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Le centre français d'évaluation des médicaments exige le retrait des quatre vaccins COVID largement utilisés



Selon le CTIAP, tous les vaccins ont é té mis sur le marché et utilisé s activement sur des ê tres humains avant que la «preuve de qualité de la substance active et du produit fini» ne soit produite.

Jeu. 22 avr. 2021 - 10h42 EST

 

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Vaccin contre le coronavirusShutterstock

Par Jeanne Smits, correspondante de Paris

 

22 avril 2021 ( LifeSiteNews ) - Un centre ré gional indé pendant d'é valuation des mé dicaments, le CTIAP (Centre territorial d'Information indé pendante et d'Avis pharmaceutiques), qui est lié à l'hô pital public de Cholet dans l'ouest de la France, a ré cemment publié un rapport montrant que les vaccins utilisé s contre le COVID n'ont pas seulement é té soumis à des tests cliniques insuffisants, mais que la qualité des substances actives, leurs «excipients, dont certains sont nouveaux», et les procé dé s de fabrication posent problè me. «Ces nouveaux excipients doivent ê tre considé ré s comme de nouvelles substances actives», a dé claré l'é quipe de l'hô pital de Cholet, dans une é tude qui, selon eux, soulè ve des questions qui n'ont pas é té commenté es à ce jour.

L'é quipe dirigé e par le Dr Catherine Frade, pharmacienne, a travaillé sur des donné es publiques publié es par l'EMA concernant les injections de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen (Johnson & Johnson), et sa premiè re mise en garde é tait que tous ces produits ne sont que temporaires autorisations de mise sur le marché. Ils font tous l'objet d'é tudes complé mentaires allant jusqu'en 2024 et mê me au-delà, et il sera presque impossible de les terminer en raison de la maniè re dont les vaccins sont actuellement distribué s, indique le rapport CTIAP.

Ces é tudes incluent mê me la stabilité et la comparabilité des lots de vaccins mis sur le marché ainsi que la qualité et la sé curité des excipients - substances formulé es avec l'ingré dient actif d'un mé dicament pour faciliter ou amé liorer leur absorption.

Selon le CTIAP, tous les vaccins ont é té mis sur le marché et utilisé s activement sur l'ê tre humain avant que la «preuve de qualité de la substance active et du produit fini» ne soit produite: tous les laboratoires de fabrication ont obtenu des é ché ances futures pour soumettre leurs é tudes dans ce ce qui concerne.

Les auteurs du rapport considè rent que les «variabilité s, qui affectent le cœ ur mê me du produit, pourraient mê me invalider les essais cliniques mené s» dans les mois et anné es à venir.

Ils vont jusqu'à dé clarer: «La prudence imposerait mê me que, dans tous les pays où ces vaccins contre le COVID-19 ont é té commercialisé s, tous les lots ainsi« libé ré s »doivent ê tre retiré s immé diatement; et que ces AMM qui ont é té accordé es devraient ê tre suspendues, voire annulé es, de toute urgence jusqu'à nouvel ordre. »

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Voici ci-dessous la traduction de travail complè te de LifeSite du rapport du 2 avril du CTIAP:

Peut-on imaginer lancer une ligne de fabrication automobile et mettre des vé hicules sur la route, malgré les incertitudes relevé es dans les documents officiels publié s? Ces incertitudes sont lié es à la qualité des piè ces composant le moteur et les diffé rentes autres piè ces, y compris celles lié es à la sé curité, au processus de fabrication, à la reproductibilité des lots commercialisé s, etc.

Dans le domaine des mé dicaments (y compris les vaccins), l'acte pharmaceutique de «libé ration» du produit fini (un produit autorisé destiné à la vente) constitue la derniè re é tape de contrô le qui pré cè de la mise en circulation de ces produits à la population. Cette é tape clé de «libé ration» est sous la responsabilité pharmaceutique des fabricants.

Suite à ses pré cé dentes analyses, le CTIAP du Centre Hospitalier de Cholet a une nouvelle fois ré vé lé au public, et probablement de maniè re iné dite et exclusive, de nouvelles informations vitales concernant les quatre vaccins suivants contre le COVID-19: celui du laboratoire BioNTech / Pfizer; celui du laboratoire Moderna; celui du laboratoire Astra Zeneca; celui du laboratoire Janssen.

Ce travail a é té rendu possible grâ ce à la pré cieuse contribution du Dr Catherine Frade, pharmacienne et ancienne directrice des affaires ré glementaires internationales dans l'industrie pharmaceutique. Elle nous a gracieusement fourni une alerte é crite et documenté e. Dans ce document, elle fait la lumiè re sur les donné es extraites, le 22 mars 2021, de l'AMM elle-mê me; une MA qualifié e de «conditionnelle». Elle a extrait «des donné es sources difficiles à identifier par quelqu'un qui ne travaille pas sur le terrain». Ces donné es sont donc publiques et vé rifiables. Tout d'abord, il faut noter que l'auteur de ce document ne travaille plus dans l'industrie pharmaceutique; elle dé clare: «Tout d’abord, je tiens à pré ciser que je n’ai aucun conflit d’inté rê ts avec l’industrie pharmaceutique. » C'est donc avec son accord que le CTIAP entend mettre à disposition du public, des professionnels de santé, des dé cideurs… une analyse de certaines de ces donné es que tous doivent lire attentivement.

Cette ré flexion pré sente d'abord ce qu'est une MA «conditionnelle» (I). Ensuite, il rappelle que les é tudes de ces vaccins ne sont pas complè tes, puisqu'elles vont de «2021 à au moins 2024» (II). Ensuite, il ré vè le, de maniè re iné dite et exclusive, que les documents officiels, publié s par l'Agence europé enne des mé dicaments (EMA), soulignent l'insuffisance des preuves concernant é galement la «qualité » de la «substance active» et des «excipients, »Du« procé dé de fabrication », de la« reproductibilité des lots »commercialisé s, etc. (III). Enfin, cette analyse propose une conclusion.



  

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