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Coronavirus



Une construction trompeuse - Pourquoi nous devons remettre en question les statistiques de mortalité COVID 19

par Iain Davis

Dimanche 28 mars 2021

Selon le gouvernement britannique, au 27 mars 2021, 126 515 personnes sont dé cé dé es des suites de la contraction du Covid-19, et 21 610 personnes supplé mentaires sont dé cé dé es avec le COVID-19 sur leur certificat de dé cè s.

Le gouvernement allè gue, par consé quent, qu'un total de 148 125 personnes au Royaume-Uni sont dé cé dé es des suites du COVID-19. Comme nous le verrons, cette affirmation n'est pas cré dible.

Politique justifiable?

Les allé gations relatives à la mortalité ont é té utilisé es à la fois par le gouvernement et les grands mé dias pour justifier la ré ponse politique.

Le rythme du changement induit par cette ré ponse politique a é té stupé fiant. Avec l'annonce ré cente par le secré taire à la Santé Matt Hancock de la cré ation de l'Agence britannique de sé curité sanitaire et son engagement à prendre «des mesures pour atté nuer les maladies infectieuses et autres risques pour la santé avant qu'ils ne se maté rialisent», il est clair que la nouvelle (ab) normale du gouvernement est là pour rester.

Il y a clairement un programme; une entiè rement fondé e sur l'idé e que COVID-19 pré sente une menace importante. La principale preuve offerte pour é tayer cette affirmation est la mortalité suggé ré e par COVID-19.

Mortalité standardisé e selon l'â ge

Comme presque toutes les autres causes de mortalité, les risques de COVID-19 augmentent proportionnellement avec l'â ge. Les statistiques pour les personnes en â ge de travailler montrent un risque de mortalité de la population compris entre 0, 0166% et 0, 0046%, selon qui vous croyez. Le risque de COVID-19 pour la population en â ge de travailler est statistiquement insignifiant. Pour les moins de 18 ans, il est statistiquement nul.

Le risque de mortalité a un impact disproportionné sur les hommes. En 2018, l' â ge moyen de dé cè s pour les hommes é tait d'environ 80 ans et de 83 ans pour les femmes en Angleterre et au Pays de Galles.

L'â ge moyen des dé cè s dus au COVID-19 est un peu plus de 82 ans. Lorsque nous examinons la distribution standard de la mortalité, il n'y a pas d'impact observable du COVID-19.

La mortalité toutes causes au Royaume-Uni ne suggè re pas non plus de paniquer.

L' ONS a publié des donné es estimant un total de 607 173 dé cè s toutes causes confondues en Angleterre et au Pays de Galles pour 2020. Compte tenu des changements dé mographiques au fil du temps, l'ONS utilise les taux de mortalité normalisé s selon l'â ge (ASMR) pour calculer les taux de mortalité relatifs. L'ASMR a montré que 2020 é tait la pire anné e de mortalité de la derniè re dé cennie.

Les ASMR é taient en dé clin continu tout au long de la pé riode d'aprè s-guerre. Cette baisse s'est arrê té e brusquement en 2009 alors que l'impact é conomique de la crise financiè re mondiale a eu des consé quences né fastes sur la santé publique. Par la suite, il a montré une augmentation marginale jusqu'en 2019. La mortalité en 2020 et 2021 doit ê tre considé ré e dans le contexte d'une crise financiè re mondiale qui é clipse le resserrement du cré dit de 2008.

Les ASMR fluctuent chaque anné e et 2020 a montré une augmentation significative au-dessus du taux de mortalité moyen sur 5 ans. C'é tait plus é levé que la plupart des augmentations mais en aucun cas «sans pré cé dent». Les ASMR en Angleterre depuis 1938 montrent des augmentations similaires en 1947, 1949, 1951, 1958, 1963, 1970, 1972, 1976, 1985, 1993 et ​ ​ 2014.

La plupart de ces pics dans les ASMR é taient de l'ordre de 35 à 45 points. Par exemple, en 2014, l'ASMR a augmenté de 40, 2 points, en 1993 de 38, 4 et en 1985 de 46, 3 points. Il a augmenté de 90, 5 en 1947, de 83, 5 en 1963, de 104, 9 en 1970 et en 1951 de 216, 3. La hausse de 118, 5 en 2020 n'est donc en aucun cas la pire.

Le nombre de morts en 1951 a é té attribué à l'é pidé mie de grippe qui a frappé certaines parties du Royaume-Uni (notamment Liverpool), mais en a laissé d'autres relativement indemnes. À ce jour, la science a eu du mal à en rendre compte.

L'anné e 2020 n'a pas seulement eu le taux de mortalité le plus é levé de l'aprè s-guerre, mais elle n'a pas non plus eu le taux de mortalité le plus é levé du 21e siè cle. 2020 s'est classé e 9e, sur 20 anné es consé cutives, pour la mortalité toutes causes confondues en Angleterre et au Pays de Galles. C'é tait la 11e anné e la moins dangereuse des 50 derniè res anné es.

Bien qu'il n'y ait aucune preuve statistique d'une pandé mie mondiale sans pré cé dent en Angleterre et au Pays de Galles (ni en É cosse et en Irlande du Nord), cela nous en dit peu sur le nombre de dé cè s vé ritablement attribuables au COVID-19. Il n'indique pas non plus à quel point nous devons sacrifier nos droits, nos liberté s, l'é ducation des enfants et l'é conomie au service de la santé publique.

Nous ne les avons certainement pas sacrifié s en 1947, 1963, 1970, ni mê me en 1951. Pourquoi 2020 é tait-il diffé rent?

PCR ne signifie pas COVID

Aux fins de cette analyse, nous utiliserons la demande plus é levé e du gouvernement de 148 000 dé cè s. La grande majorité de ces dé cè s ont é té attribué s sur la base d'un test RT-PCR positif. La loi britannique sur le coronavirus é tablit une distinction claire entre le virus et la maladie. Il dé clare:

Coronavirus signifie coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sé vè re (SRAS-CoV-2); maladie à coronavirus signifie COVID-19 (la dé signation officielle de la maladie qui peut ê tre causé e par un coronavirus).

SARS-CoV-2 et COVID-19 ne sont pas la mê me chose. La pré sence dé tecté e de SRAS-CoV-2 ne signifie pas que la personne a dé veloppé ou dé veloppera le COVID-19.

Par consé quent, l'attribution de la mortalité basé e uniquement sur un ré sultat de test positif ne prouve en aucun cas que la personne est dé cé dé e du COVID-19. La mesure dans laquelle la maladie a causé ou contribué à un dé cè s est une é valuation mé dicale pré cise. Le gouvernement britannique a cré é un processus de certification et d'enregistrement de dé cè s là où cela ne s'est pas produit dans un nombre inconnu de cas. Nous devons savoir quel est ce nombre.

Le COVID-19 a une pré sentation distincte qui né cessite un diagnostic minutieux. Les symptô mes uniques sont une hypoxé mie sé vè re (faible taux d'oxygè ne dans le sang), une hypercapnie (une saturation sanguine é levé e en Co2) et, exceptionnellement, aucune perte correspondante de la compliance du systè me respiratoire.

La mesure des é changes gazeux et de la ré tention d'eau dans les poumons semble normale, tandis que le patient, dans les cas graves, a du mal à respirer. Ceci est diffé rent des autres maladies pseudo-grippales (SG).

Pourtant, le NHS dé crit une liste de symptô mes du COVID-19 qui pourraient ê tre attribuables à n'importe quel syndrome grippal. Une tempé rature é levé e, une toux continue et une perte de goû t et d'odeur sont associé es à beaucoup. Bien qu'il s'agisse d'une information publique, destiné e à guider notre dé cision de demander un avis mé dical ou un test, la liste des causes possibles s'allonge davantage é tant donné que le NHS dé clare qu'un seul de ces symptô mes indique é ventuellement le COVID-19.

Sans diagnostic symptomatique pré cis, il est difficile de distinguer le COVID-19 d'une sé rie d'autres maladies respiratoires. Une é tude de l'Université de Toronto a ré vé lé:

Les symptô mes peuvent varier, certains patients restant asymptomatiques, tandis que d'autres pré sentent de la fiè vre, de la toux, de la fatigue et une foule d'autres symptô mes. Les symptô mes peuvent ê tre similaires à ceux des patients atteints de grippe ou de rhume.

Une mé ta-analyse Cochran Review des é tudes disponibles a cherché une dé finition claire des symptô mes du COVID-19. Publié en juin 2020, les critiques ont noté:

Les signes et symptô mes individuels inclus dans cette revue semblent avoir de trè s mauvaises proprié té s diagnostiques... Sur la base des donné es actuellement disponibles, ni l'absence ni la pré sence de signes ou de symptô mes ne sont suffisamment pré cises pour exclure ou exclure la maladie.

Mê me l'utilisation de diagnostics avancé s, tels qu'une tomographie par ordinateur (CT), ne fournira pas toujours un ré sultat clair. Une é tude visant à amé liorer le diagnostic diffé rentiel à l'aide de tomodensitogrammes a ré vé lé:

Bien que les ré sultats des images CT typiques et atypiques du COVID-19 soient rapporté s dans les é tudes actuelles, les caracté ristiques des images CT du COVID-19 chevauchent celles de la pneumonie virale et d'autres maladies respiratoires. Par consé quent, il est difficile de faire un diagnostic exclusif.

Quel que soit leur statut au test SRAS-CoV-2, sans diagnostic trè s pré cis des symptô mes, les patients suspecté s de COVID-19 pourraient souffrir d'un syndrome parmi une gamme de SG. Encore une fois, un ré sultat de test positif ne signifie pas que le patient est dé cé dé du COVID-19, mê me s'il pré sentait des symptô mes correspondants.

Notifications de maladies infectieuses

En Angleterre et au Pays de Galles, la loi oblige tous les mé decins agré é s à informer leur autorité sanitaire locale de tout cas suspect de maladie à dé claration obligatoire. La liste des maladies infectieuses à dé claration obligatoire (NOIDS) comprend le COVID-19. Ceci n'est pas facultatif.

Tous les mé decins diagnostiqueurs doivent remplir un rapport NOIDS aprè s avoir posé un diagnostic. Les laboratoires de test sont é galement tenus d'informer Public Health England (PHE) des tests positifs pour les maladies à dé claration obligatoire.

Selon le vé rificateur de faits FullFact, 18152 notifications COVID-19 ont é té effectué es par des mé decins au cours de l'anné e 2020.

Pourtant, le gouvernement affirme qu'il y a eu 70853 dé cè s dus au COVID-19, sans parler des cas, en Angleterre et au Pays de Galles la mê me anné e.

Fullfact a fourni une explication à cet é norme é cart apparent:

Il est conseillé aux personnes pré sentant des symptô mes de Covid de passer un test, mais de ne pas consulter leur mé decin, ce qui peut expliquer en partie pourquoi les mé decins ont signalé si peu de cas de la maladie par le biais de NOIDS. É tant donné que Covid s'est ré pandu au Royaume-Uni et a commencé à ê tre surveillé par d'autres moyens, il est é galement possible que les mé decins aient estimé qu'il é tait peu né cessaire de continuer à informer les SPE de chaque cas.

Ce n'est pas cré dible. S'il est vrai qu'on a dit aux gens de ne pas consulter un mé decin s'ils soupç onnaient qu'ils avaient le COVID-19, un diagnostic par un mé decin é tait encore né cessaire à un moment donné. L'autodiagnostic ne permet gé né ralement pas d'accé der à un traitement hospitalier. La suggestion de FullFact selon laquelle les mé decins ont dé cidé unilaté ralement de ne pas se soucier de leurs obligations statutaires est ridicule.

Ce que cette diffé rence massive entre les cas dé claré s, la mortalité consé cutive au COVID-19 et le NOIDS indique, c'est que les mé decins dé pendaient en grande partie des tests de laboratoire pour s'acquitter de l'obligation d'informer les autorité s. Cela ajoute un poids considé rable à la notion selon laquelle les tests de laboratoire é taient le principal dé terminant dans l'é crasante majorité des diagnostics de COVID-19.

Jusqu'à la mi-aoû t 2020, un dé cè s par COVID-19 au Royaume-Uni a é té signalé si le dé funt avait é té testé positif à tout moment au cours des mois pré cé dents. Une personne peut avoir é té testé e positive pour le SRAS-CoV-2 en mars, ê tre dé cé dé e d'un cancer en aoû t et avoir par la suite é té enregistré e comme une statistique COVID-19.

La justification scientifique de cela n'existait pas. Une recherche mené e par des scientifiques de l'Université d'Oxford a analysé le systè me de surveillance de l'hospitalisation COVID-19 en Angleterre (CHESS) et a calculé que le temps moyen entre l'infection (test positif) et la mortalité é tait de 26, 8 jours.

Et donc, en ré ponse à la pression publique et scientifique, cette approche a changé pour enregistrer uniquement un dé cè s COVID-19 dans les 28 jours suivant un test positif. Pourtant, le gouvernement britannique ne lâ cherait pas son systè me de numé rotation gonflé, n'ajoutant rien d'autre qu'une confusion statistique, ont-ils annoncé:

En Angleterre, une nouvelle sé rie de chiffres hebdomadaires sera é galement publié e, indiquant le nombre de dé cè s survenant dans les 60 jours suivant un test positif. Les dé cè s survenant aprè s 60 jours seront é galement ajouté s à ce chiffre si le COVID-19 apparaî t sur le certificat de dé cè s.

Le changement mé thodologique d'aoû t a ré duit de 5377 dé cè s dé claré s par COVID-19 rien qu'en Angleterre. Cela n'a fait aucune diffé rence sur le nombre de personnes dé cé dé es du COVID-19, cela a simplement changé le nombre de personnes qui seraient dé cé dé es du COVID-19.

Ce n'é tait pas le seul changement notable du processus de collecte de donné es. Juste avant la forte hausse printaniè re de la mortalité, le 30 mars 2020, le MSM a rapporté que le gouvernement avait demandé à l'ONS de changer la faç on dont ils enregistrent les dé cè s dus au COVID-19. Jusqu'à pré sent, l'ONS n'a signalé un dé cè s par COVID-19 que s'il é tait enregistré comme cause directe ou sous-jacente. Cela a é té changé pour enregistrer des " mentions" de COVID-19. Un porte-parole de l'ONS a dé claré:

Il sera basé sur les mentions de Covid-19 sur les certificats de dé cè s. Il comprendra les cas suspects de Covid-19 où une personne n'a pas é té testé e positive pour Covid-19.

La notification des taux de comorbidité du COVID-19 a é té «suspendue» en juillet et n'a pas encore repris. L' analyse finale publié e par l'ONS qui rapportait directement le nombre de conditions pré -sortie pour les dé cè s " avec" COVID-19 mentionné sur le certificat de dé cè s, a é té publié e pour la pé riode se terminant le 30 juin 2020.

De cela, nous avons appris que 91, 1% des dé cè s pré sumé s par COVID avaient au moins une comorbidité supplé mentaire grave. Le nombre moyen de comorbidité s chez les moins de 70 ans é tait de 2, 1 et pour la grande majorité des plus de 70 ans, il é tait de 2, 3.

Il est absurde de pré tendre qu'une personne dé cé dé e qui avait un cancer, une pneumonie et qui venait de subir une intervention chirurgicale, mais qui avait é té testé e positive pour le SRAS-CoV-2 quatre semaines plus tô t, pouvait raisonnablement ê tre classé e comme un dé cè s par COVID-19. Pourtant, c’est pré cisé ment ce qui s’est produit et continue de se produire à ce jour.

Covid-19 gué rit la grippe

Le COVID-19 a é galement gué ri la grippe et d'autres maladies respiratoires, telles que l'adé novirus. Le dé but de janvier est toujours une pé riode d'é pidé mies de grippe notables, d'hospitalisations et de mortalité qui en ré sultent. Cela est é vident si nous examinons le rapport hebdomadaire sur la grippe de PHE pour la semaine 2 de n'importe quelle anné e avant 2020.

En 2020, selon le nouveau rapport hebdomadaire PHE sur la grippe et le COVID, il n'y a eu pratiquement aucun cas de grippe, de traitement ou de dé cè s lié.

L'ONS note tous les dé tails sur un certificat de dé cè s. Dans leur ré sumé de la mortalité pour la pé riode de janvier à aoû t 2020, ils ont dé claré:

La grippe et la pneumonie ont é té mentionné es sur plus de certificats de dé cè s que le COVID-19, mais le COVID-19 é tait la cause sous-jacente de dé cè s dans plus de trois fois plus de dé cè s entre janvier et aoû t 2020.

Comment la grippe et la pneumonie peuvent-elles figurer sur plus de certificats de dé cè s que le COVID-19 si, comme le pré tendent les mé dias et les PHE, elles ont é té ané anties? Il semble que la profession mé dicale n'ait pas reç u la note de service.

Un piè ge systé mique 22

Un test SRAS-CoV-2 positif semble ê tre la principale raison d'attribution de la mortalité. Seul le diagnostic le plus exigeant peut faire la diffé rence entre les symptô mes du COVID-19 et les autres SG. Est-il cré dible de croire que la grippe et la pneumonie figurent sur plus de certificats de dé cè s, mais que le COVID-19 est considé ré comme la cause du dé cè s sur trois fois plus de certificats mé dicaux de cause de dé cè s (MCCD)?

Ce sont des questions quelque peu rhé toriques. La raison pour laquelle des anomalies bizarres comme celle-ci se sont produites est que l'enregistrement du COVID-19 comme cause de dé cè s é tait pratiquement iné vitable.

La loi sur le coronavirus a remanié les processus d'enregistrement des dé cè s et du MCCD. En outre, les changements de codage de l'Organisation mondiale de la santé et les directives publié es par le NHS et d'autres autorité s mé dicales se sont combiné s pour cré er un Catch-22 systé mique .

En Angleterre et au Pays de Galles, un MCCD est complé té en ligne en utilisant le codage recommandé par l' OMS. Le MCCD est divisé en sections. Partie 1. a) «Maladie ou é tat conduisant directement à la mort»; b) " Autre maladie ou é tat, le cas é ché ant, conduisant à (a)" ; et c) " Autre maladie ou é tat, le cas é ché ant, conduisant à (b)" .

La partie 2 enregistre «d'autres conditions importantes contribuant au dé cè s, mais non lié es à la maladie ou à la condition qui en est à l'origine». Par exemple, une personne peut ê tre dé cé dé e d'une insuffisance cardiaque causé e par une pneumonie, mais l'obé sité, bien qu'elle ne soit pas directement lié e à la cause immé diate du dé cè s, aurait pu y contribuer et serait donc enregistré e dans la partie 2.

Dans le cas d'une maladie respiratoire, la cause directe du dé cè s pourrait ê tre le syndrome de dé tresse respiratoire aiguë (SDRA). Cela peut ê tre provoqué, par exemple, par une pneumonie causé e par la grippe. Dans ce cas, la cause directe du dé cè s serait enregistré e dans la partie 1. a) comme ARDS, provoqué e par une pneumonie dans la partie 1. b), et la cause sous-jacente serait dé finie comme la grippe dans la partie 1. c).

Le Comité consultatif sur la classification et les statistiques (CSAC) du Ré seau de la famille des classifications internationales de l'OMS (WHOFIC) a cré é de nouveaux codes de classification internationale des maladies (codes CIM-10) pour le COVID-19. Si la personne dé cé dé e avait é té testé e positive ou avait é té en contact avec quelqu'un d'autre qui l'avait fait, un dé cè s enregistré au COVID-19 é tait pratiquement un fait accompli.

Un « cas confirmé » é tait dé pendant uniquement d'un ré sultat de test positif et a reç u le U07. 1 de code. Les symptô mes observables n'é taient pas né cessaires pour que le code U07. 1 soit enregistré sur un certificat de dé cè s.

Un cas suspect de COVID-19 a é té codé U07. 2. Une personne dé cé dé e connue pour avoir é té en contact avec une personne positive au SRAS-CoV-2 qui, bien qu'elle ne soit ni testé e positive ni pré sentant elle-mê me de symptô mes, a é té considé ré e comme un cas suspect / probable de COVID-19 et a reç u le code U07. 2.

Ni les codes U07. 1 ni les codes U07. 2 n'exigeaient de preuve que le dé funt avait COVID-19.

Comme le code U07. 1 indiquait un «cas confirmé », à moins que le dé funt ne dé cè de de quelque chose de manifestement sans rapport, tel qu'un traumatisme crâ nien, un test positif au SRAS-CoV-2 confirmerait presque automatiquement le COVID-19 comme cause sous - jacente du dé cè s.

L'OMS a clairement dé crit ce processus dans ses directives internationales de codage de la MCCD. Ils ont dé fini ce qu'é tait la mort «due» au COVID-19:

Un dé cè s dû au COVID-19 est dé fini à des fins de surveillance comme un dé cè s ré sultant d'une maladie cliniquement compatible, dans un cas probable ou confirmé de COVID-19, sauf s'il existe une autre cause de dé cè s claire qui ne peut pas ê tre lié e à la maladie COVID (par ex. traumatisme). Il ne devrait y avoir aucune pé riode de ré tablissement complet du COVID-19 entre la maladie et le dé cè s. Un dé cè s dû au COVID-19 ne peut ê tre attribué à une autre maladie (par exemple le cancer).

Une maladie cliniquement compatible pourrait ê tre n'importe quel syndrome grippal. Mê me si l'individu mourait d'un cancer, tant qu'il é tait testé positif pour le SRAS-CoV-2, ou que le mé decin soupç onnait une dé tresse respiratoire, le dé cè s serait enregistré comme «dû à » COVID-19. COVID-19 serait à nouveau la cause sous - jacente signalé e.

Les directives supplé mentaires de l'OMS indiquaient:

Le COVID-19 doit ê tre enregistré sur le certificat mé dical de la cause du dé cè s pour TOUS les personnes dé cé dé es où la maladie a causé, ou est supposé e avoir causé ou contribué au dé cè s. Bien que les deux caté gories, U07. 1... et U07. 2.... conviennent pour le codage de la cause de dé cè s...... il est recommandé, à des fins de mortalité uniquement, de coder le COVID-19 provisoirement en U07. 1 à moins que cela ne soit dé claré comme probable ou suspecté.

Si un mé decin é tait incertain et soupç onnait simplement un cas probable de COVID-19, il lui é tait clairement conseillé de l'enregistrer sur le MCCD comme un cas confirmé (U07. 1 et non U07. 2). Encore une fois, veiller à ce qu'il soit signalé comme la «cause sous-jacente».

Le Bureau des statistiques nationales a dé claré :

Les dé cè s impliquant le coronavirus (COVID-19) incluent ceux avec une cause sous-jacente, ou toute mention, de U07. 1 (COVID-19, virus identifié ) ou U07. 2 (COVID-19, virus non identifié )…

Si le mé decin tenait ferme et codait COVID-19 comme U07. 2 sur la partie 2 du MCCD, l'ONS (et le NRS et le NISA) le rapporterait toujours comme un dé cè s COVID-19.

Dans le clair

Le Coronavirus Act a indemnisé tous les mé decins du NHS contre toute ré clamation pour faute professionnelle ou né gligence. Elle a supprimé la né cessité d'un deuxiè me avis mé dical (mé decin lé giste), elle a en fait exclu les examens post mortem et les enquê tes du coroner dirigé es par un jury, a permis à pratiquement n'importe qui d'agir en tant qu'informateur qualifié et a facilité la cré mation rapide.

En ré ponse à la loi sur les coronavirus et au codage IC10 de l'OMS, le NHS a publié des conseils aux mé decins pour remplir le certificat mé dical de cause de dé cè s (MCCD). La certification de dé cè s COVID-19 et le processus d'enregistrement ont produit la croyance des mendiants. Sous la direction, agissant de leur propre chef sans aucune opinion corroborante:

Tout mé decin inscrit au GMC peut signer le MCCD, mê me s'il n'a pas assisté le dé funt lors de sa derniè re maladie.

Assister ne veut pas dire examiner non plus. L'enregistrement avec le dé funt via Zoom est suffisant. À dé faut, si le mé decin signataire du MCCD n'a vu le dé funt qu'aprè s son dé cè s, à condition qu'il ait é té testé positif, un examen de ses notes est toujours suffisant pour enregistrer un dé cè s COVID-19. Le NHS a dé claré que le COVID-19 pouvait ê tre enregistré partout où:

Un mé decin a assisté le dé funt (y compris une consultation visuelle / vidé o) dans les 28 jours pré cé dant le dé cè s, ou a vu le corps en personne aprè s le dé cè s.

Conformé ment aux directives de codage de l'OMS, il n'est mê me pas né cessaire d'obtenir un ré sultat de test positif. Les directives du NHS ajoutent:

Si, avant la mort, le patient pré sentait des symptô mes typiques de l'infection au COVID-19, mais que le ré sultat du test n'a pas é té reç u, il serait satisfaisant de donner «COVID-19» comme cause de dé cè s… Dans les circonstances où il n'y a pas de pré lè vement, il est satisfaisant pour appliquer le jugement clinique.

Le NHS a ensuite cré é un systè me de certification de dé cè s à distance:

Pendant les pé riodes de dé cè s excessifs dus au COVID-19, les prestataires de soins de santé sont encouragé s à redé ployer les mé decins dont le rô le n'inclut gé né ralement pas les soins directs aux patients, tels que certains mé decins lé gistes, pour fournir un soutien indirect en travaillant en tant que certificateurs dé dié s, en complé tant les MCCD.

Ces certificateurs dé dié s, bien que qualifié s mé dicalement, sont chargé s de signer les COVID-19 MCCD. Les mé decins et l' hô pital Mé decins Gé né ralistes se ré unissent des rapports, peut - ê tre d'un examen du dossier mé dical de la personne dé cé dé e ou une confé rence vidé o avec un fournisseur de soins à domicile, et transmettre cette information à l'dé dié Covid-19 certificateurs pour l' achè vement MCCD.

Le NHS a indiqué qu'aucune preuve n'é tait requise pour l'attribution d'un dé cè s par COVID-19. Ils ont dé claré:

Sans preuve diagnostique, le cas é ché ant et pour é viter les retards, les mé decins peuvent encercler le `` 2 '' dans le MCCD (les informations post-mortem peuvent ê tre disponibles plus tard)

Cette suggestion selon laquelle une autopsie pourrait ê tre disponible n'est pas plausible.

Des directives supplé mentaires publié es par le Collè ge royal des pathologistes stipulent:

Si l'on pense qu'un dé cè s est dû à une infection confirmé e par le COVID-19, il est peu probable qu'un examen post-mortem soit né cessaire et le certificat mé dical de la cause du dé cè s doit ê tre dé livré.

Compte tenu du fait que l'OMS avait demandé que les dé cè s pré sumé s U07. 2 soient codé s comme dé cè s confirmé s U07. 1, la probabilité que tout autre dé cè s que le dé cè s confirmé par COVID-19 atteigne un pathologiste est extrê mement faible. Tout MCCD signé «sans preuve diagnostique» serait presque certainement accepté par le pathologiste sans autre examen. Le simple fait de placer le COVID-19 n'importe où sur le MCCD é tait suffisant pour annuler la né cessité d'une autopsie.

Ce nouveau systè me de certification de dé cè s, spé cialement conç u pour COVID-19, a naturellement semé la confusion. La vé rification des conseils de la British Medical Association indique que si aucun mé decin signataire n'a vu le dé funt avant de remplir le MCCD, il doit le renvoyer au coroner. Cependant, il ne s'agissait que d'une recommandation politique et non d'une exigence lé gale.

En contradiction avec cela, le coroner en chef a dé claré:

Le COVID-19 est une maladie naturelle et est donc susceptible d'ê tre une cause naturelle de dé cè s... Le but du systè me devrait ê tre que tout dé cè s dû au COVID-19 qui ne né cessite pas en droit d'ê tre ré fé ré au coroner soit traité via le Processus MCCD.

Cela signifie que mê me si un coroner reç oit une recommandation d'un mé decin, il sera trè s susceptible d'approuver automatiquement le MCCD sans autre enquê te. Puisqu'une autopsie a dé jà é té effectivement exclue, il ne sera guè re utile que le coroner poursuive son enquê te.

Le personnel du NHS et les soignants qui peuvent avoir é té mal à l'aise avec tout cela ne se font aucune illusion. Le recours à des ordonnances de bâ illonnement draconiennes du Hospital Trust (accords de non-divulgation) est largement rapporté. Les soignants qui se sont prononcé s ont é té limogé s.

Pour finaliser cet incroyable systè me d'enregistrement des dé cè s COVID-19, le Coronavirus Act a é galement retiré le deuxiè me avis standard requis avant la cré mation. La né cessité de remplir le formulaire de cré mation 5 a é té suspendue pour tous les dé cè s dus au COVID-19.

Les personnes dé cé dé es pré sumé es du COVID-19 peuvent ê tre inciné ré es sans aucune preuve claire qu'elles ont dé jà eu la maladie, quels que soient les souhaits de leur famille, mettant rapidement fin à toute possibilité d'enquê te par des membres sceptiques de la famille.

Quelle é tait la cause de la mort?

Le SAGE a é valué le taux de faux positifs (FPR) opé rationnel moyen du Royaume-Uni pour la RT-PCR à 2, 3% de tous les tests effectué s. Le gouvernement affirme avoir effectué un peu plus de 118 millions de tests, dont 4, 3 millions é taient positifs. Cela comprend un nombre inconnu de tests multiples du mê me individu. Un FPR moyen de 2, 3% suggè re que 2, 7 millions de ces 4, 3 millions de tests positifs é taient des faux positifs. Cela é quivaut à 62, 7% de tous les ré sultats de test positifs.

Comme nous l'avons dé jà discuté, il est trè s probable que les tests de laboratoire aient é té le principal dé terminant du diagnostic de COVID-19. Par consé quent, il n'est pas dé raisonnable de supposer qu'au moins 50% des dé cè s dé claré s par COVID-19 ont é té attribué s sur la base de faux positifs. Nous pouvons ré duire de moitié les 148 000 à 74 000 dé cè s par COVID-19.

Les donné es de mortalité de l'ONS 2020 pour l'Angleterre ont montré une ré duction des dé cè s dus à un certain nombre d'autres causes.

Les dé cè s dus aux cardiopathies isché miques é taient de 1 450 au-dessous de la moyenne quinquennale. Les maladies cé ré brovasculaires ont diminué de 2 276, les né oplasmes respiratoires malins de 1 537, les maladies chroniques des voies respiratoires infé rieures de 2 764 et les dé cè s dus à la grippe et à la pneumonie é taient de 7 313 infé rieurs à la moyenne quinquennale. Une ré duction apparente de 15 340 dé cè s dus à d'autres causes.

Il semble trè s probable que ces dé cè s aient é té enregistré s à tort comme COVID-19.

Comme nous l'avons vu ci-dessus, environ 90% des personnes dé cé dé es supposé es COVID-19 avaient au moins une autre comorbidité. L' utilisation 148125 figure du gouvernement, nous pourrions pré tendre, donc que seulement quelque chose comme 15 000 d' entre eux est mort de, plutô t que avec.

Cette affirmation est-elle justifié e? Eh bien, considé rez ceci:

Le ministè re de la Santé et des Affaires sociales a publié une é tude sur les ré sidents des maisons de retraite qui pré tendait montrer le nombre total de cas confirmé s. Parmi ce nombre, ils ont affirmé:

80, 9% des ré sidents testé s positifs é taient asymptomatiques.

Une mé ta-analyse ré alisé e par l' Oxford Center for Evidence Based Medicine a ré vé lé que les taux asymptomatiques parmi ceux qui ont é té testé s positifs variaient entre 5% et 80%. S'il n'y a pas de symptô mes, la maladie ne peut pas avoir contribué à la mort.

En tenant compte de tout, des taux é levé s de comorbidité aux faibles taux d'individus symptomatiques, de l'impact des faux positifs sur les tests et d'un ré gime de certification de dé cè s fortement biaisé en faveur de l'enregistrement du COVID-19 comme cause sous-jacente, il est raisonnable de conclure que le le nombre total de dé cè s dus à Covid-19 n'est ni de 148 000, ni de 126 000, mais bien plus proche de 15 000.

 



  

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