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Fig. 1. Traînées de particules pulvérisées par avion pour manipuler les conditions météorologiques. (Photographes avec autorisation) Dans le sens des aiguilles d'une montre en partant du coin supérieur gauch



Fig. 1. Traî né es de particules pulvé risé es par avion pour manipuler les conditions mé té orologiques. (Photographes avec autorisation) Dans le sens des aiguilles d'une montre en partant du coin supé rieur gauche: Karnak, Egypte(auteur JMH); Londres (Angleterre) (Ian Baldwin); Genè ve, Suisse (Beatrice Wright); Chattanooga, TN, É tats-Unis (David Tulis); San Diego, Californie, É tats-Unis (auteur JMH); Jaipur, Inde (auteur JMH)

 

Dans le cadre de la pré sente enquê te, des efforts sont dé ployé s pour dé crire et dé montrer que les CVC sous forme d'aé rosols produisent des é lé ments toxiques qui contaminent l'environnement et peuvent potentiellement contribuer de faç on importante à la disparition des insectes. Ceci inclut en particulier, les consé quences des diffusions de toxines des CVC dans les eaux pluviales et les effets des composants particulaires des CVC sur la viabilité des insectes. En outre, nous discutons des consé quences né fastes d’une augmentation du rayonnement solaire UV-B et UV-C ré sultant simultané ment de la ré duction de l’ozone dans l’atmosphè re du fait des pulvé risations en aé rosols de CVC.

 

2. MÉ THODES

 

Face aux pulvé risations é videntes de particules dans l'air, il existe un effort concerté pour tromper le public et la communauté scientifique pour nier ces faits et leurs consé quences né fastes sur la santé humaine et environnementale [20]. Les CVC sont un maté riau idé al pour leur utilisation dans des opé rations de gé o-ingé nierie à l'é chelle mondiale, pour les raisons suivantes: (1) Il s'agit d'un ré sidu industriel majeur; (2) Il est produit à la taille requise sans grand traitement supplé mentaire; et (3) Les installations de sa production sont dé jà en place, hors de vue et utilisent le transport ferroviaire.

 

Les mé thodes pour dé montrer que les particules pulvé risé es en aé rosols correspondent aux CVC sont doubles: (1) elles montrent que les quantité s relatives d’é lé ments dissous dans l’eau de pluie sont similaires aux quantité s d’é lé ments des CVC dilué es dans l’eau lors des é tudes de lixiviation en laboratoire [21]; et, (2) elles confirment que les quantité s relatives d'é lé ments apporté es par la neige, d'une maniè re analogue à la technique de co-pré cipitation [17], sont similaires aux quantité s relatives d'é lé ments trouvé s dans les CVC [21]. Les mesures pré cé demment publié es et pré senté es sont ici faites par spectromé trie de masse à plasma à couplage inductif.

 

3. RÉ SULTATS ET DISCUSSION

 

Depuis au moins le dé but du 21è me siè cle et mê me avant, de nombreux citoyens du monde entier sont té moins de pulvé risations aé riennes formant des traî né es de particules dans le ciel [22]. N’ayant aucune information fiable sur la composition chimique et les risques potentiels pour la santé de la substance pulvé risé e en aé rosols, des citoyens concerné s ont pré levé des é chantillons d'eau de pluie aprè s pulvé risation et les ont envoyé s à des laboratoires commerciaux pour les analyser. En rè gle gé né rale, seule l'analyse de l'aluminium é tait demandé e, parfois le baryum et le strontium é galement. Lorsque les pulvé risations aé riennes sont devenues clairement une activité quasi quotidienne à San Diego (USA), l’un d’entre nous (JMH) a entamé une sé rie d’é tudes pour dé terminer la composition des particules en aé rosols. Le protocole courant pour des analyses d'eau certifié es en laboratoire né cessite une filtration pour é liminer les particules avant les mesures; par consé quent, l'eau de pluie avait assuré ment dissout ces trois é lé ments à partir de matiè res particulaires facilement lixiviables avant qu'elles ne tombent au sol.

 

En exprimant les donné es sous forme de ratios par rapport à un é lé ment commun tel que le baryum, les consé quences des divers degré s de dilution sont é liminé es. La comparaison entre ces ré sultats analytiques, exprimé s en ratios par rapport au baryum, et les analyses expé rimentales correspondantes de lixiviation des cendres volantes de charbon (CVC), a fourni la premiè re preuve scientifique que les CVC sont la principale substance polluante utilisé e par la gé o-ingé nierie troposphé rique en cours [23].

 

Afin de comprendre le processus chimique en cause, prenons comme exemple hypothé tique des feuilles de thé en poudre fine qui seraient pulvé risé es dans la troposphè re. L'humidité atmosphé rique «infuserait» le thé, diluerait le tanin et d'autres produits chimiques qui tomberaient sous forme de pluie, avec la signature chimique du thé; la pluie serait du thé, trè s dilué. Les cendres volantes de charbon (CVC) se forment principalement par condensation dans les gaz de combustion chauds dans la cheminé e situé e au-dessus de la chambre de combustion des centrales é lectriques au charbon, contrairement à celles gé né ralement rencontré es dans la nature et consiste en un assemblage dé sé quilibré de matiè re typiquement anhydre [24]. L'eau est capable d'absorber rapidement de nombreux é lé ments toxiques des CVC [21]. Lorsque les CVC sont pulvé risé es dans la troposphè re, l'eau atmosphé rique absorbe de nombreux é lé ments toxiques par lessivage, qui sont ensuite dissous dans l'eau de pluie et constituent une signature chimique des CVC. Plus il y a d'é lé ments mesuré s dans l'eau de pluie, plus la signature devient pré cise et unique. C’est une signature significative car les sables et les sols sur lesquels souffle le vent ne sont pas facilement ni rapidement lessivé s par l'eau de pluie.

 

La figure 2. compare des analyses d’eaux pluviales aux sé ries de donné es de lixiviation de CVC en laboratoire. À l'exception des donné es de Bangor, Maine (É tats-Unis), les autres donné es ont é té publié es et sont reproduites avec autorisation [18]. La dilution est un facteur variable qui peut ê tre compensé dans les comparaisons d'analyses en utilisant des ratios. Dans de nombreux cas, la dilution empê che les é lé ments les moins abondants situé s sous les limites d’ê tre dé tecté s dans les laboratoires d'analyse commerciaux. Les donné es de Bangor, Maine (USA), illustré es à la Fig. 2, sont particuliè rement importantes d’autant plus que le facteur de dilution é tait faible et que des analyses significatives d’oligo-é lé ments requises ont pu ê tre dé terminé es.

 

La figure 3, reproduite avec la permission de [18], montre des analyses de particules pulvé risé es tombé es avec la neige, le ré sidu par é vaporation et le ré sidu pié gé sur la moisissure sous-jacente lorsque la neige a fondu. Cette figure et la figure 2. montrent la gamme d'é lé ments toxiques qui contaminent l'environnement, é tant donné que les CVC sont les principales particules utilisé es pour la manipulation du climat.

 

 



  

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