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De Mélodie Rg – Merci !



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Le Mahabharata

 

LE BLUE BEAM ET HAARP DU PASSE

La Science des VEDASou les Sciences des Connaissances

Les Vé das en Sanskrit veulent dire Connaissances, ils repré sentent des milliers de pages qui inclus l'histoire du Mahabharata, cette Guerre effroyable qui a ravagé la planè te et qui a dé truit toutes les infrastructures de la civilisation, il y a de cela prè s de 5000 ans.

Où que nous allons, les preuves sont partout.
La vallé e de l'Indus est l'exemple terrible de ce qu'il s'est passé par la violence des bombes nuclé aires et bien d'autres armes encore plus effroyables que vous ne pensez l'imaginer

Toutes les parties de la planè te, ont des vestiges de ces radiations avec la vitrification des corps, les sols prouvent encore aujourd'hui encore que ce ne sont surtout pas des lé gendes.
Pour quelles raisons dit-on que les Gaulois avaient peur que le ciel leur tombe sur la tê te?
Voici une trè s bonne question non?
Mê me si elles n'ont pas toujours un sens, il faut les remettre dans le contexte du passé avec une langue commune à tous qui, depuis a é volué de maniè res diffé rentes aux quatre coins sur la planè te qui a survé cu parmi des petits groupes des rescapé s

Les é choué s de la vie ont dû s'adapter à leurs nouvelles conditions aprè s les ravages de la Destruction de l'immense civilisation mondialement connecté e, de leurs connaissances, de leur perte d’identité aprè s avoir é té maintenus MAYAS par les dé mons.

Ce qui se traduit encore par les populations Indienne, la maintenance de l'Illusion.
La magie des té nè bres.

Ce qui est l’é tat ACTUEL de notre monde et de nos connaissances!

Avant leurs attaques ils é taient maintenus en soumissions hypnotiques et dans la dé pravation des mœ urs.

Une fois dé truits, dé munis, isolé s, traumatisé s, sans possibilité de pouvoir communiquer entre eux, ils se sont ré fugié s là, où il é tait encore possible de construire quelque chose, sans vrais objets de leurs connaissances acquises au fil des milliers d'anné es.
Il n’existe pas moins de 600 histoires qui sont arrivé s jusqu'à nous.

Ces lé gendes qui nous rappellent les mê mes faits, les mê mes personnages et les dé mons, ou Dieux qui restent les mê mes
Leurs descendants sont nos ancê tres, qui ont lé gué les vestiges dé formé s par le temps, ils ne sont donc pas pris pour des faits sé rieux.
De nos jours la mondialisation avec ses dangers pour nô tre ané antissement nous devrions les prendre trè s au sé rieux au lieu d'en sourire pour mieux les ignore comme le font les mé dias et beaucoup de scientifiques pour les relé guer aux rangs et au nom de la bê tise humaine qui est forcé ment mieux que de s'informer vraiment.

Cependant les Hindous quant à eux, continuent de se transmettre par voie orale et chanté e cette terrible malé diction qui a frappé toute l'humanité afin de ne jamais oublier de ce qu'il s'est passé et de rester vigilants à bien des é gards.. .

Ils sont par consé quent les Gardiens pour nous, du savoir des hautes technologies sont à peine su par l'ensemble de l'humanité et de l'histoire de ces connaissances mê me si nous les ignorons et les confondons par ignorance avec des extraterrestres pour le moment!
Les vé das portent la Sagesse spirituelle, par voix chanté e pour é viter de faire des erreurs lors de leurs passations.
Nous allons donc ensemble dé couvrir pour quelles raisons ce peuple est naturellement pacifique et bien plus riche que nous le sommes.

Les vé das se ré fè rent à l'histoire humaine d'il y a plus de 5000 ans date de la guerre totale,.

Elle est donc largement plus ancienne que l’histoire antique de la Haute É gypte et de celle de la Mé sopotamie ré unies, les deux seules ré fé rences admises et soutenues depuis des gé né rations, aux vues du grand public par les satanistes


. En revanche, la partie mysté rieuse de leurs histoires, reste dans les té nè bres, puisque elle est le seuil d'une histoire encore plus incroyable et inenvisageable pour l'ensemble de l'humanité, qui croit ê tre à la pointe de la technologie..


Pendant que nos yeux sont tourné s ailleurs les satanistes quant à eux, sont fixé s sur des technologies qu'ils é tudient et qu'ils exploitent. à la barbe tous depuis toujours mais surtout vrai depuis le 19è me siè cle et encore plus durant le second conflit ou la Compagnie de Jé sus, Jé suite plus connu sous le nom des illuminatiRotchild& co
La civilisation actuelle est maintenue dans Maya, l'Illusion.


Nous nous illusionnons d'ê tre plus instruits que nos grands-parents, puisque nous sommes estampillé s sous le label de Qualité nommé Diplô me qui flatte nô tre Ego.

Les technologies actuelles ne veulent pas dire progression, il suffit de constater l'é tat de dé labrement de la socié té du XXI iè me siè cle, elles ne sont pas là, pour le bien de l'humanité.
Vous pourriez vous dire; Oui mais nous le savons dé jà !

Mais é galement qu'en tant que chercheurs de vé rité s vous vous ê tes informé s sur tous les sujets et notamment dans le domaine des ovnis et des phé nomè nes en tous genres, ce que tout le monde peut voir sur you-tube ou bien ê tre un té moin direct..


Rappelez-vous, nous sommes dans MAYA.

Nous avons entre nos mains des bobines de fils avec des nœ uds à dé faire!
Quel est l'é tat actuel de nos Connaissances?


Les Vé das sont un savoir considé rable à la fois maté rielle et spirituelle mais é galement ils donnent des leç ons de Sagesse à retenir, pour ne pas ré ité rer ce qui s'est passé..

Notre civilisation actuelle peut grâ ce à cette immense culture, faire renaî tre un immense é lan d'espoir avec un  ge d'Or, une Renaissance à la Vie
Elle fera naî tre dans notre socié té de nouvelles valeurs morales qui donnent du sens à la vie et à celui de de nos enfants pré sents et à venir..
Nous devons prendre conscience de nô tre vé ritable nature et de nô tre Pouvoir et enfin ouvrir les yeux sur la Ré alité incroyablement diffé rente..


Voici les points que nous allons é claircir /:


1) cette Guerre effroyable qui va bien au-delà de l'entendement et non admise par l'ensemble des populations mondiales. pour ne pas vouloir admettre que le systè me H. a. a. r. p est enclenché


2) Les Technologies de Pointes –

Lorsque l'histoire nous dit que nos ancê tres é taient des singes et cloné s afin de devenir des esclaves dociles pour extraire l'or des mines et de reconstruire l'atmosphè re de la planè te Nibiru. prè s de l’orbite de la terre et qui devrait la percuter dans peu de temps, nous commencerions à en voir les effets avec tous ces tremblements de terre, tsunamis, de volcans qui se ré veillent et de tous ces ouragans. (une é nergie folle est qui et consacré à l'illuminatiZechariaSchinshin agent de la CIA pourvoyeur du mensonge qui n'a jamais é tudié les langues anciennes mais promu par ses amis sionistes.


3) Les Appareils de pointe les Vimanas - -

Lorsque beaucoup croient que nô tre seul salut viendra du Commandant AshtarSheram de la Confé dé ration Galactique et de tous ces mé diums qui croient ê tre branché s au bon endroit.

Il viendra nous sauver et que nous sommes sur le point d'ê tre en contact avec nos frè res de l'espace.


4) la Cosmologie totalement diffé rente –

Lorsque nous croyons ê tre sur une planè te dans un systè me solaire perdu dans le fin fond de l'espace sidé rale que nous apprenons dans nos manuels scolaire et qui depuis change de forme et de couleur selon son humeur


5) Et pour conclure, que font les cabalistes et leurs scientifiques quelles sont les preuves factuelles
Voici quelques passages qui vous permettra de comprendre que notre civilisation actuelle n'est en rien avancé e.


Le systè me H. a. a. r. p bien avant l'heure:

" C'é tait comme si toutes les forces de la Nature avaient é té dé clenché s.

Cette chose é blouissante tel le soleil, tournoyait en rond. c'é tait comme si toutes les forces de la nature avaient é té soudainement dé clenché es..

La chaleur de cette arme terrifiante a brû lé tout le monde, les é lé phants ont pris feu. Les autres complè tement affolé s tentaient de trouver des abris pour se proté ger de cette arme terriblement puissante
L'eau de l'océ an par l’extrê me chaleur s'est mise à bouillir, tous les animaux sont morts, les ennemis ont é té tué s, les arbres de la forê t sous la fureur du feu, tombaient en rangé es et les é lé phants qui portaient leurs troncs tombaient au sol mais aussi les chevaux et les chars tous brû laient.


Les milliers de chars ennemis ont é té dé truits puis, il y eut un silence total qui est descendu au-dessus de l'océ an.

Quand l'Ouragan a commencé à souffler, la terre resplendissante n'existait plus.

Ce fut un spectacle terrible.

Les cadavres des morts é taient carbonisé s par la terrible chaleur, ils ne ressemblaient plus à des hommes.

Jamais nous n'avions vu des armes aussi terribles, nous n'en n'avions jamais entendu parler " ( extrait: du Drona-parva)
Les textes vé diques contiennent un grand nombre de descriptions de diffé rents types armes, allant de simples jets de pierres (de sarvatobhadra), des technologies qui dé truisent les murs (udghatima), et toutes sortes de dispositifs de missiles lancé s à des vitesse vertigineuses, (yantra-sara), jusqu'à des armes incroyablement sophistiqué es qui n'ont pas d'analogies avec ce que nous connaissons à l'é poque dite moderne.
Le dixiè me chant de Bhagavata Purana dé crit les diffé rentes batailles avec des armes de puissances impensables.

Ces batailles ont é té livré es par nos ancê tres qui habitaient la planè te mais é galement des repré sentants d'autres mondes (et aussi à cô té ))
"... Alors dé mon Bhaumasura a immé diatement sorti l'arme de feu, connu sous le nom shatagnhi, par lequel il pouvait tuer des centaines de soldats d'un seul coup. "
(Bhagavata purana 10. 59. 15)

 

Ils ont utilisé des armes climatiques pour dé clencher toutes les forces de la nature

Il (Vasudeva) pour contrecarrer brahmastra avec un autre brahmastra, qui est l'arme de l'air contre l'arme de la montagne"
Ils ont donc utilisé d'un cô té le " vayavya-astra" une arme qui provoque un sé vè re ouragan sur le champ de bataille et pour le contrecarrer, le camp adverse utilise immé diatement l'arme dite de la montagne telle la montagne qui bloque naturellement le flux d'air..
L'arme de la chaleur " shiva-jvara" est dé crite pour ê tre douze fois plus puissante que la chaleur du soleil et l'arme " narayana-jvara" quant à elle, repré sente un froid insupportable. (où donc est placé le Soleil? )

«A ce moment-là, presque tous les guerriers de Shalva ont é té tué s mais lorsque, il a vu arrivé Vasudeva sur le champ de bataille, il a activé une arme immense et terrible, d'une puissance effroyable qui volait avec un bruit assourdissant et aveuglant et qui é clairait le ciel.

Il est é vident que nos ancê tres é taient é minemment plus dé veloppé s que nous ne le sommes aujourd'hui et nous sommes bien loin du compte.

«Cela n'a pas é té une tâ che facile d'entrer dans la ville de Prajyotisha-pura, elle est trè s bien fortifié e.

Tout d'abord, il y a des forts qui gardent les quatre coins de la ville, ils sont bien proté gé s par une force militaire qui est redoutable.

La limite suivante é tait un canal d'eau avec des fils é lectriques qui entourent la ville,

La fortification suivante é tait de anila, une substance gazeuse.

Aprè s cela, il y avait aussi un ré seau de câ blage de barbelé s construit par un dé mon du nom de Mura. (Bhâ gavata Purâ na, 10 canto)

Ce texte prouve que cette ville é tait bien proté gé e mê me en termes de progrè s scientifique d'aujourd'hui connu.
Dans la litté rature vé dique, il y a de nombreuses ré fé rences qui mentionnent ce que nous nommons de nos jours des ovnis ils sont appelé s les vimanas..


Les Vimanas dans les Vedas sont divisé s en deux caté gories:


1) les machines mé caniques, semblables aux avions et qui volent avec des ailes comme les oiseaux;


2) des engins trè s complexes qui ne peuvent pas ê tre pré cisé ment classé s avec des possibilité s illimité es.


La premiè re caté gorie des vimanas est dé crite principalement dans les é crits mé dié vaux en sanskrit, ainsi que divers autres appareils automatiques et militaires.
Par exemple, Bhoja dé crit un avion en bois lé ger, qui ressemble à un oiseau à deux ailes.

La force motrice de l'appareil est gé né ré e dans la chambre de combustion qui utilise du mercure, avec un systè me installé pour le battement des ailes.


Les dispositifs de la deuxiè me caté gorie, sont dé crits dans les livres anciens, tels que dans le Rig Veda, le Mahabharata, le Ramayana et les Puranas. leur description à bien des é gards sont semblables aux descriptions modernes des ovni mais les principaux travaux en sanskrit comprennent:
la classification d' appareils de toutes sortes qui sont appelé s Vimanika-shastra.
Ce travail ré vè le é galement toutes sortes de technologies qui sont connues de nos jours tels le té lé phone, la té lé vision, les hologrammes et des technologies inconnues et qui dé fient les principes officiels de la science d’aujourd’hui

Voici comment les vimana sont dé crits dans le Ramayana:

" Ravana. L'appareil du roi Rakshasa (types de cré atures dé moniaques) est incroyable. Ses murs sont é tincelants, et incrusté s de diamants.

Les fenê tres sont finement et habilement dé coré es d'Or.

Le vimana vole dans n'importe quelle direction et peu importe la direction du vent à la seule volonté des pilotes. Il peut rester stationnaire à n'importe quelle hauteur, il a la forme d'une grande colline qui brille.

Sa conception symé trique et ses tours sont d'une grande œ uvre d'art, elle possè de des dô mes,

Le Vimana peut changer son apparence par des multiples dispositifs.

Aprè s son atterrissage, il peut se camoufler et prendre l'apparence d'une colline é clairé e par la lune...

Dans ce magnifique engin il y a un palais avec des salles, des chambres et des piscines... "
Vous pouvez le constater que nous sommes trè s loin de l'image suggé ré de l'homme singe primitif qui tire sa femelle par les cheveux et qui n'en n'est pas encore au stade d'allumer un feu, selon nos apprentissages traditionnels modernes.

Les descriptions vé diques brossent des tableaux totalement diffé rents:

«Je l'ai entendu dire que Visvavasu, le grand Gandharva les (Etres chanteurs cé lestes), son esprit a é té foudroyé il en est tombé de son avion aprè s avoir vu votre fille qui jouait avec un ballon sur le toit du palais - harmya-prishthe, car elle est en effet trè s belle avec le tintement des cloches à ses chevilles et de ses yeux qui se dé placent ç à et là. »(Bhâ gavata )

Ce ne sont pas des Inventions d'Aujourd'hui, elles sont juste ré assemblé es.

Et caché es depuis des milliers d'anné es aux gé né rations successives.

A l'heure actuelle et dans les villes du monde entier, il y a des gratte-ciel mais à ces é poques-là, il y en avait é galement.

Nous trouvons le mot harmya-prishthe.

Qui dans sa traduction litté raire est le mot " harmya" qui est un trè s haut palais.

Il y a é galement des avions privé s, ce qui veut dire qu'il y a des milliers d'anné es, ils existaient.
Ils sont appelé s les SVAD vimana moyens ou son propre avion. "
Il y a aussi des descriptions de grandes villes aé roportuaires destiné es uniquement à l'aviation sur plusieurs kilomè tres carré.

Par exemple, Hastinapura – est une ville trè s active qui est aussi proté gé e contre des attaques exté rieures.

Grâ ce aux sciences vé dique et du gé nie de toutes les technologies dans les diffé rentes disciplines, elles pourraient é lever la civilisation actuelle à un niveau largement supé rieur.

En sanskrit, une machine est appelé e " yantra" qui est expliqué dans la litté rature vé dique pour ê tre «un dispositif qui contrô le et dirige le mouvement des objets, en fonction de leurs caracté ristiques.
Il existe de nombreux types de yantras.
Les dispositifs techniques et machines des anciens Aryens sont é poustouflants à bien des é gards, leurs niveaux de compé tences en ingé nierie sont pointus et dans l'é tat actuel des connaissances officiels, les nombreuses descriptions sont tout à fait plausibles et cré dibles et notamment en ce qui concerne les robots, qui se trouvent dans les palais royaux.

Avec cet exemple d’oiseaux qui chantent et qui dansent et qui ressemblent à de vé ritables oiseaux, quant aux horloges, elles ont des. figurines mobiles.
D'autres robots ressemblent aux hommes et aux femmes et leur peau est similaire à celle des humains.

Toute la technologie est expliqué e avec leurs modes de constructions. .

Ils sont programmé s avec des codes mathé matiques pour jouer de la musique, pour servir des boissons aux clients et d'autres servies similaires.

Yantrapurusha ou homme-machine peut se comporter exactement comme un humain.

Il est dé crit dans le Bhagaya-vastu comment un artiste qui est en visite chez l'yantracharya, ou professeur en gé nie mé canique, n'a pas fait la diffé rence entre un robot et un humain.

Lorsqu'il est arrivé, une jeune femme l'a accueilli et lui a lavé les pieds.

Il lui a adressé la parole mais celle-ci ne lui a pas ré pondu et c'est à cet à cet instant-là, qu'il s'est aperç u qu'elle n'é tait pas programmé e pour lui ré pondre.

Elle lui paraissait tellement humaine qu'il n'a pas su faire la diffé rence.
Quand d'autres sont absolument fantastiques puisqu'ils sont aussi doté s de la parole.
Sommes-nous capables maintenant, avec toute notre technologie de la science et de l'informatique moderne, ré pé ter ce niveau de compé tence inventive semblable?
Peut-on croire que le progrè s technique, tel qu'il est dé crit dans les Vedas, a ré ellement existé sur la Terre?
Les-textes sanskrits sont-ils la seule preuve de la grandeur de cette ancienne civilisation?
Pour ré pondre à toutes ces questions, il serait judicieux d'analyser briè vement par du factuel, ce que nous pouvons voir de nos propres yeux, tous ces monuments arché ologiques qui sont à la surface de la planè te, les vestiges d'immenses villes sont sous nos yeux et sous les eaux.

Malgré cela nous avons peine à les voir pour ce qu'ils sont, puisque nous ne sommes pas programmé s pour penser par nous-mê mes pré fé rant qu'on le fasse à notre place. Ils sont autant d'é lé ments de preuves qui sont non discutables mê me si la communauté scientifique internationale continue de nier les é vidences en expliquant que ce que nous voyons sont des carré s lorsque nous voyons des ronds.

Par exemple, à Delhi il y a une colonne de mé tal, connu dans le monde entier, le pilier de Indra. "
Depuis plusieurs millé naires, il a ré sisté à l'influence des pré cipitations, sans aucune trace de rouille.

La colonne est constitué e de fer atomique, sans mé lange de carbone et de soufre au niveau molé culaire.

A notre é poque, il est possible de reproduire un tel fer parfaitement pur qu'avec la technique de revê tement par pulvé risation dans un espace extra-atmosphé rique, et seulement en petites quantité s.

Sa hauteur correspond à une maison de trois é tages, lorsque la colonne continue sous terre pendant quelques dizaines de mè tres.


(voir photos)
Mé lodie Rg.

 

Le Mahabharata (en sanskrit म ह ा भ ा र त / Mahā bhā rata ou Mahâ bhâ rata), litté ralement « La Grande Guerre des Bhā rata »1, ou « La Grande Histoire des Bharata »)2 est une é popé e sanskrite (itihâ sa) de la mythologie hindoue comportant, selon le dé compte de Vyâ sa (Mahabharata I, 2, 70-234), 81 936 strophes (shlokas) ré parties en dix-huit livres (parvan)3, 4. Il est considé ré comme le plus grand poè me jamais composé 2.

Le Mahabharata est un livre sacré de l'Inde, qui relate la « Grande Geste » des Bhā rata, grand poè me é pique datant des derniers siè cles av. J. -C. C'est une saga mythico-historique, contant des hauts faits guerriers qui se seraient dé roulé s environ 2 200 ans avant l'è re chré tienne, entre deux branches d'une famille royale: les Pandava et leurs cousins, les Kaurava, pour la conquê te du pays des Arya, au nord du Gange. C'est l'un des deux grands poè mes é piques de l'Inde, fondateur de l'hindouisme avec le Ramayana. On peut penser que la date de l'é popé e primitive du Mahabharata est bien anté rieure à celle du Ramayana, comme les faits eux-mê mes qui sont la matiè re de l'un et de l'autre poè me.

Origines et contexte historique[modifier | modifier le code]

L'origine de ces deux grandes é popé es indiennes trè s anciennes est incertaine. Le Mahabharata est censé avoir é té ré digé par Ganesh sous la dicté e du sage Vyasa. En ré alité on ne sait s'il s'agit d'une œ uvre collective, revue et modifié e au fil des siè cles (ive siè cle av. J. -C. - ive siè cle apr. J. -C. ), ou celle d'un unique poè te, composé e dans un contexte particuliè rement pré cis de l'histoire indienne. Ces deux points de vue opposé s, parfaitement dé fendables en l'absence de donné es historiques et scientifiques sû res, conduisent à une compré hension globale de l'œ uvre radicalement diffé rente. Dans l'hypothè se d'un poè te unique, renforcé e par l'incroyable unicité du ré cit et de son intrigue subtile (peut-ê tre beaucoup trop pour un lecteur non-initié ), l'é popé e constituerait en partie une ré ponse à la monté e du bouddhisme aprè s le rè gne d'Ashoka (dynastie des Maurya), vers 300 av. J. -C., dans un contexte socio-politique de crise bien identifié. Les pré dications du Bouddha rejettent en bloc les enseignements vé diques et la socié té brahmanique, menaç ant par là -mê me la supré matie des brahmanes. L'é popé e illustre un drame cosmique, une perturbation du dharma, de l'ordre sociocosmique, que pourrait bien incarner le bouddhisme. Les ré fé rences y sont constamment implicites tout au long du ré cit mais les interpré tations, toutefois, se tiennent et, vu sous cet angle, sont logiques.

Le Mahabharata, dont tout Indien connaî t l'histoire, reste trè s actuel, à tel point que les hé ros divins restent des exemples. Ainsi, si l’é pouse de Râ ma dans le Ramayana, Sî tâ, est le modè le de la femme fidè le, dans le Mahabharata les femmes sont les é gales des hommes, combattent à leurs cô té s et ont leur franc-parler.

Forme et manuscrits[modifier | modifier le code]

Le Mahabharata ne comporte pas moins de 250 000 vers — quinze fois plus que l'Iliade — gé né ralement partagé s en shloka5 de 32 syllabes chacun, formant deux hé mistiches de 16 syllabes, partagé s eux-mê mes en deux pada de 8 syllabes. Mais on trouve aussi, en bien moindre quantité, certains passages en prose ou avec d'autres mè tres.

Une des principales difficulté s pour la cré ation d'une é dition critique et pour les exé gè tes consiste en la multiplicité des manuscrits qui ont é té conservé s, ceux du nord é tant en gé né ral plus courts, ceux du sud plus dé veloppé s6.

Structure[modifier | modifier le code]

Le Mahabharata relate l'histoire d'une guerre entre les Pandava, les fils du roi Pandu, et les Kaurava, les fils du roi Dhritarashtra, le frè re aî né et aveugle de Pandu, tous de la caste des guerriers, les Kshatriya, dans la ré gion de Delhi. Le texte a probablement tout d'abord é té une compilation d'histoires de dieux et de hé ros transmises oralement, repré senté es par des troupes de thé â tres, conté es par les prê tres et les samnyasins, les pè lerins, avant de trouver une forme é crite dans un sanskrit lé gè rement archaï que, dite « sanskrit é pique ». Il a connu ensuite une adaptation dans les langues en Inde et s'est propagé dans l'Asie du Sud-Est avec l'indianisation de celle-ci.

L'é vé nement majeur du texte est l'apparition de Krishna (Krisna), le huitiè me avatar de Vishnou (Vishnu).

Mais le Mahabharata est aussi un recueil de mythes hé rité s de la tradition vé dique, insé ré s dans le ré cit sous forme de longues digressions. À ce sujet on peut citer les ré cits cosmogoniques du rishi Markandeya qui pré figureront les Puranas, un « ré sumé » du Ramayana en 18 chapitres (le chiffre 18 occupant une place centrale dans toute l'é popé e, elle-mê me subdivisé e en dix-huit livres) et aussi les exploits du bouvier Krishna qui donneront corps à de nombreux poè mes souvent é rotiques sur ses amourettes avec les gopis.

Le Mahabharata est composé des dix-huit parva (chapitres ou livres) suivants:

1. Adiparvan (आ द ि प र ् व न ् ) - Le Livre des commencements

2. Sabhaparvan (स भ ा प र ् व न ् ) - Le Livre de l'assemblé e

3. Aranyakaparvan (अ र ण ् य क प र ् व न ् ) - Le Livre de la forê t

4. Virataparvan (व ि र ा ट प र ् व न ् ) - Le Livre de Virata

5. Udyogaparvan (उ द ् य ो ग प र ् व न ् ) - Le Livre des pré paratifs

6. Bhishmaparvan (भ ी ष ् म प र ् व न ् ) - Le Livre de Bhisma

7. Dronaparvan (द ् र ो ण प र ् व न ् ) - Le Livre de Drona

8. Karnaparvan (क र ् ण प र ् व न ् ) - Le Livre de Karna

9. Shalyaparvan (श ल ् य प र ् व न ् ) - Le Livre de Shalya

10. Sauptikaparvan (स ौ प ् त ि क प र ् व न ् ) - Le Livre de l'attaque nocturne

11. Striparvan (स ् त ् र ी प र ् व न ् ) - Le Livre des femmes

12. Shantiparvan (श ा ं त ि प र ् व न ् ) - Le Livre de l'apaisement

13. Anushasanaparvan (अ न ु श ा स न प र ् व न ् ) - Le Livre de l'enseignement

14. Ashvamedhikaparvan (अ श ् व म े ध ि क ा प र ् व न ् ) - Le Livre du sacrifice royal

15. Ashramavasikaparvan (आ श ् र म ् व ा स ि क ा प र ् व न ् ) - Le Livre du sé jour en forê t

16. Mausalaparvan (म ौ स ल प र ् व न ् ) - Le Livre des pilons

17. Mahaprasthanikaparvan (म ह ा प ् र स ् थ ा न ि क प र ् व न ् ) - Le Livre du grand dé part

18. Svargarohanaparvan (स ् व र ् ग ा र ो ह ण प र ् व न ् ) - Le Livre de la monté e au paradis

Au tout dé but du Mahabharata, au Livre I, « Le Livre des Commencements », dans la forê t Naimisha, un brahmane de grande ligné e, Shaunaka, ré unit traditionnellement une session sacrificielle tous les douze ans. Un conteur se pré sente, et il va raconter pour la premiè re fois en entier le grand ré cit du Mahabharata, tel qu'il l'a entendu de la bouche mê me de Vaishampayana, le disciple de Vyasa, lors du Sacrifice des Serpents ordonné par le roi Janamejaya. Il commence par raconter l'histoire des ancê tres de son hô te: Cyavana, l'ascè te farouche rajeuni par les dieux, Pramadvara, l'Eurydice indienne, mordue par un serpent et sauvé e de la mort par son é poux Ruru.

L'un des é pisodes du Mahabharata, la Bhagavad-Gita (Le Chant du Seigneur), inclus dans le sixiè me livre, est à lui seul un traité de la « Voie de l'Action » que l'on pourrait rapprocher des traité s de chevalerie du Moyen  ge, et qui montre que la connaissance doit pré cé der toute action, car sans elle, l'action ne serait que vaine agitation. Chef-d'œ uvre de la pensé e hindouiste, il raconte les conseils moraux donné s par Krishna à Arjuna, qui se dé sespè re de devoir participer à une bataille où beaucoup de ses amis et parents risquent de perdre la vie. C'est un texte fondamental pour connaî tre la vie de l'Inde classique et c'est aussi un exposé des idé aux hindouistes. La Bhagavad-Gita est aussi essentielle dans le yoga. C'est au cœ ur de celle-ci que Krishna transmet à Arjuna les diffé rentes formes du yoga.

Ré sumé [modifier | modifier le code]

Le Mahabharata est une é popé e immense qui contient de multiples micro-ré cits, é pisodes et digressions: le pré sent ré sumé n'en mentionne que les é pisodes principaux. En outre, il existe de nombreux manuscrits du Mahabharata transmettant des variantes assez diffé rentes du texte et de longueur trè s variable: le ré sumé qui suit ne fait que relater la trame gé né rale.

La trame principale du Mahabharata relate une lutte dynastique ayant pour enjeu le trô ne du royaume de Hastinapura où rè gne le clan des Kuru. Deux branches de la famille sont aux prises: les Pandava et les Kaurava. Les Kaurava constituent la branche aî né e de la famille, mais Duryodhana, l'aî né des Kaurava, est plus jeune que Yudhishthira, l'aî né des Pandava: tous deux revendiquent le droit à hé riter du trô ne.

La lutte entre les deux branches de la famille s'é tend sur des anné es et connaî t plusieurs retournements de situation. Elle se termine en guerre ouverte avec la bataille de Kurukshetra, dont les Pandava finissent par sortir vainqueurs. Au cours de la bataille surgissent de nombreux dilemmes où entrent en conflit les obligations consé cutives aux liens de parenté, d'amitié et de loyauté qui se sont noué s pré cé demment entre les combattants.

Le Mahabharata se termine par la mort de Krishna, la fin de sa dynastie et la monté e au ciel des frè res Pandava. La mort de Krishna marque aussi, dans la cosmogonie hindoue, le dé but de l'è re de Kali Yuga, quatriè me et dernier â ge de l'humanité, où les grandes idé es et les valeurs nobles se sont effondré es et où l'humanité s'achemine vers la dissolution complè te des actions justes, de la morale et de la vertu.

Les gé né rations les plus anciennes[modifier | modifier le code]

Shantanu fait sa cour à Satyavati la pê cheuse. Tableau de Raja Ravi Varma.

L'ancê tre du roi Janamejaya, Shantanu, roi de Hastinapura, a une brè ve liaison avec Ganga, la dé esse-fleuve du Gange, qui lui donne un fils, Devavrata. Devavrata devient le futur hé ritier (il prend plus tard le nom de Bhishma et devient un grand guerrier). Bien des anné es aprè s, le roi Shantanu est à la chasse lorsqu'il voit Satyavati, la fille du chef des pê cheurs, et il lui demande sa main. Le pè re refuse de consentir à moins que Shantanu ne promette de transmettre le trô ne au futur fils que pourrait avoir Satyavati. Pour ré soudre le dilemme auquel se trouve alors confronté Shantanu, Devavrata accepte de renoncer à sa pré tention lé gitime au trô ne. Comme le pê cheur n'est pas sû r que d'é ventuels enfants de Devavrata acceptent aussi ce renoncement, Devavrata jure de rester cé libataire toute sa vie afin d'aider à honorer la promesse de son pè re.

Satyavati donne à Shantanu deux fils: Chitrangada et Vichitravirya. À la mort de Shantanu, Chitrangada devient roi. Il rè gne paisiblement quelques anné es, puis meurt. Le fils cadet, Vichitravirya, rè gne alors sur Hastinapura. Pendant ce temps, le roi de Kā ś ī cé lè bre un svayamvara pour ses trois filles (un svayamvara est alors une cé ré monie au cours de laquelle une jeune princesse choisit un mari parmi les pré tendants pré sents). Mais il né glige d'inviter la famille royale de Hastinapura. Afin d'assurer le mariage de Vichitravirya, Bhishma assiste au svayamvara sans y avoir é té invité et enlè ve les trois princesses, Amba, Ambika et Ambalika. Ambika et Ambalika acceptent d'é pouser Vichitravirya. En revanche, l'aî né e des princesses, Amba, indique à Bhishma qu'elle veut é pouser le roi de Shalva, que Bhishma a vaincu lors de la cé ré monie. Bhishma accepte de la laisser repartir, mais le roi de Shalva refuse d'é pouser Amba, car il est toujours en colè re aprè s sa dé faite face à Bhishma. Amba propose alors à Bhishma de l'é pouser, mais il refuse à cause de son vœ u de cé libat. Amba entre alors dans une terrible colè re et devient l'ennemie juré e de Bhishma, qu'elle tient pour responsable de son humiliation. Par la suite, elle se ré incarne dans le corps d'un homme et renaî t sous le nom de Shikhandi (ou Shikhandini). Pendant la bataille de Kurukshetra, c'est elle qui causera la perte de Bhishma, avec l'aide d'Arjuna.

Les Pandava et les Kaurava[modifier | modifier le code]

Vichitravirya meurt jeune sans avoir encore d'hé ritier. Satyavati demande alors au sage Vyasa, d'engendrer des fils avec les deux veuves. L'aî né e, Ambika, ferme les yeux en voyant Vyasa, et elle donne naissance à un fils, Dhritarashtra, qui est aveugle de naissance. Ambalika, elle, pâ lit et faiblit en voyant Vyasa: le fils dont elle accouche, Pandu, qui sera pâ le (Pandu d'ailleurs signifie le Pâ le) et de santé fragile. Devant l'é tat dé licat de ces deux premiers fils, Satyavati demande à Vyasa de tenter un troisiè me essai. Mais cette fois, Ambika et Ambalika envoient à leur place une servante, qui donne à Vyasa un fils, Vidura. Il se ré vè le de santé robuste et surtout d'une immense sagesse, mais il est le fils d'une servante et donc sera toujours subordonné à ses frè res. Il devient né anmoins le premier ministre et conseiller (Mahamantri ou Mahatma) des rois Dhritarashtra et Pandu.

Les jeunes princes grandissent. Dhritarashtra est sur le point d'ê tre couronné lorsque Vidura intervient et, puisant dans sa connaissance de la politique, indique qu'un aveugle ne peut pas ê tre roi, car un roi aveugle ne peut ni contrô ler ni proté ger ses sujets. La cé cité de Dhritarashtra fait donc que le trô ne revient à Pandu. Pandu prend deux é pouses: Kunti et Madri. Dhritarashtra é pouse Gandhari, princesse du Gandhara, qui dé cide de se bander les yeux pour le reste de sa vie afin de partager la souffrance de son mari. Le frè re de Gandhari, Shakuni, en est scandalisé et jure de se venger de la famille des Kuru. Un jour, alors que Pandu se repose dans une forê t, il surprend un cerf qui s'accouple. Il abat le cerf mais il se trouve que l'animal est en fait un sage s'é tant mé tamorphosé, Kindama, qui lui lance une malé diction: De mê me que lui-mê me pé rit sans avoir eu le temps de jouir durant l'amour, de mê me Pandu mourra avant d'avoir pu consommer entiè rement son prochain rapport sexuel. Pandu abdique alors et se retire dans la forê t en compagnie de ses deux é pouses, et son frè re Dhritarashtra devient roi malgré sa cé cité.

Cependant, Kunti, la premiè re é pouse de Pandu, s'est fait accorder un vœ u par le sage Durvasa: un mantra (une formule de priè re) qui lui permet d'é voquer n'importe quel dieu. À la demande de Pandu, dé sireux d'avoir des fils pour s'assurer un bon au-delà, Kunti utilise ce mantra pour demander à trois divinité s, Dharma (le dieu de l'ordre universel), Vayu (le dieu du vent) et Indra (seigneur du ciel et de la foudre) de lui donner des fils. Ces trois dieux lui donnent ainsi trois fils: Yudhishthira, Bhima et Arjuna. Kunti partage ensuite son mantra avec la seconde é pouse de Pandu, Madri, qui invoque ainsi deux dieux jumeaux, les Ashvins: elle en a deux fils jumeaux, Nakula et Sahadeva. Un peu plus tard, Pandu et Madri finissent par faire l'amour et Pandu succombe. De remords, Madri meurt sur le bû cher funè bre de son mari. Kunti é lè ve les cinq frè res, qui sont dè s lors appelé s gé né ralement les cinq Pandava, signifiant " fils de Pandu".

De son cô té, Dhritarashtra, le roi aveugle de Hastinapura, a donc é pousé Gandhari. Elle lui donne cent fils. Ce sont les cent frè res Kaurava, dont l'aî né est Duryodhana et le second Dushasana. Deux autres Kaurava connus sont Vikarna et Sukarna. Mais les cent frè res Kaurava sont tous né s aprè s la naissance de Yudhisthira, le premier Pandava. Pour cette raison (entre autres), les deux fratries, Pandava et Kaurava, revendiquent chacune le trô ne de Hastinapura, et c'est cette rivalité qui monte en puissance peu à peu et va dé boucher sur la bataille de Kurukshetra.

Lakshagraha (la maison de laque)[modifier | modifier le code]

Aprè s la mort de Pandu et de Madri, Kunti et les cinq Pandava retournent vivre au palais de Hastinapura. Sous la pression considé rable de son royaume, Dhritarashtra nomme Yudhishthira prince hé ritier. Cependant Dhritarashtra pré fè re son propre fils, Duryodhana, pour la succession, et cette ambition personnelle l'empê che de rester juste par la suite.

Shakuni, Duryodhana et Dushasana trament une ruse pour massacrer les Pandava. Shakuni fait appel à un architecte, Purochana, pour construire un palais composé uniquement de maté riaux trè s inflammables, dont la laque et le ghî (une substance à base de beurre). Il fait ensuite pré sent de ce palais aux Pandava et à Kunti qui y emmé nagent, et a l'intention de l'incendier bientô t. Mais les Pandava sont pré venus par leur oncle avisé, Vidura, qui leur envoie un mineur pour creuser un tunnel d'é vacuation. Lorsque l'incendie criminel se dé clenche, les Pandava et Kunti peuvent ainsi s'é chapper. À Hastinapura, tout le monde croit qu'ils ont pé ri.

Mariage des Pandava avec Draupadi[modifier | modifier le code]

Draupadi et ses é poux, les cinq Pandava. Au centre, Yudhishthira avec Draupadi. En bas: Bhima à gauche, Arjuna à droite. Debout sur les cô té s, les jumeaux Nakula et Sahadeva. Tableau de Raja Ravi Varma, vers 1900.

Pendant cette pé riode durant laquelle ils doivent se cacher des Kaurava, les Pandava apprennent qu'un svayamvara a lieu afin de trouver un é poux à Draupadi, la princesse du royaume de Pā ñ cā la. Les Pandava, dé guisé s en brahmanes, participent à la compé tition. L'é preuve que les pré tendants doivent ré ussir consiste à bander un puissant arc en acier, puis à tirer une flè che pour atteindre une cible suspendue au plafond (un poisson artificiel qui se dé place constamment), mais le tireur n'a pas le droit de regarder directement la cible: il peut seulement en regarder le reflet dans de l'huile disposé e au-dessous. La majorité des princes é chouent, beaucoup n'é tant mê me pas capables de soulever l'arc. Mais Arjuna ré ussit. De retour chez eux, les Pandava disent à Kunti: « Arjuna a remporté un concours, regarde donc ce qu'il a gagné ! » Sans dé tourner les yeux de ce qu'elle fait, Kuntileur demande de partager entre eux ce qu'Arjuna a gagné, quoi que ce soit. Cette parole, à laquelle s'ajoute l'explication sur une vie anté rieure de Draupadi, fait qu'elle devient l'é pouse commune des cinq frè res Pandava.

Indraprastha[modifier | modifier le code]

Aprè s la noce, les Pandava, forts de leur alliance avec le royaume de Pā ñ cā la grâ ce à Draupadi, se trouvent de nouveau en position de ré clamer leur part du royaume. Ils sont de nouveau invité s à Hastinā pura. Les aî né s et parents de la famille des Kuru entament des né gociations et parviennent à un partage du royaume: les Pandava obtiennent un petit territoire. Yudhishthira bâ tit une nouvelle capitale pour son royaume: Indraprastha, qui prospè re rapidement. Mais ni les Pandava ni les Kaurava ne sont ré ellement satisfaits par cet arrangement.

Peu aprè s, Arjuna quitte le royaume et é pouse la sœ ur de Krishna, Subhadra. Yudhishthira, soucieux de consolider sa stature en tant que roi, demande conseil à Krishna. Aprè s tous les pré paratifs né cessaires et l'é limination de quelques opposants, Yudhishthira accomplit la cé ré monie du rā jasū yayajñ a, grâ ce à laquelle il est reconnu comme un roi particuliè rement é minent.

Les Pandava se font construire un nouveau palais par Maya, un Danava (fils de Danu). Ils invitent leurs cousins Kaurava à Indraprastha et font visiter ce palais à Duryodhana, qui y est trompé par des illusions d'optique. Il prend d'abord un sol de verre pour une flaque d'eau et refuse de marcher dedans. Dé trompé, il se trouve peu aprè s devant une é tendue d'eau, y met le pied imprudemment et tombe. Draupadi é clate de rire et le ridiculise en attribuant cette maladresse au fait que Duryodhana est le fils d'un roi aveugle. Outragé et inté rieurement furieux, Duryodhana jure de se venger de cette humiliation.

La partie de dé s[modifier | modifier le code]

Draupadi humilié e par les Kaurava aprè s la premiè re partie de dé s. Miniature de l'é cole Basohli attribué e à Nainsukh, vers 1765.

Shakuni, l'oncle de Duryodhana, organise alors une partie de dé s contre le roi Yudhishthira, qui est joueur. Shakuni amè ne Yudhishthira à miser toujours plus de richesses à chaque coup, mais il joue avec un dé pipé de faç on à gagner à tous les coups. Yudhishthira perd ainsi toute sa fortune, puis son royaume. Il finit par parier ses propres frè res, lui-mê me et enfin son é pouse, mais perd tout et tous sont ré duits en esclavage. Les Kaurava jubilent. Ils insultent les Pandava impuissants et tentent de dé shabiller Draupadi devant toute la cour, mais son honneur est pré servé par Krishna, qui cré e miraculeusement des longueurs infinies de tissu pour remplacer celles qui sont retiré es aux vê tements de Draupadi.

Draupadi, en colè re, demande si Yudhishthira avait ré ellement le droit de la jouer, mais personne n'ose ré pondre. Dhritarashtra, Bhishma et les autres anciens de la famille restent é bahis devant la tournure que prennent les choses. Duryodhana reste inflexible: il n'y a pas de place pour deux rois à Hastinā pura. Cependant, des bruits de mauvais augure se font entendre. De mauvais gré, Dhritarashtra entreprend une conciliation: il libè re Draupadi et lui demande de formuler un souhait. Elle demande aussitô t la libé ration de ses frè res. Dhritarashtra ordonne alors une seconde partie de dé s, dont l'enjeu ne sera plus la liberté ou l'esclavage des Pandava mais leur victoire ou bien un exil de douze ans, suivi d'une treiziè me anné e pendant laquelle ils devront resté s caché s dans le royaume. S'ils sont dé couverts par les Kaurava pendant cette treiziè me anné e, ils seront contraints à douze autres anné es d'exil. Shakuni gagne une nouvelle fois: les Pandava sont exilé s et Draupadi prend le parti de les suivre. Leur mè re, Kunti, reste chez Vidura, le frè re cadet de Dhritarashtra et l'oncle des Pandava et des Kaurava.

Exil et retour[modifier | modifier le code]

Les Pandavas é coulent ainsi treize ans exilé s puis caché s. De nombreuses aventures ont lieu pendant cette pé riode. Les Pandava tissent é galement des alliances en vue d'un futur conflit contre les Kaurava. Ils passent leur treiziè me anné e à la cour de Virata sous des dé guisements varié s mais qui donnent souvent un indice de leur vé ritable identité : Yudhishthira est un brahmane devenu habile à jouer aux dé s; Bhima exerce les mé tiers de cuisinier, de boucher et de lutteur; Nakula et Sahadeva s'occupent l'un des chevaux, l'autre des vaches; Draupadi est une domestique de la reine; quant à Arjuna, il est dé guisé en femme sous le nom de Brihannala, porte les cheveux flottants et exerce la charge de danse et de chant d'Uttara, la fille de Virata.

Le dernier jour de la treiziè me anné e, le royaume de Virata est attaqué en deux endroits diffé rents par les Trigarta et par les Kaurava. Le roi Virata emmè ne quatre des Pandava avec toute son armé e contre les Trigarta, mais, pendant ce temps, les Kaurava attaquent sa capitale privé e de tous ses dé fenseurs et où il ne reste plus qu'Uttara et Arjuna dé guisé. Arjuna affronte alors l'armé e des Kaurava et la met en fuite. À la fin du combat, il doit ré vé ler son identité, mais la treiziè me anné e vient juste de se terminer dans l'intervalle. Les Pandava sont ainsi dé couverts par les Kaurava juste aprè s la fin de la treiziè me anné e.

Une fois l'exil terminé, les Pandava tentent de né gocier leur retour à Indraprastha. Non seulement la né gociation é choue, mais Duryodhana affirme que les Pandava ont é té dé couverts pendant leur treiziè me anné e d'exil et qu'aucune restitution de leur royaume n'avait é té né gocié e treize ans plus tô t. La guerre entre Pandava et Kaurava devient iné vitable.

La bataille de Kurukshetra[modifier | modifier le code]

Krishna et Arjuna sur leur char pendant la bataille de Kurukshetra. Illustration peinte des XVIIIe-XIXe s., Inde.

Article principal: Bataille de Kurukshetra.

Les deux camps rassemblent de vastes armé es et se placent en ordre de bataille à Kurukshetra. Les allié s des Pandava sont les royaumes de Panchala, Dvaraka, Kashi, Kekaya, Magadha, Matsya, Chedi, Pandyas, Telinga, ainsi que les Yadus de Mathura et quelques autres clans comme les ParamaKambojas. De leur cô té, les Kaurava comptent parmi leurs allié s les rois de Pragjyotisha, Anga, Kekaya, Sindhudesha (y compris Sindhus, Sauviras et Sivis), Mahishmati, Avanti (au Madhyadesha), Madra, Gandhara, le peuple des Bahlika, Kambojas et de nombreux autres. Avant la dé claration de guerre, Balarama exprime son mé contentement devant cette situation et part en pè lerinage, de sorte qu'il ne prend pas part à la bataille elle-mê me. Krishna y assiste mais sans combattre, en tant que cocher d'Arjuna.

Avant la bataille, Arjuna contemple l'armé e ennemie, où il reconnaî t de nombreux parents et personnes qui lui sont chè res, comme son grand-pè re Bhishma ou son maî tre Drona. Pris de doutes à l'idé e d'une telle bataille, il ne parvient pas à lever son puissant arc divin, Gandiva (Gā ṇ ḍ ī va). Krishna lui rappelle alors son devoir dans le long dialogue qui forme la Bhagavad Gita.

Au dé but de la bataille, les deux camps s'en tiennent aux valeurs chevaleresques de la guerre. Mais au fil des jours, les deux camps ont recours à des procé dé s de plus en plus discutables. À la fin de la bataille, seuls les Pandava, Satyaki, Kripa, Ashvatthama, Kritavarma, Yuyutsu et Krishna sont encore en vie.

La fin des Pandava[modifier | modifier le code]

Devant le carnage, Gandhari, qui a perdu tous ses fils, maudit Krishna et lui souhaite de voir à son tour sa famille annihilé e, car, bien qu'il soit de nature divine et capable d'arrê ter la guerre, il n'en a rien fait. Krishna accepte la malé diction, qui se ré alise trente-six ans plus tard.

Dans l'intervalle, les Pandava ont ré gné sur leur royaume sans difficulté. Aprè s ces trente-six anné es, ils dé cident de renoncer à tout. Vê tus de peaux et de haillons, ils partent pour l'Himalaya et montent au ciel dans leur forme corporelle. Un chien é garé monte avec eux. Un par un, les frè res, ainsi que Draupadi, tré buchent et é chouent dans cette monté e au ciel. À mesure que chacun tré buche, Yudhishthira explique aux autres la raison de sa chute (Draupadi a davantage aimé Arjuna que ses autres é poux, Nakula et Sahadeva é taient vains et prê taient trop d'attention à leur apparence, Bhima et Arjuna é prouvaient de l'orgueil en raison respectivement de leurs talents de guerrier et de leurs talents d'archer). Restent seuls Yudhishthira le sage, qui avait tout tenté pour é viter le massacre, et le chien. Le chien ré vè le alors ê tre le dieu Yama (ou Yama Dharmaraja) et il emmè ne Yudhishthira dans le monde souterrain pour lui faire voir ses frè res et leur femme. Yama explique la nature de l'é preuve, puis emmè ne à nouveau Yudhishthira au ciel et lui explique qu'il devait l'emmener dans le monde souterrain car tout roi doit voir le monde souterrain au moins une fois. Yama indique ensuite à Yudhishthira que ses frè res et leur femme rejoindront à leur tour le ciel aprè s un sé jour dans le monde souterrain, la duré e de ce sé jour variant selon leurs vices.

Le petit-fils d'Arjuna, Parikshit, rè gne aprè s eux et meurt piqué par un serpent. Son fils furieux, Janamejaya, dé cide d'organiser un sacrifice de serpents (sarpasattra) au cours duquel il a l'intention de faire pé rir l'ensemble des serpents du monde. C'est pendant ce sacrifice que l'histoire de ses ancê tres, les Bharata, lui est relaté e.

Le Mahabharata indique que Karna, les Pandava et les fils de Dhritarashtra finissent par achever leur ascension vers le svarga et " atteignirent l'é tat de divinité s" puis se ré unirent, " sereins et libé ré s de toute colè re".

Exé gè ses et dé bats[modifier | modifier le code]

Georges Dumé zil consacre la premiè re partie de Mythe et é popé e (I, L’idé ologie des trois fonctions dans les é popé es des peuples indo-europé ens) à l'é tude du Mahabharata analysé à la lumiè re des trois fonctions indo-europé ennes. Ayant reconnu, derriè re les cinq Pandavas, les figures de dieux fonctionnels issus de thé ologies vé diques ou mê me anté rieures, il é tend cette recherche de correspondance hé ros / dieux à d'autres personnages du roman, é tayant l'hypothè se d'une origine mythologique de l'é popé e. Outre son inté rê t du point de vue de la recherche indo-europé enne ou du comparatisme, l'é tude de Georges Dumé zil propose une approche analytique qui permet au lecteur occidental de pé né trer une œ uvre difficile d'accè s, notamment par son é tendue.

Georges Dumé zil7 et Mircea Eliade8 ont relevé des analogies entre le Mahabharata et l'Iliade, entre le Ramayana et l'Odyssé e, entre le couple Rā ma-Sī tā et le couple Zeus-Hé ra, entre Shiva et Posé idon tous deux porteurs du trident, et mê me entre les figures du Mahabharata et les dieux du panthé on nordique (dont la mythologie s'articule autour d'une autre eschatologie: le Ragnarö k). Toutefois, s'il est possible que les mê mes « mythes indo-europé ens » puissent ê tre à l'origine de ces figures, la question demeure complexe et discuté e.

Influence et posté rité dans les arts[modifier | modifier le code]

Le Mahabharata est une source d'inspiration iné puisable pour l'art du spectacle indien, le thé â tre et le ciné ma en particulier.

Thé â tre indoné sien[modifier | modifier le code]

Arjuna, le troisiè me des frè res Pandava, dans le wayang (thé â tre d'ombres) javanais

Le Mahabharata a é galement exercé une influence importante sur le thé â tre traditionnel en Indoné sie, dans les î les de Java et Bali. Sa traduction en javanais date du rè gne de Dharmawangsa (rè gne 991 - 1016), dont le royaume é tait situé à Java oriental.

Litté rature[modifier | modifier le code]

La traduction par NannayaBhattaraka (xie siè cle) de la Mahabharata, l’Andhra mahabharatam, est l'un des premiers poè mes composé s en langue té lougou. Ce poè me, composé dans le style tchampou, est cé lè bre pour la dé licatesse de son expression9.

Le poè te indien Dharamvir Bharati recourt à un sujet emprunté au Mahabharata pour sa tragé die en vers AndhaYug (L'È re aveugle), publié e en 1954. Il y dé crit le dernier jour de la guerre entre Pandava et Kaurava et l'emploie comme un moyen d'é voquer les atrocité s survenues pendant la partition de l'Inde en 1947.

L'histoire du roi Yayati, qui figure dans l'é popé e, fait l'objet d'adaptations en roman par Vishnu SakharamKhandekar en 1960 et au thé â tre par GirishKarnad en 1961.

En 1984, l'é crivain M. T. Vasudevan Nair publie en malayalam Randamoozham, roman qui relate l'é popé e du point de vue de Bhima, l'un des Pandava.

En 2008, l'é crivaine indienne ChitraBanerjeeDivakaruni publie Le Palais des illusions, qui relate l'histoire du Mahabharata du point de vue de Draupadi et met en avant les aspects patriarcaux de la socié té dé peinte par l'é popé e.

Bande dessiné e[modifier | modifier le code]

Le Mahabharata fait l'objet d'une adaptation en bande dessiné e dans les anné es 1980: Mahabharata, dessiné e par Dilip Kadam et scé narisé e par une é quipe d'une dizaine de scé naristes, est publié e entre 1985 et 1989 en 42 é pisodes par Amar ChitraKatha (« Histoires illustré es immortelles »), une maison d'é dition spé cialisé e dans la publication d'adaptations de mythes, de lé gendes et de classiques de la litté rature indienne et mondiale10.

Ciné ma et té lé vision[modifier | modifier le code]

Le Mahabharata a fait l'objet de nombreuses adaptations à l'é cran, principalement en Inde mais aussi hors d'Inde.

Les adaptations globales en prises de vue ré elles condensent toutes né cessairement la matiè re de l'é popé e. Parmi les plus anciennes, BhaktaVidur, film muet hindi ré alisé par KanjibhaiRathod et sorti en 1921, qui est le premier film à ê tre censuré en Inde en raison de ses allusions politiques à Gandhi. En 1965, Mahabharat, film hindi ré alisé par Babubhai Mistry, est une production à gros budget qui retrace les grandes é tapes de l'é popé e (le mê me ré alisateur avait adapté le Ramayana en 1961 avec SampoornaRamayan)11.

Plusieurs films se concentrent sur des é pisodes de l'é popé e en particulier ou sur le parcours d'un ou deux personnages. L'histoire de Keechaka est adapté e en 1918 avec KeechakaVadham, film muet tamoul ré alisé par R. NatarajaMudaliar. L'é pisode de la partie de dé s et de l'humiliation infligé e à Draupadi fait l'objet de plusieurs adaptations au ciné ma avec par exemple DraupadiVastrapaharanam, film tamoul ré alisé par R. Padmanaban, en 1934, et DraupadiVastrapaharanam, film té lougou ré alisé par HanumappaVishwanathBabu en 1936. L'histoire de la princesse Savitri et de son mari le prince Satyavan fait l'objet du film té lougou Savitri de C. Pullaiah en 1933. Le livre de la Bhagavad Gita est aussi adapté au ciné ma avec Bhagavad Gita de G. V. Iyer en 1993. Le personnage de Karna se voit consacrer plusieurs films avec Karnan (film tamoul ré alisé par B. R. Panthulu) en 1964 et DaanaVeeraSooraKarna (film té lougou ré alisé par N. T. Rama Rao) en 1977. Le personnage de Ghathotkacha fait l'objet d'un film comique té lougou, Ghatotkachudu, ré alisé par K. AtchiReddy en 1995.

Plusieurs films d'animation indiens adaptent tout ou partie du Mahabharata. En 2000, Pandavas: The Five Warriors, film d'animation en images de synthè se ré alisé par UshaGanesarajah, adapte les grandes lignes de l'é popé e. En 2012, Arjun, le prince guerrier, dessin animé ré alisé par ArnabChaudhuri et coproduit par UTV Pictures et Walt Disney CompanyIndia, relate l'enfance et la formation d'Arjuna pendant les dé buts du conflit entre Pandava et Kaurava. Fin 2013, Mahabharat, film d'animation en images de synthè se ré alisé par Amaan Khan et produit par Pen IndiaPvt. Ltd, retrace les grandes é tapes de l'é popé e.

Une scè ne du film A Throw of Dice de Franz Osten (1929).

L'é popé e est é galement adapté e au ciné ma en Europe. En 1929, le ré alisateur allemand Franz Osten adapte l'é pisode de la partie de dé s avec A Throw of Dice, une coproduction allemande, britannique et indienne. En 1989, le ré alisateur britannique Peter Brook, travaillant avec le scé nariste et romancier franç ais Jean-Claude Carriè re, é labore une adaptation au thé â tre qu'il adapte elle-mê me par la suite en film et en té lé film: Le Mahabharata.

Le Mahabharata a aussi é té adapté pour la té lé vision à plusieurs reprises sous forme de té lé films ou de sé ries mythologiques. L'é popé e a ainsi donné lieu à plusieurs sé ries té lé visé es. Une sé rie hindi Mahabharat, en 94 é pisodes, ré alisé e par Ravi Chopra, est diffusé e entre 1988 et 1990 sur la chaî ne DD National. Entre juillet et novembre 2008, KahaaniHamaarayMahaabhaaratKi, produite par BalajiTelefilms, entreprend é galement d'adapter l'é popé e et s'arrê te aprè s 75 é pisodes. En 2013-2014, la sé rie Mahabharat, produite par SwastikPictures, propose à son tour une adaptation des grandes lignes de l'é popé e, diffusé e sur la chaî ne Star Plus. É galement lancé e en 2013, la sé rie tamoule Mahabharatham, ré alisé e par Suresh Krissna et produite par Cinevistaas Limited, est diffusé e sur la chaî ne Sun TV.

Web sé rie[modifier | modifier le code]

Le Mahabharata est é galement la base de la websé rie d'animation 18 days dé veloppé par les studios GraphicIndia et Grant Morrisson. Cette web sé rie pré sente ainsi leMahabharata dans un genre de science fiction mythologique. Elle est diffusé e sur Youtube. [ré f. souhaité e]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Cette bibliographie concerne les é ditions et commentaires portant sur l'é popé e dans son ensemble. Pour les é ditions et commentaires d'é pisodes isolé s, principalement la Bhagavad-Gita, reportez-vous à l'article Bhagavad-Gita.

É ditions[modifier | modifier le code]

· The Mahabharata, é dité par Kinjawadekar, Poona, ChitrashalaPress, 1929-1936 (ré impression par Oriental Book Reprint Corporation, New Delhi, 1979).

· The Mahabharata, é dition critique, Poona, Bhandarkar Oriental Research Institute, 1933-1972.

Traductions franç aises[modifier | modifier le code]

· Le Mahâ bhâ rata, version abré gé e, traduite du sanskrit par Jean-Michel Pé terfalvi, introduction et commentaire par Madeleine Biardeau, Paris, GF-Flammarion, 2 volumes, 1985-86. Choix d'extraits.

· Le Mahabharata, textes traduits du sanskrit et annoté s par G. Schaufelberger et Guy Vincent, Presses universitaires de Laval Qué bec, 2004-2009, 4 tomes6.

· Le Mahâ bhâ rata, conté selon la tradition orale, traduit du sanskrit par Serge Demetrian, collection " Spiritualité s Vivantes", Albin Michel, 2006.

· Mahabharata: les Semailles des Kurus, textes traduits du sanskrit et annoté s par J. C. Pivin, L'Harmattan, Recherches Asiatiques, 201312

É tudes savantes[modifier | modifier le code]

· Madeleine Biardeau, article « Mahā bhā rata. Le mythe principal », dans Yves Bonnefoy (dir. ), Dictionnaire des mythologies et des religions des socié té s traditionnelles et du monde antique, Paris, Flammarion, 1981.

· Madeleine Biardeau, Thierry Marchaisse (dir. ), Le Mahabharata, un ré cit fondateur du brahmanisme et son interpré tation, Paris, É ditions du Seuil, 2002, (ISBN 202050894X).

· Guillaume Ducœ ur, Anthologie de proverbes sanskrits tiré s des é popé es indiennes, Paris, 2004 (sur la litté rature gnomique et didactique du Mahabharata).

· Georges Dumé zil, Mythe et é popé e I, L’idé ologie des trois fonctions dans les é popé es des peuples indo-europé ens, Gallimard, 1968.

Notes et ré fé rences[modifier | modifier le code]

· (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipé dia en anglais intitulé « Mahabharata » (voir la liste des auteurs).

1. ↑ N. Stchoupak, L. Nitti et Louis Renou, Dictionnaire sanskrit-franç ais, p. 558

2. ↑ a et b The A to Z of Hinduism par B. M. Sullivan publié par Vision Books, pages 123 et 124, (ISBN 8170945216)

3. ↑ The Sanskrit Heritage Dictionary de Gé rard Huet

4. ↑ La Mahabharata fait trois fois celui de la Bible selon Gerhard J. Bellinger, Encyclopé die des religions, é d. Le Livre de Poche.

5. ↑ L'é dition de Poona, qui est l'é dition de ré fé rence, comporte 73. 834 shlokas

6. ↑ a et b Traduire le Mahabharata: une aventure [archive], Guy Vincent, utqueant. org

7. ↑ Mythes et dieux des Germains: essai d'interpré tation comparative, PUF, 1939

8. ↑ Traité d’histoire des religions, pré face de Georges Dumé zil, traduction du roumain par MmeCarciu, Jean Gouillard, Alphonse Juilland, MihaiSora et Jacques Soucasse, é dition revue et corrigé e par Georges Dumé zil, Paris, Payot, « Bibliothè que scientifique », 1949; nouvelles é ditions, 1964; 1974 (ISBN 2-228-50091-7); « Petite bibliothè que Payot », 1977 (ISBN 2-228-33120-1); 1983 (ISBN 2-228-13310-8); 1989 (ISBN 2-228-88129-5)

9. ↑ P. Chenchiah et Rao, Raja Bhujanga, A History of Telugu Literature, Asian Educational Services, 1988 (ISBN 81-206-0313-3)

10. ↑ (en) « Amar ChitraKatha, Mahabharata, 3 Volumes, 2007 » [archive], sur comicology. in, ‎ 10 juillet 2009 (consulté le 16 fé vrier 2015).

11. ↑ Mahabharat, analyse sur le site personnel de Philip Lutgendorf, enseignant à l'université d'Iowa [archive]. Page consulté e le 16 fé vrier 2015.

12. ↑ http: //www. mahabharata. fr/ [archive]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

· Le Mahabharata, film de Peter Brook, adaptation avec Jean-Claude Carriè re

· Bhagavad-Gita

· Vé da

· Purana

· Yoga

· Wayang javanais

· Georges Dumé zil

Liens externes[modifier | modifier le code]

· Texte sanskrit du Mahabharata en ligne sur l'Internet Archive [archive] (texte du Mahā bhā rataElectronictext, saisi par TokunagaMuneo et alii et revu par John Smith, Pune (Inde), Bhandarkar Oriental Research Institute, 1999).

· Le Mahabharata en franç ais sur Utqueant [archive].

· (en) Traduction anglaise du Mahabharata par Pratap Chandra Roy, en 12 volumes au format PDF, sur Holy Books [archive]

· Homer 's simile, Vyasa's story" article paru in Journal of Mediterranean Studies 6 (2), p. 206-211 [archive]

 



  

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