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L'idéologie réveillée imite les précurseurs du massacre totalitaire, selon les experts



L'idé ologie ré veillé e imite les pré curseurs du massacre totalitaire, selon les experts

22 juin 2021 Le blog de James Fetzer

PAR PETR SVAB

Selon plusieurs experts, certains des principes fondamentaux de l' idé ologie du « ré veil » qui se ré pand dans le pays imitent les idé es utilisé es pour justifier bon nombre des atrocité s les plus horribles du siè cle dernier.

Un documentaire ré cemment publié explorant le sujet, intitulé « BetterLeftUnsaid », conclut que la « gauche radicale » auto-identifié e approuve quatre « vé rité s » fondamentales qu'elle « tient pour é videntes », notant que ces principes ont é galement é té utilisé s pour justifier et inciter à bon nombre des pires massacres du 20e siè cle.

La premiè re des quatre affirmations est que « le monde est mieux vu à travers une lentille narrative d'oppression de groupe ».

L'idé ologie « é veillé e » est basé e sur un ensemble de thé ories quasi-marxistes qui divisent la socié té en « oppresseurs » et « opprimé s » en fonction de caracté ristiques telles que la race, le sexe, la classe ou les penchants sexuels. « Woke » est parfois utilisé de maniè re interchangeable avec la thé orie de la race critique (CRT), qui est l'une des idé ologies les plus importantes qui opè rent dans ce cadre.

Une scè ne du documentaire " BetterLeftUnsaid" de Curt Jaimungal. (Mieux vaut ne pas dire/Curt Jaimungal)

La deuxiè me affirmation est que « la preuve de l'oppression est l'iné galité entre les groupes », dit le documentaire. Si le groupe dé signé « opprimé » fait en moyenne pire à certains é gards que le groupe dé signé « oppresseur », cela est considé ré comme une preuve pratiquement inattaquable de « l'oppression ».

La troisiè me affirmation est que « le dialogue pacifique et la compré hension entre les groupes sont impossibles puisque la straté gie du groupe dominant est de conserver son pouvoir ».

Les thé oriciens de Woke ont postulé que les « opprimé s » ont une perspective d' une valeur unique sur la ré alité qui n'est pas disponible pour les « oppresseurs ». En attendant, disent-ils, la « blancheur » ou « l'hé té ropatriarcat blanc » ne peut s'empê cher d'essayer de maintenir son « hé gé monie ». Mê me s'il fait des choses qui profitent aux membres d'autres groupes, comme par exemple en abolissant l'esclavage ou en donnant le droit de vote aux femmes et aux Noirs, il le fait toujours par inté rê t personnel et afin de renforcer davantage ses institutions et ses normes et ainsi garantir le « » privilè ge » de ses membres.

Une scè ne du documentaire " BetterLeftUnsaid" de Curt Jaimungal. (Mieux vaut ne pas dire/Curt Jaimungal)

Les partisans de l'idé ologie s'engagent dans un dialogue entre eux, mais avec tout le monde, la communication est censé e aller gé né ralement dans une direction: celle de l'acceptation de leurs points de vue. Tout dé fi à l'idé ologie est qualifié d'é goï ste ou mê me d'attaque contre les « opprimé s ».

Enfin, l'idé ologie reconnaî t au moins implicitement qu'«en raison de ce qui pré cè de, la violence est justifié e pour é radiquer les iné galité s», dit le documentaire.

« D'aprè s mon expé rience, ils (dans la mesure où ils peuvent ê tre suffisamment regroupé s pour les appeler « ils ») ont tendance à plaider en faveur de la violence contre ceux qui les oppriment et à l'assimiler à un comportement é logieux; par consé quent, " coupez un nazi" ", a dé claré l'auteur du documentaire, Curt Jaimungal, à Epoch Times par courrier é lectronique.

" J'ai des catalogues de tweets, de dé clarations é crites et de vidé os de personnes allant des é tudiants aux [professeurs] appelant explicitement à la violence et minimisant la violence de ceux de gauche par rapport à ceux de droite", a-t-il ajouté, pas à cause de l'intensité ou de la fré quence. d'une telle violence, mais à cause de la soi-disant « noblesse de la position de l'extrê me gauche ».

Ces quatre principes, dé montré s par Jaimungal dans le documentaire, sont communs à bon nombre des massacres et des ré gimes les plus brutaux du 20e siè cle, de l'Union sovié tique et l'Allemagne nazie à la Chine communiste et au gé nocide rwandais.

Dans chaque cas, une classe entiè re de la socié té est dé peinte comme injustement privilé gié e et en tant que telle intrinsè quement oppressive, avec peu de considé ration pour les actions spé cifiques des membres individuels du groupe. Pendant ce temps, un dé saccord ou un simple dé sinté rê t pour cette classification est considé ré comme un soutien à l'oppression perç ue. La ré conciliation par le dialogue é tant retiré e de la table, le seul recours restant est le conflit – une action « ré volutionnaire » où la violence est considé ré e comme iné vitable et, en fin de compte, pré fé rable.

" Trop peu de gens connaissent le carnage incessant qui a eu lieu sous la tê te de mâ t des isomè res de l'é quité ", raconte Jaimungal dans le documentaire.

Il a dit qu'il é vitait d'utiliser des exemples d'atrocité s commises en raison de la nature totalitaire des diffé rents ré gimes.

" Je veille à ne lister ou à ne parler que des dé cè s associé s à la doctrine philosophique de la culpabilité de groupe et de la culpabilité de classe", a-t-il dé claré.

Les partisans du socialisme soutiennent gé né ralement que les mouvements qui ont conduit à ces tragé dies ont é té ré quisitionné s ou dé tourné s par des personnes qui ne croyaient pas vraiment en l'idé ologie. Mais ils ont eu tendance à niveler l'argument ré trospectivement, aprè s qu'eux-mê mes ou leurs pré dé cesseurs partageant les mê mes idé es aient initialement approuvé les mouvements et les ré gimes naissants, souligne le documentaire. De plus, les partisans s'arrê tent gé né ralement avant de dé tailler comment la prochaine tentative empê chera les pré tendus non-croyants de prendre le relais.



  

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