ré sultant des connaissances et des technologies de la gé né tique d’aujourd’hui. [56] On peut remarquer ici que mê me Orwell, dans sa vision du futur, n’avait pas anticipé la dimension purement dé moniaque du projet. Sa vision d’un totalitarisme policier ou militaire absolu a, en comparaison, quelque chose de presque idyllique. En effet, vivre dans ce monde transhumain, où Klaus Schwab nous promet que grâ ce à l’implant d’une puce é lectronique dans le cerveau, nous pourrons apprendre une langue é trangè re par simple té lé chargement, é quivaudra à vivre dans un monde d’automates humanoï des, un monde sans humanité. Devenir des objets biologiques connecté s en permanence, avoir toutes nos donné es biologiques et mentales, allant mê me jusqu’à nos pensé es les plus intimes, stocké es dans une banque de donné es, avoir une mé moire é ditable par l’IA, ne plus jamais avoir la possibilité d’ê tre seul, un instant, avec soi-mê me, avoir comme seule â me, un systè me d’exploitation de Microsoft, actualisé sans cesse par le dernier vaccin obligatoire, pour nous automatiser toujours davantage, me semble ê tre une vision dantesque de l’enfer, que le poè te florentin, à son é poque, ne pouvait encore concevoir.
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