5) Je pourrais être étonné et profondément choqué d’apprendre que

- L’usage du Rivotril et autres molé cules a é té puissamment recommandé dans les EHPAD dans le but d’euthanasier nos anciens que l’on n’a pas accepté de soigner pré cocement

- Nos mé decins traitants avaient interdiction de prescrire autre chose que du Paracé tamol (qui ne soigne pas) et de renvoyer les malades chez eux, en espé rant qu’ils survivent…

- Des mé decins pourtant particuliè rement compé tents et estimé s par leurs pairs et leurs patients aient subi des brimades, des menaces et autres punitions de la part de l’ordreet des autorité s de tutelle pour avoir pré conisé des protocoles d’intervention de soins et d’assistance concrè te aux malades…comme d’habitude.

6) Inté rieurement, je pourrais me sentir plutô t en dé saccord avec un certain nombre de dé cisions prisestelles que:

- L’arrê t inopiné, inexpliqué et singulier des é tudes scientifiques qui semblaient dé montrer l’inté rê t de l’hydroxychloroquine pourtant utilisé e avec succè s à Marseille et dans quantité d’autres hô pitaux dans le monde,

- Le passe-sanitaire qui discrimine la population sur la base de « vaccination » qui n’empê che pourtant pas d’ê tre contaminé, d’ê tre contagieux et de faire des formes graves (jusqu’au dé cè s) de cette maladie toujours é loigné e des soins pré coces

- L’obligation vaccinale dé guisé e, pratiqué e sans ré el consentement et donnant lieu à sanction pour des personnels ré calcitrants pourtant dé voué s à fournir soins et services aux personnes (soignants, pompiers etc…)..

7) Je pourrais é prouver quelques craintes quant à l’avenir sur des sujets lourds de consé quences tels que:

- Les impacts sur la santé des enfants et adolescents sur lesquels on aura pratiqué desinjections de maté riels gé niques encore en phase d’expé rimentation et ayant dé jà dé montré largement leur dangerosité partout où ces injections ont é té pratiqué es;

- L’augmentation de pathologies diverses et varié es jusqu’à des cas de cancers fulgurants chez des adultes doublement, voire triplement « vacciné s » et dont les remonté es de pharmacovigilance, chez nous, demeurent dans un flou aussi coupable qu’inquié tant;

- La confusion du politique et du sanitaire qui mê lé s à l’argument de l’urgence, contribue à é dicter lois et dé crets ré puté s liberticides, intrusifs, autoritaires et propres à gé né rer un climat de suspicion, d’opposition, de ré volte jusqu’à mettre en pé ril l’é quilibre fragile de notre modè le dé mocratique.

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