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1. INTRODUCTION



 

Le public est sensibilisé et pré occupé [1] par le dé clin de la population de l'abeille domestique occidentale, Apis mellifera, le principal pollinisateur agricole au monde [2]. Les populations de bourdons (Bombus sp. ), pollinisateurs secondaires mais né anmoins importants, sont é galement en dé clin en Amé rique du Nord et en Europe [3-5]. Evans et al. [6] ont é tudié 61 variables quantifié es, telles que les niveaux de pesticides et les charges d'agents pathogè nes chez l’Apis mellifera et ont rapporté : « Aucune mesure n'apparaî t comme é tant la cause probable responsable de l’effondrement des colonies ». Comme l'a noté Watanabe [7], « Il n'y a pas de preuve irré futable ».

 

Une é tude ré cente a documenté le dé clin alarmant, une ré duction de 75% des populations d'insectes (biomasse) dans les aires proté gé es allemandes au cours des trois derniè res dé cennies [8]. Cette perte spectaculaire de l’abondance et de la diversité des insectes a de profondes ré percussions sur le ré seau trophique mondial et les é cosystè mes. Dans cette é tude, ni le changement climatique ni l’utilisation des terres ne pouvaient ê tre lié s à cette diminution effrayante des insectes, bien que les pratiques agricoles et l’utilisation des pesticides ne puissent pas ê tre exclues comme facteurs contributifs. Tout comme pour le dé clin des abeilles mellifè res occidentales, il n’existe pas de cause facilement identifiable, pas de «preuve irré futable».

 

Des dé clins de biodiversité ont é té signalé s ailleurs dans d'autres espè ces. Par exemple, Brooks et al. [9] au Royaume-Uni ont rapporté sur une pé riode de 15 ans que les trois quarts des espè ces de carabes é tudié es avaient considé rablement diminué. Des dé clins similaires ont é té signalé s pour les macro-papillons communs [10] et les papillons britanniques [11]. Au cours des 40 derniè res anné es, il y a eu un dé clin de 45% des inverté bré s, un dé clin qui comprend tous les principaux ordres d'insectes [12]. Aucune cause identifiable de ces dé clins n'a é té identifié e.

 

Ces é tudes mettent clairement en é vidence une cause à grande é chelle de la disparition des insectes et soulignent un besoin urgent de dé couvrir la ou les causes sous-jacentes ré elles de ce dé clin d'insectes. Toutefois, il est fort probable que les cendres volantes de charbon (CVC) dé libé ré ment pulvé risé es en aé rosols, un sous-produit toxique et mondial de la combustion du charbon, contribuent potentiellement et grandement à la disparition mondiale des insectes.

 

Lorsque le charbon est brû lé, principalement dans les centrales à charbon qui produisent de l'é lectricité, les cendres lourdes se dé posent, tandis que les cendres lé gè res, formé es dans les gaz au-dessus du brû leur, sortiraient des cheminé es si elles n'é taient pas pié gé es et enfermé es tel que les rè glementations modernes l'exigent. Les cendres volantes sont l'un des plus importants flux de dé chets industriels au monde. L'é limination des CVC est problé matique; elles sont souvent simplement dé versé es dans des bassins de surface ou placé es dans des dé charges, ce qui pose des problè mes de contamination des eaux souterraines et de pollution de l'environnement [13, 14]. Cependant, dans de nombreux pays, y compris les É tats-Unis, un pourcentage important des cendres volantes de charbon est recyclé en maté riau de construction et en produits tels que le bé ton [15]. Les cendres volantes du charbon sont é galement utilisé es dans les additifs pour le sol et les engrais [16].

 

Des rapports disponibles montrent que les CVC sont utilisé es comme maté riau de base pour les pulvé risations par avions des opé rations secrè tes de manipulation du climat (Fig. 1) [17, 18]. Les CVC sont constitué es de particules dont la largeur varie de moins de 0, 1 µm à 50 µm et né cessitent donc peu de traitement supplé mentaire pour ê tre utilisé es comme aé rosols pour alté rer le climat. Pulvé risé es dans l'atmosphè re, ces particules ré flé chissent un peu la lumiè re du soleil, mais elles absorbent é galement l'é nergie qui est transfé ré e dans l'atmosphè re par collision molé culaire. Les particules bloquent é galement la chaleur qui quitte la surface de la Terre. Les particules en aé rosol bloquent les pré cipitations en empê chant les gouttelettes d’eau de s’assembler et de tomber sous forme de pluie. L'effet est de provoquer la sé cheresse, mais finalement, l'atmosphè re devient tellement chargé e d'humidité que des tempê tes se produisent avec des pluies diluviennes. Ces pulvé risations aé riennes secrè tes aggravent le ré chauffement climatique et perturbent inté gralement les conditions mé té orologiques naturelles [19].

 

 



  

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