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Fusion électromagnétique et technologie spatiale




Robert Stanley Parlez-moi de la lettre " Disclosure", " ré vé lation" (des activité s occultes) du Gouvernement" que vous faî tes circuler.

David Adair Le contenu de cette lettre se base sur une sé rie d'é vé nements qui se dé roulè rent alors que je té moignai pour la premiè re fois en 1997 devant le Dr Steven Greer....

Ce que nous voulons est trè s simple: une audition devant une commission d'enquê te parlementaire qui garantira aux agents secrets une immunité totale par rapport à la Loi sur la sé curité nationale (ndtr: loi trè s stricte qui punit de trè s lourdes peines tout employé du gouvernement qui pourrait ê tre suspecté de livrer des informations jugé es confidentielles).

Le Dr Greer nous a affirmé qu'il disposait de plusieurs centaines de té moins.

Je sais qu'il ne jette pas un é cran de fumé e sur ce sujet parce qu'en 1971, j'ai vu de nombreuses personnes travailler sur " ces choses".

A l'Area 51? (ndtr: base ultra secrè te situé e dans le dé sert de Nevada à proximité de Las Vegas).
Bien entendu.

J'ai vu ces gens travailler dans des bases souterraines sur diffé rents types de vaisseaux et tenter de copier la technologie de pas mal de trucs.

Je crois qu'il y a des gens qui ont passé 30 ans et plus à travailler sur ce genre de projet.

Imaginez alors ce qu'ils pourraient nous dire!

Mais plus important encore, ils pourraient nous dire qui les paient et qui signent les chè ques.

Donc vous voulez que les enquê tes et les auditions se fassent au vu du grand public?
Absolument.

Je veux ré ellement que le monde puisse entendre ce que ces ingé nieurs trè s informé s (ndtr: hardcorescientists scientifique du noyau dur) ont à dire.

Vous m'avez affirmé lors de notre entretien pré paratif que cet é vé nement allait radicalement changer nos vies et que nous pourrions alors inté grer certains é lé ments de ces technologies avancé s dans nos infrastructures?
Certainement mais le fait de dé mê ler la combine ne va pas sans poser des problè mes.

Je me souviens que lorsque j'é tais à l'Area 51, je fus emmené par un bureau qui jouxtait les hangars et laboratoires pour me voir enfermer dans un local.

C'est à cet endroit que j'attendis le gé né ral Curtis LeMay jusqu'à ce qu'il vienne me chercher.

Mais j'eus les temps d'apercevoir ces gens en train de travailler lorsque je traversais ces couloirs et ces bureaux.

Attendez un instant! Vous affirmez que le Gé né ral Curtis LeMay est venu personnellement vous chercher?
Oui.

Si vous lisez son ouvrage autobiographique " l'aigle de fer", vous verrez qu'il é tait un ancien commandant du SAC (Strategic Air Command).

Le gé né ral Curtis LeMay, retraité depuis 1965, dé cé dé le 3 octobre 1990.

Le gé né ral LeMay fut le 5iè me chef d'é tat-major de l'Us Air Force".

Vous verrez é galement qu'au dos de son livre, il parle de ses parents.

Ils vivaient en Ohio à Mont Vernon.

J'ai vé cu é galement à Mont Vernon lorsque je construisis ma premiè re fusé e à fusion.

Je faisais la premiè re page du journal local.

Comment cela s'est-il passé?

Parce que l'infirmiè re de ses parents n'é tait autre que ma mè re, Evangeline Adair.

Quelle é trange coï ncidence!
Oui et c'est par ce biais que Adair vint à personnellement me connaî tre.

Et quand notre repré sentant parlementaire local commenç a à financer ma seconde fusé e, le journal local " Mount Vernon News" eut vent de l'histoire.

C'é tait le vé hicule le plus rapide jamais construit sur terre.

Est-ce la photo de cette seconde fusé e que je suis en train de regarder?
David: Ouais, j'ai conservé pas mal d'histoires que les journaux ont imprimé es à mon sujet.

J'é tais financé par le sé nateur John Ashbrook.

Il é tait pré sident du comité du Congrè s sur la sé curité inté rieure.

C'est un lieu de pouvoir trè s puissant.

Il sié geait é galement auprè s des comité s parlementaires sur l'é ducation et le travail et c'est par le dé partement de l'é ducation qu'il finanç a mes travaux.
Et lorsque soudainement, l'Air Force se manifesta pour inspecter ma seconde fusé e, ils é taient devenus complè tement fadas des formules et du prototype que j'avais construit à partir de pas grand-chose.

Ils savaient que je tenais quelque chose et de ce fait, ils financè rent mes recherches via la NSF (National Science Foundation).

Ce fut à partir de là que ma mè re fut concerné e par l'histoire parce que les gens du gouvernement se mirent à vé ritablement s'impliquer dans nos vies.

Elle se rendit chez le Gé né ral LeMay pour lui parler.

Curtis aimait vraiment beaucoup ma mè re et lorsqu'il vit les articles de journaux, il vint me parler.

Plus tard, il s'entretint avec le parlementaire Ashbrook.

Et la prochaine chose qui me frappa, c'est lorsque LeMay me dit: " David, je vais ê tre ton pote, je vais ê tre ton chef de projet" .

Et de toute é vidence, ce fut la meilleure chose qui pouvait m'arriver parce que bien plus tard, je dé couvris que LeMay avait sauvé mes fesses.

Voilà une puissante protection
David: Ouais mais le plus inté ressant, c'est qu'un enquê teur a ré ussi à sortir les anales parlementaires concernant le sé nateur Ashbrook de la bibliothè que et a pu de ce fait trouver toute cette documentation.

L'enquê teur fut choqué de voir que je disais en fait la vé rité.

Dans une lettre, j'expliquai à l'Air force que sans les composants é lectroniques et les bonnes formules pour ramener à une plus petite é chelle et à une taille plus modeste l'engin que j'é tais en train de construire, j'aurais vraiment besoin d'une sacré ment grande fusé e pour y mettre le moteur que j’avais conç u et c'é tait vraiment un sacré gros moteur.

Par la suite, je mis la main sur une fusé e ICBM (ndtr: intecontinentalballistic missile) de type Titan 3 que j'avais sorti de la naphtaline et qui fut donné e au Centre pour la science et l'industrie en Ohio.

Ils ont bien entendu vidé tout le carburant de cette chose et l'ont rangé dans une zone de stockage adé quate.

Mais elle é tait prê te à fonctionner.

Je pus disposer de la fusé e Titan aprè s un certain temps d'attente.

A cette é poque, je reç us par le biais de mes rê ves tout un tas d'informations qui me permirent de reconfigurer le moteur de la fusé e dans des dimensions plus pratiques, plus ergonomiques.

Tout le monde appré cia cette diminution de taille parce qu'il faut s'imaginer que dé mé nager une fusé e de type Titan 3 n'est pas une mince affaire, c'est haut comme 30 é tages.

Mais aprè s que je leur expliquai que j'avais ré duit la taille de mon moteur afin qu'il fonctionne dans un engin de 12 pieds de hauts (+/- 4 mè tres); je dus tout construire à partir de rien.

Est-ce que vous ne m'aviez pas dit qu'il y avait en fait deux fusé es?
Oui, vous avez raison.

Il y avait deux de ces prototypes.

Il y eut celui qui fut exposé lors d'un salon scientifique et puis, il y en eut un second qui ne fut jamais montré au public.

Je suppose que c'est le modè le " furtif" et indé tectable qui est resté secret?
Tout à fait.

Nous avons construit un modè le pour les gens du voisinage afin qu'ils puissent se rendre compte de ce sur quoi on travaillait.

Il faut dire que les gars de l'Air force venait chez moi tous les jours pour travailler.

Ils avaient enlevé leur uniforme et se baladaient en short et en tee shirt ce qui fait que les gens pensaient que c'é tait juste des gars normaux spé cialisé s dans ces trucs de fusé e et qu'ils venaient m'aider, un point c'est tout.

De ce fait, lorsque les gens de la ville voisine sont venus me voir, ils ont juste pensé: " Les gars, il est en train de nous en construireune grande cette fois".

Mais en fait, on avait deux prototypes en production.

J'en avais conç u un pour remporter le concours de la foire scientifique mais ce que je vous montre là, sur ce cliché, c'est le plan du modè le que nous avons utilisé pour dé passer le simple stade du prototype.

Et il a fonctionné parfaitement.

Tout cela constitua mon entré e dans le monde des activité s secrè tes...
Toute la documentation que je vous montre ici, je l'ai emmené e avec moi au Congrè s....

Je ne voulais pas vraiment té moigner parce que je frô lais vraiment la ligne de dé marcation des secrets de la Sé curité Nationale.

Cependant, je peux vous raconter l'histoire suivante uniquement parce qu'elle se passait alors que je n'avais que 17 ans.

Et selon la Constitution, le gouvernement fé dé ral n'a pas le droit de faire signer à un mineur d'â ge un serment de confidentialité et de respect de la Sé curité Nationale.

Un jour, StromThurman me dit la chose suivante: " vous ê tes le gars le plus incontrô lables que nous avons dans nos rangs, mon garç on" (ntdrhe's a loosecannon se traduit par " il est impré visible donc je traduis you are the biggestloosecannon on the deck par vous ê tes le gars le plus incontrô lables... )

Mais revenons à votre expé rience à l'Area 51 avec le gé né ral Curtis LeMay.
OK. Bon, en fait, ce qui s'est passé est somme toute assez simple.

J'ai cassé ma propre fusé e.

J'ai saboté ma fusé e aprè s qu'elle a atterri sur l'Aire 51.

Je l'ai fait exploser en un million de piè ces.

Et lorsque j'ai vu cet autre moteur là en dessous, dans les souterrains, j'ai compris aprè s quoi ils é taient lorsqu'ils s'inté ressaient à mon propre moteur.

De quel autre moteur parlez-vous?
D'un moteur à fusion é lectromagné tique confiné e... parce que ce truc, c'est tellement rapide, tellement puissant.

Il n'y a rien de comparable.

Les moteurs à carburant liquide ou solide sont comme des Ford T que l'on comparerait à des moteurs de Lamborghini.

Cette chose dé colle à une vitesse tellement incroyable.

Il passe de zé ro à 13. 000 km/h en 4, 6 secondes.

Cela va tellement vite qu'on ne peut pas la voir.

Cela va à une telle vitesse à partir d'un point de dé part fixe?
Oui. Vous ne pouvez mê me pas la voir passer.

C'est comme si l'on essayait de voir une balle quitter le canon d'un fusil.

Oui, c'est impossible de voir cela à l'œ il nu.
David: Tout à fait.

De ce fait, tout le monde a pensé sur le site de lancement que la fusé e avait explosé.

J'avais construit une grosse partie de la structure avec du titane que nous avons renforcé par du carbone et de l'inconel (??? ).

Nous avons incorporé à cette fusé e tous les maté riaux connus pour leur solidité et leur lé gè reté.

A cause de la force G (gravité ) extrê me produite au lancement, tout ce qui se trouvait à l'inté rieur de la fusé e s'est dé formé.

Oui mais le moteur é tait toujours intact lorsque la fusé e a atterri sur
l'Aire 51?

Exactement.

La fusé e est descendue avec un parachute.

Mais là où l'histoire devient bizarre, c'est qu'il y avait beaucoup de monde qui est intervenu.

Le gars par exemple qui é tait responsable de mon projet; c'é tait vraiment un sale type.

Un vrai mauvais.

Le Dr Wherner Von Braun m'avait averti.

Je connaissais Von Braun quand j'é tais gosse parce que je travaillais dé jà trè s jeune sur des fusé es au dé but des anné es 70 au moment où des hommes marchaient sur la lune.

A une heure et demie de voiture de chez moi vivait Neil Armstrong qui habitait à Wapakenneta.

Sa mè re -Viola elle s'appelait- et moi, nous nous sommes lié s d'amitié.

Elle é tait une sorte de seconde mè re pour moi, on se voyait tout le temps et je pouvais donc voir Neil é galement.

Souvent d'ailleurs, je me rendais chez eux, je passais devant Neil sans y prê ter attention parce que c'est Viola que je venais voir.

Et Neil appré ciait cela, le fait que je ne sois pas inté ressé par sa cé lé brité et que j'aimais tout simplement sa mè re.

Neil é tait un homme trè s renfermé qui vivait comme un ermite. ..

Car lorsqu'il il est revenu de sa mission sur la lune, il avait d'une certaine faç on litté ralement disparu.
Quoi qu'il en soit, parce que je me trouvais dans ce genre d'environnement, je fré quentais des fê tes dans lesquelles é taient invité s toute l'é quipe d'Apollo VII et Werner Von Braun.

C'est comme ç a que j'ai croisé la route de ces gens et que je me suis mis à les fré quenter.

Bon, pour revenir à ce que je disais, Von Braun m'avait averti, au cours de mes travaux sur les fusé es que je pourrais rencontrer un homme -un certain Dr Arthur Rudolph- et que je devais vraiment m'en mé fier parce qu'il s'agissait d'un homme dangereux.
Le Dr Rudolph é tait l'architecte en chef des moteurs des Saturnes 5 et des fusé es Apollo à destination de la lune.

Il arriva aux USA avec Von Braun et d'autres scientifiques allemandes grâ ces l'opé ration Paperclip. Rudolph avait le plein grade de Colonel dans la Gestapo.

Il a tué personnellement des centaines de juifs pendant la guerre lors de la construction des fusé es V2 à Peenemü nde.

Si vous faisiez une erreur, il vous enroulait un câ ble autour du cou et vous pendait, exposant votre corps à la vue de tous.

Lui et ses SS vous faisaient avaler aussi de l'eau et de la sciure de bois pour couper la faim et vous remplir simplement l'estomac jusqu'à ce que vous mouriez sur place de faiblesse.

On vous remplaç ait ensuite avec des personnes encore fraî ches.

Et ce type a é té dé coré de la mé daille du " the Most distinguished Service", la plus haute ré compense accordé e par la Nasa.

Le 25 mai 1984, le Mossad a capturé le Dr Rudolph.

Il fut dé porté de l'aé roport de Los Angeles (LAX) à Munich en Allemagne où il mourut au cours de son emprisonnement.
Quoi qu'il en soit, le gé né ral LeMay m'avait envoyé de Mount Venon en Ohio à la base de Wright Patterson, Ohio é galement où se trouve le quartier gé né ral du Sac, le Straté gic Air Command.

A partir de là, je fus embarqué avec ma fusé e et quelques colonels à bord d'un avion de transport C141 pour voler jusqu'à la base de White Sands (ntrd: en Californie).

Peu aprè s notre arrivé e à White Sands, un DC 9 noire se montra.

LeMay m'avait dit que si cet avion pré cis se montrait, j'allais avoir de vrais problè mes.

Des types avec des lunettes aux verres ré flé chissants en costumes deux piè ces descendirent de l'avion.

Parmi eux, il y avait un petit gars qui portait un uniforme kaki.

Je savais que c'é tait le Dr Rudolph parce que le Dr von Braun m'avait montré une photo de l'homme.



Le Docteur Rudolph


Robert: Et pour qui travaillait le Dr Rudolph?
David: Je n'en suis pas certain.

Une de ces agences gouvernementales au nom compliqué; une soupe de lettres de l'alphabet.

Mais au dé part, il travaillait pour la Nasa.

Dè s qu'il sortit de l'avion il me demanda de voir la fusé e.

Quand je lui demandai qui il é tait, il me ré pondit: " oh, je suis juste un type qui inspecte les fusé es pour le gouvernement".

Alors, je lui demandai s'il travaillait pour la Nasa et il me ré pondit qu'il n'avait jamais travaillé pour eux.

Ensuite, il se dirigea vers ma fusé e et ouvrit le panneau laté ral derriè re lequel se trouvait le moteur.

Il commenç a à murmurer pour lui-mê me à baragouiner quelque chose et il semblait vraiment é nervé.

Il pensait probablement que j'avais construit quelque chose qu'il estimait impossible.

Donc, je saisis l'opportunité de me pencher vers lui et de lui murmurer à l'oreille: " Est-ce que vous savez que proportionnellement à sa taille, ce moteur est 10. 000 fois plus puissant que le F1 é quipant les fusé es Saturne 5, Dr Rudolph? ".

Il se releva, vraiment en colè re et voulut savoir qui j'é tais vraiment et comment j'en savais autant.

Je lui ré pondis alors: " Oh moi?

Je suis juste un gamin qui lance des fusé es dans des pré s à vaches de l'Ohio". (Rires).

Quoi qu'il en soit, j'avais autour de moi des amis, des colonels de l'Air Force que le gé né ral LeMayavait dé signé pour prendre soin de moi.
J'entrai dans une vive colè re lorsque Rudolph me dit qu'il voulait changer sur ma fusé e ses coordonné es d'atterrissage.

Pour ce genre de truc, c'é tait vraiment un sale type.

Le systè me de navigation que j'utilisais é tait du genre standard que l'on trouvait facilement.

C'é tait à cette é poque un systè me totalement analogique (ndtr: non numé rique).

Donc je l'avais programmé pour que la fusé e revienne dans un rayon de 3 kilomè tres à partir de son point de dé part.

Le Dr Rudolph m'a fait reprogrammer les coordonné es de faç on à ce que la fusé e puisse atterrir à 456 miles (environ 684 km) au Nord-Ouest de White Sands dans un lieu que l'on appelait Groom Lake dans le Nevada.
Bon, je pris immé diatement mes cartes gé ographiques, j'examinai Groom Lake et je pensai: " Oh mon Dieu, Pourquoi est-ce que nous lanç ons cette fusé e dans le lit d'un lac assé ché au tré fonds du Nevada?

C'est si loin de tout"

C'est à ce moment que le Dr Rudoplh s'é cria: " Obé i tout simplement".

L'homme é tait vraiment hostile, agressif.

Il est vrai que Von Braun m'avait mis en garde à de multiples reprises que si j'é tais confronté au Dr Rudolph, je n'avais pas inté rê t à me faire remarquer.
Bon, je ré introduisais de nouvelles coordonné es sur le systè me de navigation, on lanç a la fusé e qui dé colla parfaitement.

Et elle arriva sur cible sans problè mes, c'est une certitude.

Vous savez, jusqu'à la vision du film Independance Day, je n'avais jamais entendu parler de l'Aire 51.

Comment c'est possible?
Je connaissais juste cet endroit, Groom Lake.

C'est le seul nom dont j'avais entendu parler en grandissant pour dé signer cet endroit.

Donc, nous é tions prê ts à nous embarquer dans l'avion pour ré cupé rer la fusé e lorsque je dis: " Vous avez vu le train d'atterrissage en caoutchouc de notre appareil?

Est-ce que vous pourriez ê tre assez aimable pour m'expliquer comment nous allons poser cette chose sur le fond d'un lac assé ché?

Cette chose va tout simplement s'empê trer dans le sol pour ne plus jamais le quitter".

Quelqu'un me cria dessus en me demandant de la boucler et grimpa dans l'avion.
On arriva dans le Nevada aprè s un moment et alors que nous survolions le site d'atterrissage, je regardai attentivement ces doubles pistes de 15. 000 mè tres de long et je dis: " Bon Dieu; il y a une é norme base la dessous! "
Donc, on s'est posé sur ce lieu qui n'est pas supposé exister sur aucune carte et c'est à ce moment-là que je me suis vraiment inté ressé par ce qui arrivait.

Je commenç ais d'abord par repé rer les insignes et emblè mes classiques de la Navy et de l'Air Force, bref toutes formes de logo qui pourraient identifier l'autorité en charge de cet endroit mais il n'y avait rien, nulle part, sur aucun bâ timent.

D'habitude; les peintures standards universelles que l'on trouverait sur un châ teau d'eau qui borde le terrain d'une base aé rienne se pré sentent sous la forme de motifs en forme d'un damier avec une alternance de couleur blanche et orange.

Mais ici, tout é tait peint en blanc uni ou en noir uni.

Tout cela ne se conformait à aucun code connu.
Aprè s ê tre sorti de l'appareil, on s'embarqua sur une sorte de voiture de golf, cela ressemblait à ces voitures é lectriques que l'on trouve dans certains aé roports.

De la piste, nous roulâ mes vers une sé rie de hangars pour finalement nous diriger vers celui du centre.

La faç on dont cet endroit é tait construit é tait vraiment trè s cool.

Il y avait par exemple au sommet des hangars toutes ces é normes lampes dont les ouvertures se dirigeaient vers le sol en y envoyant des flots de lumiè res.

Quand on s'approchait des bâ timents, ils avaient l'air vieux et miteux mais lorsqu'on mettait le nez dessus, c'é tait fait d'un alliage, lisse comme n'en avais jamais vu auparavant.

C'é tait une sorte de revê tement de mé tal type inoxydable incroyablement pur, immaculé qui me semblait tout à fait inhabituel dans la construction de bâ timents de cette taille.
Lorsque l'on pé né tra dans l'un de ces hangars, on se rendit dans le sous-sol.

En ré alité, nous roulâ mes à l'inté rieur mê me du hangar où il y avait de petites lampes clignotantes et ces é normes portes.

Du sol, sortaient tous ces petits piquets qui é taient raccordé s entre eux avec des chaî nes qui bloquaient la porte d'accè s.

Ensuite, soudainement, ce fut tout le sol -de la taille d'un terrain de football- qui doucement se mit en mouvement pour descendre.

Le hangar tout entier avait é té conç u comme un gigantesque ascenseur.

Donc; cela ressemblait plus à un pont hydraulique comme on en trouve
dans les garages?

Oui mais cela avait é té construit pour supporter le poids trucs vraiment colossaux.

Le sol é tait fait de bé ton.

Dieu seul sait quel poids ce truc pouvait supporter.

Cette é norme structure montait et descendait sur d'immenses vis sans fin.
Robert: Je vois.

Ce systè me est plus stable que le systè me hydraulique
David: Il n'y a rien de mieux pour ré sister à une lourde charge qu'une vis sans fin.

Ces vis avaient la taille de sé quoias gé ants et il y en avait au moins 12 pour faire marcher l'ascenseur. On descendit d'au moins 60 mè tres jusqu'à ce que nous nous trouvâ mes pile poil au mê me niveau que le sol d'un hangar souterrain qui é tait immense.

Il y avait d'é normes arches pour soutenir le plafond mais surtout, cet hangar é tait si vaste, si profond, si grand qu'on en voyait pas la fin.

Cela allait à l'infini.

Je me suis dit: " Mon Dieu, on pourrait ranger une centaine de 747 là -dedans et ils ne seraient mê me pas dans le chemin".

A ce moment de la visite, je demandai: " mais bon sang, qu'avez-vous pu bien faire des gravats et de la terre pour creuser tout cela? ".

Ils m'ont juste regardé bizarrement.

Je pense qu'ils ne s'attendaient pas à ce que je me pose ce genre de question.
Il y avait des murs de 10 mè tres de haut derriè re lesquels on pouvait trouver des ateliers et des laboratoires et pé riodiquement, on pouvait voir d'é normes, vraiment d'immenses quais de construction. On a continué à rouler dans le hangar en passant devant toutes sortes d'avions comme je n'en avais jamais vu.

Il y en avait certains que j'avais dé jà vu comme le XB-70.

Cet endroit a é té creusé dans la terre ou dans le rocher?
Je n'en sais rien.

Tout é tait revê tu d'une sorte de cé ramique.
Robert: Je croyais qu'il y avait des montagnes qui entouraient ce lac assé ché?

Ces montagnes doivent vraiment ê tre trè s dures, trè s solides?
David: Ouais. Il y a toutes les sortes de montagnes dans ces environs.

Mais je n'ai jamais vu de " terre" parce que tout é tait bé tonné et qu'il y avait une sorte de revê tement en cé ramique, quelque chose de ce genre.

Mais la chose la plus intrigante à mon sens à propos de tout cela é tait de voir à quel point les souterrains é taient VRAIMENT bien é clairé s.

Il n'y avait aucune ombre, nulle part.

Mais il n'y avait aucun dispositif d'é clairage, aucune lampe non plus.

Je me suis demandé comment ils avaient pu gé né rer une telle lumiè re.

Et en plus, ni le sol ni les murs n'avaient l'air de briller; de gé né rer de la lumiè re.

Mais chaque centimè tre carré de cet endroit é tait é clairé et il n'y avait aucune source apparente de lumiè re.
Aprè s avoir roulé pendant un bon moment et ê tre passé devant pas mal d'avions, on a pris une route vers la gauche qui nous a é loigné du centre de toutes les activité s.

Je pouvais voir pas mal de gens travailler sur certaines choses.

Ces appareils me semblaient tous opé rationnels.

Il y en avait certains que je n'avais jamais vu auparavant.

On aurait dit des larmes inversé es.

Et il y en avait d'autres qui ressemblaient à des ailes volantes.

Un de ces appareils é tait le XB 70, un bombardier en forme d'aile Delta qui avait é té construit en 1959.

Et vous é tiez donc sur l'AIre 51 en 1971?
Tout juste.

Le 20 juin 1971.

Et bon, on é tait là, c'é tait vraiment un truc é trange quand on a roulé en direction de ces immenses portes en acier de voir l'un des officiers poser sa main sur cette sorte de scanner qui la lui a flashé e.

Moi, je pensais que cet appareil prenait des photos.

Et d'aprè s coup, j'aurais en fait du deviner que c'é tait un appareil de scannage ré tinien.

Une fois que le type fut scanné, les portes se sont ouvertes, donc je me disais bien qu'il s'agissait d'une sorte de systè me de sé curité.

Mais je vous rappelle que nous é tions en 1971.
Laissez-moi mettre tout cela dans une juste perspective.

En 1971, nous n'avions ni ordinateur portable, ni modem, ni fax, ni vidé o, ni té lé phone portable, on n’avait mê me pas encore la calculatrice de poche.

Texas Instruments avait dé veloppé ces petites choses 5 ans aprè s.

Donc, d'où diable ces gars sortaient ce genre de technologies?
Dè s que nous fû mes dans le local, je remarquai immé diatement la chute de tempé rature parce que, de la grande piè ce ouverte sur l'exté rieur d'où nous venions, il faisait chaud.

Il faisait froid dans cette piè ce.

On pouvait presque voir sa respiration.

Et juste au moment où nous entrions dans la piè ce, la lumiè re -impossible de voir d'où elle vient- s'alluma.

Et une fois de plus, aucune ombre ne se dessinait, nulle part.
Alors, quelqu'un poussa sur un interrupteur, activa un treuil auquel é taient fixé s des câ bles et une grande bâ che.

La bâ che fut soulevé e, et là, sur une é norme plate-forme, il y avait un immense moteur à fusion é lectromagné tique confiné e!

Je sus immé diatement que ce en é tait un parce que la configuration de l'engin é tait similaire au mien sauf qu'il avait la taille d'un bus Greyhound.

Tandis que mon moteur avait la taille d'une grosse pastè que!
On peut facilement reconnaî tre des moteurs qui sont en fait comparables.

Si j'avais extirpé d'une Ford modè le A un vieux moteur à combustion interne pour le placer à cô té d'un moteur d'aujourd'hui, celui d'une Viper par exemple, vous remarqueriez qu'ils fonctionnent sur le mê me principe de combustion interne.

Cependant les diffé rences entre leur performance respective sont incroyables et incomparables.
C'é tait la mê me comparaison qu'il y avait entre mon petit moteur et l'immense chose qu'il avait stocké e dans cet abri souterrain.

Ils fonctionnaient tous les deux sur le mê me principe avec la mê me configuration gé né rale mais concernant le niveau de sophistication, il s'agissait en somme d'un moteur d'une Ford modè le A face à une Viper.

Cette chose é tait d'une telle puissance!

Et puis, il y avait tout un tas de structures et de configurations que je ne reconnaissais pas pour des raisons qui devinrent clairs au fil du ré cit.

A ce moment, vous inspectiez juste le moteur mais concernant le reste de l'appareil, où se trouvait-il?
David: Et bien, c'est sur ce point que la dispute a commencé.

Ils m'ont d'abord demandé si j'aimais ce que je voyais.

Je ré pondis: " Bon, ouais mais je suis perplexe, je pensais que j'é tais le premier à avoir construit ce type de moteur.

C'est là que les choses sont vraiment devenues bizarres.

Le Colonel qui accompagnait le Dr Rudolph me dé clara: " Fils, tu veux nous aider sur la conception de cette chose qui est fort similaire à ton invention, non?

Tu veux aider ton pays n'est-ce pas? ".
Bon, j'avais une couverture orné e d'un drapeau amé ricain et j'é coutais les discours d'Anita Bryant avant de m'endormir.

Mê me pendant les anné es 70, j'é tais un vrai patriote qui aimait agiter un petit drapeau.

Mê me si ce genre de comportement n'é tait pas vraiment populaire alors que la guerre du Viê t-Nam faisait encore rage.

Mes camarades ne pouvaient pas comprendre pourquoi j'aimais autant l'Amé rique mais c'é tait la faç on dont j'avais é té é levé.
Bon, donc au dé part, j'é tais d'accord avec le Colonel pour aider mon pays.

Cependant, je ne pouvais pas ré primer ma curiosité et je demandai: " où sont les gens qui ont construit ce moteur? ".

Il fit une pose pendant un moment puis me ré pondit: " Bon, et bien, ils sont vacances pour le moment.

Toi-mê me, tu es aussi en vacances d'é té non? ".

J'ai alors ré pondu: " Oui, c'est bien.

Mais est-ce qu'ils ont laissé des notes sur leurs travaux que je pourrais examiner? ".

Alors, on me ré pondit: " Et bien, ils les ont prises avec eux pour faire leurs devoirs.

Toi aussi, tu as des devoirs scolaires non? "

Et moi, je pensais: " Vous voyez, c'est vraiment une attitude trè s condescendante.

J'ai 17 ans".

Mais voilà, c'é tait la maniè re dont il traitait un type de 17 ans à cette é poque.

Alors, je me suis dis: " OK, moi aussi, je vais jouer avec ces trous du cul".
J'acceptai de les aider mais je leur dis que j'avais besoin d'examiner le moteur de plus prè s.

Ils é taient d'accord et donc, je pus me diriger vers la plate-forme qui surplombait le moteur.

ET au plus je m'approchai de l'engin, au plus je me suis dit que ces gens n'avaient aucune idé e de ce qu'é tait VRAIMENT cet engin et qu'ils é taient sans doute encore en train d'essayer de comprendre à quoi é taient confronté s.

Et lorsque je me retrouvai à un mè tre à peine du moteur, la premiè re chose que je remarquai fut qu'il y avait une ombre parfaite de moi-mê me sur le moteur.

Et qu'est-ce que je vous avais dit plus tô t?

Qu'il n'y avait aucune ombre, nulle part.

David: Tout juste.

Donc, comment se fait-il que mon ombre se dessinait sur cette chose?

Et le plus é trange est que mon ombre bougeait, ré agissait avec une seconde de dé calage aprè s moi. Cela a vraiment attiré mon attention.

J'ai alors pensé: " Si cette chose est ce que je pense qu'elle est... une sorte d'alliage à perception de la chaleur".

Alors, je me suis dit que nous ne possé dions aucun maté riel connu capable de telles choses.
David: Je regardai le moteur de bas en haut et je demandai la permission de grimper à son sommet afin d'examiner la zone qui avait é té endommagé e.

Cette chose avait un trou de plus d'un mè tre de diamè tre sur un de ses cô té s et c'é tait l'endroit qui en fait m'inté ressait le plus.

Maintenant, essayez de visualiser le chiffre huit.

D'accord! Imaginez l'endroit où les deux cercles de ce chiffre se croisent et qu'il s'agirait de l'œ il d'une tornade.

C'é tait à ce point pré cis que se situaient les dé gâ ts sur le moteur.

En me figurant comment fonctionnait mon propre moteur, je constatai qu'il y avait brè che dans les flux du champ é lectromagné tique qui a agi à l'endroit où la paroi de confinement contient la puissance du moteur à ré action.
De faç on simplifié e, ces moteurs fonctionnent comme de sortes de sphè res ou de bouteilles magné tiques qui contiennent à l'inté rieur la puissance d'un soleil ou d'une bombe à hydrogè ne qui ne s'arrê terait pas d'exploser.

Il n'est pas impossible de voir comment cela marche parce que ces phé nomè nes se dé roulent tout le temps dans l'espace.

Les trous noirs pompent des galaxies entiè res pleines de soleils dans leur seul point de singularité (ndtr: comparable à la taille d'une tê te d'é pingle).

Et de toute é vidence, un trou noir n'a aucune difficulté à contenir l'é nergie de la fusion.
Ce que j'ai fait a consisté à modé liser mathé matiquement la faç on dont on pouvait cré er un trou noir artificiellement.

Et parce que cela fonctionne sur base de la structure, du dessin du chiffre huit, une fois que la ré action est stabilisé e, cela va imploser et se consumer sans pour autant dé truire tout ce qu'il y a autour.

Donc, cet engin à l'Aire 51 avait perdu sa stabilité au sein de la structure en huit et c'est pour cela que j'é tais si curieux à propos du trou, de la brè che que pré sentait le moteur.
La maniè re dont on avait construit cet engin é tait vraiment cool.

Il n'y avait ni é crous, ni rivets, ni soudures de bas en haut et de haut en bas où que le regard se porte.

On aurait plutô t dit que cet engin avait grandi et é té é levé, comme cultivé plutô t qu'assemblé.

Et je me suis dit: " Mec; qui que soit celui qui a construit cet appareil devait avoir des techniques de construction absolument incroyables" /
Au fil des anné es, j'ai é té capable de reproduire à une certaine é chelle ce processus de fabrication par le biais d'un modè le expé rimental.

Ce modè le a volé à bord de l'une des missions de la navette spatiale de 1993.

L'expé rience faisait partie du programme GAS (Getaway spé cial program).

Cela consiste à louer un espace pouvant abriter un caisson d'un volume de 55 gallons, soit 222 litres.

La premiè re chose que j'ai faite a é té de mé langer ensemble les diffé rents alliages de mé taux et lorsque vous entamez ce mouvement de mé lange dans un environnement sans gravité, vous pouvez cré er ce que vous souhaitez dans toutes les dimensions parce que j'avais imaginé une maniè re de contrô ler le processus.

C'é tait en fait toujours une question de savoir comment faç onner les mé taux liquides dans un environnement dé nué d'apesanteur.

C'est un vrai prodige.
Robert: Vous avez fabriqué une forme sans utiliser un moule?
David: Exactement.

J'ai imaginé comment fabriquer une petite sphè re liquide en suspension dans cet environnement sans gravité avec ces alliages et le moyen de contrô ler le processus.

A chaque forme et dimension gé omé trique correspond une onde sonore.

Donc, j'ai construit une machine couplé e avec un synthé tiseur Moog, un systè me qui m'a permis de ré pliquer toutes les formes que je dé sirais en jouant simplement des notes.

Cette machine gé nè re des ondes sonores qui s'entremê lent et qui vibrent, mê me dans l'espace et qui m'ont permis de faç onner, de cré er des formes à partir de mé taux liquides.
Cette expé rience m'a dé montré l'existence de ce que j'avais soupç onné lorsque j'examinais pour la premiè re fois l'engin à l'Aire 51: qui que soit celui qui a construit ce moteur a utilisé ce processus.

Cela a mê me soulevé une question bien plus large dans mon esprit.

Qui a pu construire un engin d'une telle taille dans l'espace?

Je n'en ai jamais parlé publiquement.

Sauf que j'é tais curieux et que je voulais copier les grandes lignes de cet engin qui avait clairement é té construit dans un environnement sans gravité.

Ce qui veut dire dans l'espace interplané taire!
Non, plutô t dans l'espace profond comme l'espace intergalactique loin de toute planè te et de toute é toile.

Je suppose que vous ne vouliez pas que votre processus de fabrication rencontre des champs gravitationnels?
Tout à fait.

Aussi loin que possible, au mieux c'est.

On appelle cela la convection gravitationnelle.

Il convient d'é viter l'apparition de tout courant de convection gravitationnelle qui influencerait le processus de mise en forme de l'alliage.
Quoi qu'il en soit, lorsque j'ai posé mes mains sur le moteur pour me relever, j'ai alors commencé à grimper sur l'exté rieur du moteur qui avait é té bâ ti sur la base d'une structure, d'un exosquelette.

La meilleure faç on d'expliquer ce que j'ai vu est de regarder les dessins qu'avait fait H. R Giger, le cré ateur de tous les dé cors de la sé rie de films Alien.

Et qu'est ce qui se passait lorsque vous touchiez l'engin?
David: C'é tait chaud ce qui ne veut en fait rien dire.

Il faisait si froid dans ce hangar que l'on pouvait presque voir sa respiration.

J'examinai le sol et ne dé tectai aucun câ ble é lectrique connecté à l'engin.

Alors, je me suis demandé: " Comment diable cet alliage peut-il rester chaud? "

Et en plus, il avait l'air d'une dureté incroyable.

C'é tait le maté riel le plus dur, le plus massif que je n'avais jamais touché.

Il n'y avait aucun dé faut.

Et la tension ainsi que la cohé sion de cette surface ressemblait plus à la peau d'un bé bé.

C'é tait à la fois souple, dur et chaud.

C'est trè s é trange, surtout pour du mé tal?
David: Ouais et je me suis demandé: " Bon sang mais qu'est ce qui se passe ici? ".

Et je me suis mis à toucher l'engin dans tous les sens et en plus il ré agissait.

Lorsque je me suis retourné en direction des gars de l'Air Force, ils me regardaient tous avec un air ahuri, bouche bé e.

Donc, j'ai alors pensé que la ré action qu'ils avaient observé e sur l'engin ne s'é tait pas passé e avec eux.

Car quelle que soit l'endroit que je touchais, il y avait ces é tranges tourbillons et remous bleus et blancs qui tournoyaient sur la coque de l'engin.

Cela ressemblait aux longueurs d'onde que l'on peut voir sur un oscilloscope.

Lorsque j'ô tais mes mains, le phé nomè ne s'arrê tait.

Je me suis dit alors: Wow, cette chose ré agit".
Donc, j'ai continué à grimper sur les flancs du moteur jusqu'à ce que j'atteigne la zone centrale.

Il y avait ces sortes de vertè bres qui se ramifiaient en cascades vers le bas comme des sortes de fibres.

Cela ressemblait presque à des câ bles de fibres optiques emplis d'une sorte de fluide.

Il y avait de trè s fins filaments de la taille de trè s, trè s, fins spaghettis, comme des cheveux d'ange.

Il y avait des millions de ces choses qui cascadaient sur les francs de la coque du moteur.

Et je pensais: " mon garç on, ces structures me semblent familiè res".

Puis, cela m'apparut soudainement comme une é vidence: on aurait dit des structures synaptiques neuronales.

Il y en avait des millions comme cela que l'on trouvait dans tous les sens.

Alors, j'ai pensé que ce moteur avait é té conç u comme un cerveau exo squelettique.

J'ai à ce moment agrippé une poigné e de ces fibres et je me suis aperç u que ces fibres é taient ré sistantes, coriaces et qu'il y avait un fluide qui y circulait.

Et où que je pose la main, quel que soit l'endroit que je touchais, il y avait une ré action comme une sorte de fré missement de lumiè res visuelles.
Alors que je marchais à l'inté rieur de cette chose dans la zone accidenté e, j'ai dit en fin de compte à ces types de l'Air Force:

" Vous savez, cette chose est une centrale é nergé tique.

Elle provient de toute é vidence d'un grand vé hicule, une sorte de vaisseau.

Où donc se trouve ce vaisseau? "

A ce moment, ils n'é taient pas vraiment heureux mais je poursuivais:

" Un vaisseau de ce genre devait avoir un é quipage.

Qu'avez-vous fait de ces gens?

C'est clairement pas une technologie sovié tique ou amé ricaine, n'est-ce pas les gars?

C'est une sorte d'entité extraterrestre.

Quel â ge ce truc a?

Vous avez fait des recherches là -dessus.?

Est-ce que cela a des millions d'anné es ou est-ce que vous l'avez abattue? "

Alors là, mec, ils é taient vraiment en colè re.

Ils ont ordonné au type de la police militaire de me faire descendre du moteur.

Et comme je descendais, je me suis dit qu'ils me faisaient vraiment chier.

J'en chiais vraiment grave et j'en avais marre.
A cet instant, je savais exactement dans quel jeu je jouais.

Je savais que cet engin venait d'un autre endroit que la terre.

J'ignorais d'où venait cette chose ni depuis combien de temps ils l'avaient mais il devint é vident que toute ma vision du monde é tait en train de se dé faire à ce moment.

J'avais grandi dans un monde où le gouvernement ne mentirait jamais.

Nous avions atterri sur la lune il y a un an.

Et ici, l'Air Force possé dait ce type de technologie et n'en disait pas un mot, ce qui m'a rendu vraiment furieux.



  

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