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Crise potentielle scénarisée n°2 — Le confinement climatiqueCrise potentielle scénarisée n°2 — Le confinement climatique
Note du traducteur : Précisons toutefois que c'est bien l'aspect anthropogénique du réchauffement climatique et des bouleversements qui l'accompagnent qui est faux, tout comme l'est le réchauffement en tant que tel — nous nous trouvons en fait dans une phase de refroidissement avec toutes les incongruités météorologiques qui l'accompagnent — , mais le qualifier d'anthropogénique permet aux élites de culpabiliser les populations — et de les taxer encore un peu plus au passage. Il existe par ailleurs des preuves parfaitement concluantes que des bouleversements climatiques ont bien lieu sur notre planète et que les êtres humains n'y sont pas pour grand chose, étant donné qu'ils sont cycliques. Voir aussi :
Crise potentielle scénarisée n°3 — Prise de contrôle totale du Web et de son réseau (Cyber Polygon)
Note du traducteur : Voir notre article sur la simulation « Cyber Polygon » : « Ces exercices et jeux de guerre ont tendance à imiter la catastrophe exacte qui frappera finalement le public quelques jours ou semaines plus tard. Parfois, les exercices de simulation de catastrophe et les événements réels se produisent en même temps. » Le lecteur avisé saura à quoi fait référence l'auteur dans ce qui précède avec deux exemples, le 11-Septembre et les exercices militaires simulant une attaque menée par des avions, et bien sûr le Covid-19 et l'Event 201, également mentionné par l'auteur ci-après.
Dès le début de la « crise » du Covid, l'ancien dirigeant de Google Eric Schmidt s'est mis à propager le mot « perturbation » comme un mot clé qu'il faut promouvoir. La simulation Cyber Polygon a tout à voir également avec la « perturbation ». Ils envisagent un effondrement de l'Internet et du réseau électrique, une crise qui pourrait même entraîner une perturbation mondiale des lignes d'approvisionnement et des transports, un arrêt du commerce mondial et d'importantes pénuries alimentaires et énergétiques. Sur son site Web, le Forum économique mondial décrit la simulation comme un « exercice technique » dans lequel « les participants affineront leurs compétences pratiques en atténuant une attaque ciblée de la chaîne d'approvisionnement sur un écosystème d'entreprise en temps réel. »
Cet exercice va s'effectuer dans la foulée de deux récents actes de piratage [informatique - NdT] suspects dans lequel des pipelines et des fournisseurs du secteur de la viande ont été visés — et les médias mainstream l'ont attribué sans preuve à des pirates russes. De nombreux lecteurs savent maintenant que le Forum économique mondial — ainsi que la Fondation Bill & Melinda Gates — a participé à la tristement célèbre simulation de pandémie appelée « Event 201 », quelques mois seulement avant que la crise du Covid ne prenne son envol. Le Forum économique mondial qualifie même la simulation Cyber Polygon de cyber « pandémie ».
Note du traducteur : Ces simulations d'attaque et les attaques réelles qui se produisent, pourraient tout aussi bien être une tentative de faire croire aux populations que les chaînes d'approvisionnement — qu'elles soient alimentaires ou énergétiques — sont mises à mal par des êtres humains — si possible russes ou chinois — et qu'elles n'ont rien à voir avec les changements climatiques cycliques. Elles permettent aux élites de gagner — au moins dans leur cerveau dérangé — sur deux tableaux : se positionner en sauveurs tout en imposant leur totalitarisme rampant.
Le directeur général du Forum économique mondial, Jeremy Jurgens, a déclaré : « Je crois qu'il y aura une autre crise. Elle sera plus importante [...] elle se produira de manière plus rapide que ce que nous avons vu avec le Covid. Sa vitesse de progression sera exponentielle, et bien plus brutale. L'impact sera plus grand et, par conséquent, les implications économiques et sociales seront encore plus significatives. »
Le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, a déclaré : « Nous connaissons tous, mais n'y prêtons pas encore suffisamment attention, le scénario effrayant d'une cyberattaque globale qui pourrait entraîner l'arrêt complet de l'approvisionnement en électricité, des transports, des services hospitaliers, de notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait considérée à cet égard comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. [Il nous faut] profiter de la crise du Covid-19 comme d'une occasion opportune pour réfléchir aux leçons que la communauté de la cybersécurité peut en tirer, [des leçons] qui nous permettraient d'améliorer notre préparation à une éventuelle cyber pandémie. » Il est à ce stade crucial de mentionner qu'une grande partie de la cybersécurité mondiale est gérée à partir d'Israël, un quartier général établi par le Nouvel Ordre mondial. De nos jours, tous les chemins semblent mener à Israël (Rothschild-ville). Des agences et des unités à l'intérieur d'Israël comme le Mossad, l'Unité 8200 et les programmes Talpiot contrôlent la cybersécurité mondiale. Brendon O'Connell a fait d'excellentes recherches sur ce thème.
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