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J Marvin Herndon



 

L'aluminium de la gé o-ingé nierie clandestine empoisonne les ê tres humains et le biote terrestre: implications pour l'Inde

9 Juillet 2015, 08: 54am

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Publié par J Marvin Herndon

J Marvin Herndon

Article de J Marvin Herndon publié le 25 juin dans Current Science - Traduction franç aise: Ciel voilé

En ré ponse à un urgent appel à l'aide lancé par un article de Current Science pour comprendre le lien gé ologique entre une mobilité extrê mement é levé e de l'aluminium et la santé humaine dans la plaine alluviale du Gange, j'apporte la preuve qu'une activité de gé o-ingé nierie clandestine est en cours depuis au moins 15 ans, et qu'elle s'est accrue fortement ces deux derniè res anné es. La gé o-ingé nierie, via des avions-citernes, disperse dans l'atmosphè re terrestre une substance toxique, qui n'y est pas pré sente naturellement et qui avec la pluie libè re de l'aluminium extrê mement mobile. De plus, j'apporte la preuve que cette substance toxique est de la cendre de charbon. Je fais l'hypothè se que la dispersion clandestine de cendres de charbon et la libé ration d'aluminium trè s mobile qui en ré sulte, est une cause dé terminante de l'augmentation rapide et de la fré quence des maladies neurologiques ainsi que de l'actuelle dé gradation du biote* terrestre.

Mots-clé s: empoisonnement à l'aluminium, biote, activité de gé o-ingé nierie clandestine, cendre volante de charbon.

Dans leur article intitulé " Extrê me mobilité de l'aluminium dans le bassin de la riviè re Gomati: implications pour la santé humaine" Jigyasu et al[1]. constatent " qu'une é tude pluridisciplinaire syté matique est né cessaire, de faç on urgente, pour comprendre le lien entre une haute mobilité de l'aluminium et la santé humaine dans la vallé e alluviale du Gange, l'une des ré gions les plus peuplé es au monde. " Le pré sent article se veut une ré ponse, au moins partielle, à cet appel à l'aide.

La vie sur Terre est né e et a é volué dans des conditions d'une extrê me immobilité de l'aluminium (Al), un é lé ment chimique qui repré sente 8% du poids de la croû te terrestre. Par consé quent, le biote de la planè te, y compris les ê tres humains, n'a pas dé veloppé de mé canismes de dé fense naturelle face à l'exposition à une forme chimiquement mobile d'aluminium. Dans le monde entier, depuis au moins dix ans, et avec une intensité dramatiquement croissante, notre planè te est dé libé ré ment et clandestinement exposé e à une substance pas naturelle, qui disperse dans l'environnement de l'aluminium chimiquement toxique.

J'apporte ici la preuve de la dispersion et de la nature de cette substance artificielle et je dé cris son implication potentielle dans la dé gradation de l'environnement12 et de la santé humaine2-11, et je discute des implications pour l'Inde à la lumiè re des niveaux extrê mement é levé s publié s ré cemment d'aluminium chimiquement mobile observé dans l'eau de la riviè re Gomati, un affluent majeur du Gange, dans la plaine alluviale du Gange au nord de l'Inde.

Le programme du " ré chauffement climatique" a commencé dans les anné es 1980, en particulier avec la cré ation du GIEC ( Groupement International d'Experts du Climat) en 1988, par l'ONU. Le premier rapport du GIEC en 1990 affirme que la planè te se ré chauffe et que ce ré chauffement climatique se poursuivra probablement dans le futur. Le pré sumé coupable serait l'activité humaine: le rejet de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphè re, serait supposé produire des gaz à effet de serre. C'est alors que les modé lisateurs apparaissent munis de modè les climatiques à l'é chelle plané taire, basé s sur l'assertion fausse selon laquelle la chaleur é mise par le Soleil et la chaleur é mise par la Terre seraient toutes deux constantes.

Considé rer, de faç on irré aliste, ces deux variables pré dominantes comme des constantes, permet de rendre significatif le minuscule effet de serre dû à l'augmentation du dioxyde de carbone. Le ré sultat voulu de ces modè les climatiques est de dé montrer que les activité s humaines provoqueraient le ré chauffement climatique et que les consé quences seraient dé sastreuses, menaç ant la vie sur terre et toute forme de vie. Mise en avant par la politique, la finance et la glorification d'inté rê ts personnels, l'idé e d'un ré chauffement climatique d'origine anthropique prend racine. Pourtant il existe une autre explication qui n'a rien à voir avec l'activité humaine13.

Depuis 1996, le GIEC mentionne dans ses rapports la possibilité de manipuler le climat ou d'utiliser la " gé o-ingé nierie", l'idé e de disperser des substances ré flé chissantes dans la haute atmosphè re ( la stratosphè re) pour renvoyer dans l'espace une partie du rayonnement solaire incident afin de compenser le soi-disant ré chauffement climatique anthropique. L'é lan pour cette idé e de manipuler le climat par la gé o-ingé nierie est venu de l'observation, aprè s une importante é ruption volcanique: les cendres peuvent rester pendant une anné e ou plus dans la stratosphè re, où peu d'é changes se produisent, obscurcissant l'ensoleillement et abaissant globalement les tempé ratures.

On trouve beaucoup d'informations et de preuves sur internet et dans des livres montrant que des activité s de gé o-ingé nierie clandestines sont mené es depuis des anné es, remontant mê me au dé but des anné es 2000. De faç on notable et alarmante, on a observé de profondes augmentations de l'activité de gé o-ingé nierie, depuis dé but 201314-16. Mais ce n'est pas reconnu publiquement, il n'y aucune explication donné e, aucune recherche acadé mique, aucun consentement é clairé, et aucune divulgation quant à la nature des substances toxiques dispersé es dans l'air. A l'inverse, apparaî t une forme systé matique de dé sinformation, la volonté d'é tiqueter les observateurs concerné s du surnom pé joratif de " thé oriciens du complot", et d'en dé duire à tort que les traî né es chimiques toxiques que l'on observe, caracté ristiques de la gé o-ingé nierie, seraient simplement dues à la formation de cristaux de glace provenant des é missions des avions de ligne commerciaux volant à des altitudes é levé es17.

Figure 1. Trainé es chimiques toxiques d'é pandages aé riens clandestins de gé o-ingé nierie, en dé but de journé e à San Diego, É tats-Unis, le 8 aoû t 2014. La trainé e de l'avion-citerne s'é tale, formant au dé but un nuage fin, puis un voile blanc. Figure 2. Plusieurs trainé es chimiques toxiques de gé oingé nierie clandestine, au-dessus d'une d'une zone reconnaissable de San Diego, Kearney Mesa, le 16 janvier 2015. Figure 3. Intense é pandage par des avions-citernes pour les programmes clandestins de gé o-ingé nierie, le 23 Novembre 2014 sur San Diego. Initialement, le ciel é tait d'un bleu pur ce jour-là, dé pourvue de tout nuage naturel. Le maté riau toxique utilisé ne reste pas dans la haute atmosphè re, mais contamine l'air respiré par les habitants de San Diego, la pluie et le sol.

J'habite la mê me maison depuis 1977, et j'ai vu la mê me portion du ciel presque chaque jour. Aprè s que les brumes marines matinales se soient dispersé es, le ciel de San Diego, en Californie, aux É tats-Unis, a souvent é té sans nuage et la pluie rare. L'air y est chaud et sec, peu propice à la formation de cristaux de glace en provenance des traî né es é mises par les avions de ligne à haute altitude. Depuis le printemps 2014, j'ai observé l'apparition ré guliè re de trainé es toxiques de gé o-ingé nierie dans la basse atmosphè re ( troposphè re) qui se mé langent à l'air que nous respirons, et l'augmentation de leur fré quence (figures 1 et 2). Depuis novembre 2014, les é pandages en provenance d'avions-citernes sont devenus presque quotidiens, parfois au point de transformer le ciel bleu en une couverture de nuages artificiels (figure 3). De faç on troublante, ni le maire ni le chef de la police de San Diego n'ont lancé d'avertissements mê me pour les personnes les plus à risque: les enfants, les femmes enceintes, les personnes â gé es et ceux dont le systè me immunitaire et respiratoire est dé jà compromis.

Si on utilisait des cendres volcaniques naturelles pour les é pandages aé riens de la gé o-ingé nierie, ce qui n'est pas le cas, ce ne serait pas sans risque pour la santé. On a observé un manque de souffle, des respirations sifflantes, de la toux et des irritations des yeux et du nez18.

Mais à ma connaissance, la dispersion dans l'atmosphè re d'aluminium mobile n'est pas faite avec des cendres volcaniques naturelles. L'extraction et le fraisage de pierre pour produire des cendres volcaniques artificielles en quantité suffisante, 10 à 12 millions de tonnes par an, afin de mettre en œ uvre un programme à grand é chelle de gé o-ingé nierie dans le but de refroidir la planè te, serait horriblement coû teux. Des produits chimiques de synthè se seraient aussi bien trop chers, sauf pour un usage occasionnel clandestin, lors d'expé riences de modification du temps ou de guerre climatique.

Cependant, il existe des dé chets extrê mement bon marché et immé diatement disponibles, en quantité illimité e, d'une taille adapté e aux dispersions d'aé rosols, des dé chets qui né cessitent un retraitement: les cendres de charbon volantes repré sentent le second dé chet industriel le plus important de l'é conomie amé ricaine. Bien que rien ne filtre sur les opé rations massives de gé o-ingé nierie stratosphé rique, mê me non reconnues à ce jour, comme dé crit ci-dessous, il y a de bonnes raisons de penser que les cendres de charbon volantes soient le principal ingré dient utilisé en gé o-ingé nierie.

La combustion du charbon dans l'Ouest des É tats-Unis, surtout dans les usines é lectriques, produits des cendres lourdes qui se dé posent, ainsi que des cendres volantes qui autrefois é taient rejeté es par les cheminé es exté rieures dans l'atmosphè re, mais qui de nos jours sont conservé es et stocké es en raison de leurs effets nocifs bien connus sur la santé humaine et leurs dommages sur l'environnement.

Les cendres de charbon volantes sont des dé chets dangereux à stocker parce que l'eau infiltre les é lé ments toxiques19. Les opé rations de lixiviation** sur des cendres volantes de charbon sont classiquement mené es pour comprendre/atté nuer leur mobilité chimique induite par les nappes phré atiques20-21. Moreno et al20. ont é tudié en laboratoire le comportement de 23 é chantillons de cendres volantes de charbon en provenance de diffé rentes centrales é lectriques europé ennes. La sé lection couvrait la plupart des types de cendres de charbon volantes produites dans l'Union Europé enne. Toutes sauf une ont é té collecté es sur des pré cipitateurs é lectrostatiques. La procé dure de lixiviation employé e né cessitait le mé lange de 100 g de cendres volantes de charbon et d'un litre d'eau distillé e dans des bouteilles de 2 litres pendant 24 heures. Les auteurs rapportent l'importance de 38 é lé ments dans le pré cipité incluant de l'uranium et du thorium radioactifs, et d'un inté rê t particulier ici: de l'aluminium, du baryum et du strontium. Ensemble, l'aluminium, le baryum et le strontium sont la marque de la principale substance toxique utilisé e dans la gé o-ingé nierie clandestine.

De juillet 2011 à novembre 2012, on a analysé l'aluminium et le baryum pré sents dans 73 é chantillons d'eau de pluies. 71 é chantillons ont é té pré levé s en Allemagne sur 60 lieux diffé rents, 1 en France et 1 en Autriche. L'aluminium é tait pré sent dans 77% des é chantillons à une concentration moyenne de 17. 68 µg/l. La concentration moyenne du baryum s'é levait à 3. 38 µg/l. Celle du strontium à 2. 16 µg/l é galement observé e dans 23 é chantillons d'eau de pluie22.

A ma connaissance, il n'y a pas eu d'expé rience de filtration sur les cendres volantes de charbon, exposé es à des conditions telles que celles que l'on pourrait attendre d'une dispersion d'aé rosols dans l'atmosphè re, comme l'exposition aux UV, l'abrasion par le contact avec des particules ou les dé charges é lectrostatiques. Lors d'une analyse faite dans une zone non industrielle du nord de la Californie, l'eau de pluie collecté e pendant un orage et des é clairs contenait 3450 µg/l d'aluminium, alors qu'un é chantillon similaire collecté 10 jours plus tô t contenait 850 µg/l d'aluminium16, la diffé rence peut avoir ou non un rapport avec une dé charge é lectrique.

Figure 4. Aluminium contenu dans les é chantillons d'eau de pluie en fonction de la date de pré lè vement. L'é cart entre 2002 et 2006 ne signifie pas une absence de gé oingé nierie clandestine: de nombreuses photos sont disponibles durant cette pé riode.

La figure 4 montre la mesure de l'aluminium dans des é chantillons d'eau de pluie collecté s de 2001 à 2014. En gé né ral, ce sont des scientifiques indé pendants qui ont payé de leur poche les frais d'analyses en laboratoire, d'où le peu de donné es. Les scientifiques universitaires subventionné s par le gouvernement n'ont pas fait de mesures comparables ou bien ne les ont pas publié es. L'é vaporation de l'eau de pluie concentre l'aluminium pré sent. Dans une mare é tanche remplie par la pluie et l'eau d'un puits contenant un niveau indé tectable d'aluminium, la concentration d'aluminium s'é levait à 375 000 µg/l16.

Figure 5. Empreinte comparable des ratios Al / Ba dans des eaux de pluie pré levé es aprè s é pandages de gé o-ingé nierie et le lixiviat de cendres volantes de charbon. Le placement sur l'axe horizontal est arbitraire pour é taler les points de donné es.

En utilisant des ratios, on peut comparer directement la composition de l'eau de pluie à celle des cendres volantes de charbon dans les expé riences de lixiviation. La figue 5 compare le ratio du poids de l'aluminium sur celui du baryum Al/Ba dans l'eau de pluie et dans le lixiviat de cendres de charbon volantes. Les dispersions des valeurs Al/Ba pour l'eau de pluie et pour le lixiviat de cendres volantes de charbon sont si proches qu'on ne peut les distinguer, alors que les é chantillons d'eau de pluie ont é té collecté s à diffé rents endroits, à diffé rentes pé riodes, avec des degré s diffé rents d'é pandages d'aé rosols toxiques, et les cendres volantes de charbon varient aussi dans leur lieu d'origine et leur composition.

Figure 6. Empreinte comparable des ratios Sr / Ba dans des eaux de pluie pré levé es aprè s é pandages de gé o-ingé nierie et le lixiviat de cendres volantes de charbon. Le placement sur l'axe horizontal est arbitraire pour é taler les points de donné es.

La figure 6 compare le rapport des poids du strontium et du baryum Sr/Ba dans les eaux de pluie et dans les lixiviats de cendres de charbon. Les dispersions des valeurs Sr/Ba se confondent virtuellement alors que les é chantillons d'eau de pluie ont é té collecté s à diffé rents endroits, à diffé rentes pé riodes, avec des degré s diffé rents d'é pandages d'aé rosols toxiques, et les cendres volantes de charbon varient aussi dans leur lieu d'origine et leur composition. Les donné es pré senté es ci-dessus constituent la preuve que les cendres volantes de charbon sont la substance principale employé e dans les activité s de gé o-ingé nierie clandestines depuis au moins 15 ans aux É tats-Unis et depuis des pé riodes inconnues en Europe de l'Ouest, en Nouvelle Zé lande et peut-ê tre ailleurs.

De telles activité s de gé o-ingé nierie clandestines ont exposé l'humanité et le biote de la Terre à de l'aluminium trè s mobile, une substance toxique qu'on ne trouve pas dans l'environnement naturel et face à laquelle aucune immunité naturelle n'a é té dé veloppé e.

Pendant la pé riode d'utilisation des cendres volantes de charbon pour les activité s de gé o-ingé nierie clandestines, les maladies neurologiques impliquant l'aluminium ont explosé, elles comprennent l'autisme, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, le trouble du dé ficit de l'attention avec ou sans hyperactivité, et bien d'autres, ainsi que des destructions multiples de la vie vé gé tale et animale. L'aluminium trè s mobile des cendres volantes de charbon dispersé par la gé o-ingé nierie en est la cause selon moi. Comment vé rifier cette information? En principe, on devrait observer une corré lation entre la quantité de cendres volantes de charbon dispersé es dans l'atmosphè re par la gé o-ingé nierie et l'apparition des maladies neurologiques impliquant l'aluminium. Mais il y a peu de chance que les donné es des activité s de gé o-ingé nierie clandestines soient un jour divulgué es. Aprè s la ré é lection du Pré sident Barack Hussein Obama pour un second mandat le 20 janvier 2013, les activité s de gé o-ingé nierie clandestines ont fortement augmenté devenant quasi-quotidiennes dans beaucoup d'endroits aux Etats-Unis14-16. Si les activité s de gé o-ingé nierie clandestines sont les causes majeures des maladies neurologiques impliquant l'aluminium, alors leur apparition devrait avoir fortement augmenté depuis le 20 janvier 2013, bien que ce soit une preuve horrible des crimes contre l' humanité et le biote terrestre d'une ampleur et d'une gravité jamais expé rimenté es jusqu'alors.

Figure 7. Carte de localisation du bassin de la riviè re Gomati (courtoisie: Jigyasu et al. 1). Figure 8. Ré partition saisonniè re de la concentration d'aluminium dissout dans les eaux de pluie et rejet dans la riviè re Gomati à Chandwak (courtoisie: Jigyasu et al. 1).

plaine alluviale du Gange, comme on peut la voir figure 7, longe les montagnes himalayennes qui forment une barriè re naturelle au passage des nuages. En fonction des saisons, comme l'ont dé couvert Jigyasu et al. la pluie dé verse des quantité s toxiques d'aluminium extrê mement mobile dans le bassin de la riviè re Gomati. Je fais l'hypothè se que la premiè re origine de cet aluminium extrê mement mobile est la cendre volante de charbon dispersé e en aé rosols. Cette hypothè se est relativement facile à vé rifier en pré levant des é chantillons d'eau de pluie et en y analysant l'aluminium, le baryum et le strontium. Si la cendre de charbon est l'origine premiè re de cet aluminium extrê mement mobile, alors une question plus difficile doit se poser. Quelle proportion de cendres volantes de charbon pulvé risé es en aé rosols vient des activité s de gé o-ingé nierie clandestines et quelle proportion provient de la combustion industrielle du charbon en Inde? Une approche experte à envisager serait de pré lever des é chantillons de cendres volantes de charbon directement dans les nuages de mousson et dans les nuages avant qu'ils n'entrent dans l'espace aé rien indien. Ces é chantillons pourraient alors ê tre comparé s aux é chantillons de cendres volantes de l'industrie indienne. Bien que l'investigation experte dé crite ci-dessus soit difficile et coû teuse, ses ré sultats pourraient aider l'Inde à amé liorer la santé de ses citoyens.

* En é cologie, un biote ou biota [du grec β ί ο ς, vie] est l’ensemble des organismes vivants (flore, faune et champignons ainsi que les micro-organismes tels que bacté ries, levures, microchampignons…) pré sents dans un habitat (naturel, semi-naturel) ou biotope particulier, ou un lieu ou une ré gion pré cise.

**La lixiviation (du latin lixivium; souvent lessivage1) dé signe dans le domaine de la chimie, de la pharmacie ou des sciences du sol, toutes les techniques d'extraction de produits solubles par un solvant, et notamment par l'eau circulant dans le sol (é ventuellement pollué e) ou dans un substrat contenant des produits toxiques (dé charge industrielle en particulier).

Sources:

http: //www. currentscience. ac. in/Volumes/108/12/2173. pdf
http: //nuclearplanet. com/2173. pdf

1. Jigyasu, D. K. et al., High mobility of aluminum in Gomati River Basin: implications to human health.

Curr. Sci., 2015, 108(3), 434-438.

2. Bondi, S. C., Prolonged exposure to low levels of aluminum leads tochanges associated with brain aging and neurodegeneration. Toxicology, 2014, 315, 1-7.

11. Tripathi, M. et al., Risk factors of dementia in North India: a case-control study. Aging Mental Hearth, 2012, 16(2), 228-235.

12. Sparling, D. W. and Lowe, T. P., Environmental hazards of aluminum ro plants, invertebrates, fish and wildlife. Rev. Environ. Contam. Toxicol., 1996, 145, 1-127.

13. Herndon, J. M., Variables unaccounted for in global warming and climate change models. Curr. Sci., 2008, 95(7), 815-816.

14. http: //stopsprayingcalifornia. com/

16. http: //www. geoengineeringwatch. org/

17. Oliver, J. E. and Wood, T. J., Conspiracy theories and the paranoid styles of mass opinion. Am. J. Polit. Sci., 2014; doi: 10. 1111/ajps. 12084.

18. Bolong, R. J., Volcanic Hazards: A Sourcebook on the Effects of Eruptions, Academic Press, Australia, 1984, p. 424.

19. Izquierdo, M. and Querol, X., Leaching behavior of elements from coal combustion fly ash: an overview. Int. J. Coal Geol., 2012, 94, 54-66.

20. Moreno, N. et al., Physico-chemical characteristics of European pulverized coal combustion fly ashes. Fuel, 2005, 84, 1351-1363.

21. Cheng-you, Wu, Hong-fa, Yu and Hui-Fang, Z., Extraction of aluminum by pressure acid-leaching method from coal fly ash. Trans. Nonferrous Met. Soc. China, 2012, 22, 2282-2288.

22. http: //www. cielvoile. fr/article-concentrations-de-metaux-lourds-dans-l-eau-de-pluie-en-allemagne-118778899. html

Ndt: pour les autres numé ros de renvois, consulter l'article original.

 



  

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