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RESUME. 1. INTRODUCTION



RESUME

 

Objectifs: Il y a cinquante ans, le gé oscientifique Gordon J. F. MacDonald a é crit un chapitre intitulé « Comment dé truire l’environnement? », dans lequel il dé crivait comment une nation pouvait modifier l’environnement de maniè re à nuire secrè tement à une nation ennemie. Notre objectif est d'examiner les suggestions de MacDonald sur les straté gies de guerre environnementale à la lumiè re des progrè s technologiques ulté rieurs et dans le contexte du dé ploiement effectif des mé thodes de guerre qu'il a dé crites.

Mé thodes: Nous examinons la litté rature interdisciplinaire, historique, scientifique et mé dicale.

Ré sultats: MacDonald a discuté de la guerre mé té orologique manifeste et secrè te basé e sur l’ensemencement de nuages pour provoquer des pré cipitations. Par la suite, une mé thode a é té dé veloppé e pour inhiber les pré cipitations en dispersant des particules de pollution dans les ré gions de l'atmosphè re où se forment les nuages. Depuis au moins deux dé cennies, les citoyens observent des traî né es de particules se produisant à une fré quence croissante. Les investigations scientifiques ont dé couvert la pré sence de cendres volantes de charbon toxiques comme en é tant le principal constituant. Vers 2010, les pulvé risations aé riennes de particules ont atteint un niveau quasi quotidien et quasi global. Vraisemblablement, un accord international secret a imposé les pulvé risations aé riennes comme « parasol » pour la Terre. Cependant, les pulvé risations aé riennes, plutô t que de refroidir l'atmosphè re la ré chauffent, retardent la perte de chaleur de la Terre et provoquent le ré chauffement de la planè te. MacDonald a é galement discuté de la destruction de l’ozone atmosphé rique et du dé clenchement de tremblements de terre et d’é ruptions volcaniques, des activité s dé sormais possibles avec des chauffages ionosphé riques à haute fré quence.

Conclusions: MacDonald avait pré vu avec pré cision la dé cision en cours de l'armé e amé ricaine de militariser l'environnement à des fins de sé curité nationale. Mais il n'a pas ré aliser que les forces armé es nationales pouvaient et seraient coopté es par un accord international secret dont la consé quence, mê me involontaire, é tait de dé clencher la guerre contre la planè te Terre, contre tout son biote et contre ses processus biogé ochimiques naturels. Tant que les politiciens, les mé dias, les scientifiques et les autres membres de notre socié té n’auront pas vu ce qui se passe sous leurs yeux et demandé collectivement l’arrê t de ces activité s technologiques secrè tes, nous courrons vers la premiè re extinction de masse provoqué e par l’homme.

Mots-clé s: tremblements de terre dé clencheurs; modification du climat; appauvrissement de la couche d'ozone; chauffage ionosphé rique; Gordon J. F. MacDonald; cendres volantes de charbon; gé o-ingé nierie.

1. INTRODUCTION



Le gé oscientifique politiquement puissant Gordon J. F. MacDonald (1929-2002) a é crit un essai influent intitulé «Comment dé truire l'environnement», publié en 1968 dans un livre intitulé « A moins que la paix ne vienne » [1]. À l'é poque où l'armé e mettait l'accent sur la guerre nuclé aire, MacDonald suggé ra prophé tiquement: « Parmi les moyens futurs d'atteindre des objectifs nationaux par la force, une possibilité repose sur la capacité de l'homme à contrô ler et manipuler l'environnement de sa planè te ». Mac Donald, haut conseiller scientifique du pré sident et participant aux discussions scientifiques et politiques nationales, é tait bien qualifié pour aborder le sujet des futures possibilité s de guerre environnementale.

Une grande partie de ce que MacDonald a pré dit ou dont il a fait l'hypothè se, a é té ré alisé e, non pas avec la technologie qu'il a dé crite, mais avec une technologie potentiellement beaucoup plus efficace et dé vastatrice dé veloppé e au cours des cinquante derniè res anné es.

Comme MacDonald l'a noté en 1968: « La clé de la guerre gé ophysique est l'identification des instabilité s environnementales auxquelles l'ajout d'une petite quantité d'é nergie permettrait de libé rer beaucoup plus d'é nergie. » MacDonald a discuté dé libé ré ment de l'instabilité dans des systè mes naturels aussi vastes que le temps, le climat, les océ ans et le cerveau humain, y compris des phé nomè nes tels que les ouragans, les tremblements de terre et les tsunamis pour une utilisation de guerre. Il é tait conscient, compte tenu des limites de la compré hension de la gé ophysique, qu'il fallait aussi anticiper les consé quences né gatives impré vues qui pourraient provenir de la perturbation dé libé ré e de systè mes naturels complexes lesquels ont des « points de basculement » inconnus.

Au cours des cinquante anné es qui ont suivi la publication phare de MacDonald [1], la technologie né cessaire à la militarisation de l'environnement a connu des avancé es majeures, bien connues de ceux qui ont financé la recherche. En parallè le, la compré hension scientifique du comportement de la Terre a é galement connu des avancé es majeures au cours du dernier demi-siè cle.

Cependant, de nouveaux concepts essentiels en gé ophysique - tels que ceux dé veloppé s par le « complexe militaro-industriel » - ont é té gé né ralement ignoré s dans la communauté gé o-scientifique pendant des dé cennies. Il n'est donc pas surprenant que le dé ploiement de technologies de guerre environnementale radicales qui altè rent les processus naturels fondamentaux de notre planè te se poursuive, sans avertissement scientifique ni compré hension complè te des phé nomè nes gé odynamiques sous-jacents et des dangers que ces technologies posent à la vie humaine et à toute vie. Par exemple, pour ê tre habitable, la Terre doit maintenir un é quilibre é nergé tique dé licat en rayonnant dans l'espace essentiellement toute l'é nergie qu'elle reç oit du soleil et de ses propres sources d'é nergie gé ophysiques et anthropiques intrinsè ques. Depuis la fin des anné es 1990, une volonté bien organisé, orchestré par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'é volution du climat (GIEC) des Nations Unies et d'autres, vise à promouvoir l'idé e que les gaz à effet de serre anthropiques affectent né gativement la perte de chaleur, provoquant le ré chauffement climatique [2]. Pour compenser, le GIEC promeut à ré pé titions l'idé e de s'engager dans une gé o-ingé nierie future, c’est-à -dire en dispersant des substances dans l’atmosphè re pour bloquer une partie de la lumiè re solaire [3]. Cependant, le GIEC n’a pas reconnu la possibilité que la gé o-ingé nierie militaire ait une porté e et une porté e de plus en plus longue pendant des dé cennies et que la principale consé quence, ne soit pas de refroidir la Terre, mais de provoquer le ré chauffement climatique et le chaos climatique.

Nous examinons ici certaines des idé es exprimé es par MacDonald dans « Comment dé truire l'environnement" [1] à la lumiè re des dé veloppements technologiques ulté rieurs. Nous examinons é galement les preuves que des technologies militaires dé stabilisant l'environnement sont dé ployé es à l'é chelle mondiale. Le cas é ché ant, nous discutons des risques potentiels pour notre planè te et son biote, qui sont probablement sous-estimé s par les responsables.


2 METHODES

Nous avons é tudié la litté rature interdisciplinaire, historique, scientifique et mé dicale.


3. RÉ SULTATS ET DISCUSSION


Le rê ve de longue date des planificateurs militaires de contrô ler le temps a commencé à se concré tiser avec la dé couverte suivante, en 1946: les nuages ​ ​ ensemencé s d’iodure d’argent ou de neige carbonique (dioxyde de carbone solide) dans des conditions approprié es, pouvaient produire de la glace ou de la neige]. MacDonald [1] a discuté de cette forme d'ensemencement des nuages ​ ​ et de son potentiel militaire à la fois pour provoquer des pluies et empê cher les opé rations terrestres ennemies ou provoquer secrè tement une sé cheresse à long terme en forç ant les nuages ​ ​ à libé rer leur humidité avant d'atteindre la nation ciblé e. Ce sont des questions qui pré occupent gravement les militaires amé ricains d’alors et d’aujourd’hui [5].

Le temps est devenu une arme de guerre pendant la guerre du Vietnam lorsque des opé rations d'ensemencement des nuages ​ ​ ont é té mené es pour prolonger la saison de la mousson sur la piste d'Ho Chi Minh afin d'empê cher les approvisionnements et le mouvement des troupes (Opé ration Popeye) [5]. Les militaires amé ricains ont é galement ensemencé des nuages ​ ​ en approchant Cuba dans le but de provoquer la sé cheresse pour dé truire la ré colte de la canne à sucre [6].

Le fait d'ensemencer des nuages ​ ​ pour provoquer la pluie, tel que dé crit par MacDonald [1], n’é tait que la premiè re é tape de la manipulation des conditions mé té orologiques. Des recherches ulté rieures ont inventer la technologie pour empê cher la chute de pluie. Pour que les nuages ​ ​ produisent de la pluie, de minuscules gouttelettes doivent ê tre nuclé é es puis se ré unissent pour former des gouttes suffisamment lourdes pour tomber sur la Terre. Les techniques de dé tection de la pollution permettent de connaî tre la technologie qui empê che les pré cipitations. Un nombre suffisamment important de particules de pollution, dispersé es dans la ré gion où se forment les nuages, limitent la taille des minuscules gouttelettes, les bloquent et les empê chent de fusionner pour devenir suffisamment lourdes et tomber sous forme de pluie. Finalement, le « poids » de l’humidité devient insupportable et les nuages la relâ chent en dé luges.

À la fin des anné es 1990, les citoyens avertis se sont inquié té s des traî né es de particules aé riennes qui s'é tendaient d'un horizon à l'autre dans le ciel au-dessus d'eux. Au fil du temps, ces traî né es d'avions sont devenues plus fré quentes, tandis qu'on trompait le public en lui faisant croire qu'il s'agissait de traî né es de neige inoffensives, de cristaux de glace formé s par les vapeurs d'é chappement [7]. Vers 2010, les pulvé risations aé riennes sont devenues une activité quasi quotidienne sur la majeure partie du globe [8]. (Fig. 1)

La modification du temps est un phé nomè ne limité en duré e et en é tendue gé ographique, alors que la modification du climat est né cessairement mondiale. Les pulvé risations aé riennes actuelles, quasi quotidiennes et quasi mondiales, semblent repré senter une tentative de modification du climat, dont MacDonald a é galement discuté e [1], et implique probablement aussi une activité de modification du temps. Comme le notait MacDonald: «... le climat est principalement dé terminé par l’é quilibre entre les ondes courtes du soleil (principalement la lumiè re) et la perte du rayonnement des ondes longues (principalement la chaleur). » Il continuait en listant les trois facteurs qui dominent cet é quilibre: 1) l'é nergie du soleil; 2) la transparence atmosphé rique de la Terre à diffé rentes formes d'é nergie rayonné e; et 3) les caracté ristiques de surface de la Terre. L'alté ration d'un de ces trois facteurs peut modifier le climat.

La modification de la production é nergé tique du soleil n'est pas techniquement ré alisable aujourd'hui, mais il existe diffé rentes maniè res d'effectuer le transport de l'é nergie rayonnante à travers l'atmosphè re terrestre. Parmi les possibilité s é voqué es par MacDonald [1], bien que sans spé cificité, l’idé e de placer le maté riau dans la haute atmosphè re «absorberait soit la lumiè re entrante (refroidissant ainsi la surface) soit la chaleur sortante (ré chauffant ainsi la surface)». À propos d’une telle possibilité, MacDonald a noté: «À l’heure actuelle, nous en savons trop peu sur les effets paradoxaux du ré chauffement et de son refroidissement pour pouvoir en tirer les consé quences. » Cette affirmation reste aussi vraie qu’il y a 50 ans.

L’explication du comportement des maté riaux placé s dans la haute atmosphè re, comme l’a dé claré MacDonald, est simpliste et incorrecte. Donc, la proposition souvent ré pé té e des membres de la communauté gé oscientifique qui discute maintenant de la possibilité de placer des maté riaux dans la haute atmosphè re pour reflé ter une partie de la lumiè re du soleil dans l'espace, les «parasols de la Terre», l'est aussi. Comme nous le verrons plus loin, les particules placé es dans l'atmosphè re ont un comportement en ré ponse à un rayonnement incident beaucoup plus complexe que celui dé crit par MacDonald, de mê me que leurs ré actions physiques et chimiques dans l'atmosphè re et à la surface de la Terre.

Comme on l’a vu plus haut, l’armé e des É tats-Unis a é té engagé e pendant des dé cennies dans la pulvé risation aé rienne de particules dans les ré gions où les nuages se forment pour modifier les conditions mé té orologiques et pour d’autres raisons, par exemple: amé liorer les systè mes de communication associé s aux programmes de rayonnement é lectromagné tique.

La pulvé risation aé rienne semble ê tre devenue une opé ration internationale vers 2010 et est vraisemblablement basé e sur un accord international secret, car l'activité de modification climatique observé e doit impliquer, ipso facto, la collaboration de plusieurs É tats. Les photos Fig1 et 2 illustrent la diversité des pays indé pendants. MacDonald a indiqué que le projet Popeye, le programme de modification du temps trè s secret de la guerre du Vietnam, ne consistait pas à modifier le ré sultat de la guerre, mais à « pouvoir mener des opé rations secrè tes en utilisant une nouvelle technologie, dans une dé mocratie, sans en informer les gens »[1].

 

 

Fig. 1. Traî né es de particules de manipulation climatique. (Avec l'autorisation des photographes) Dans le sens des aiguilles d'une montre à partir du haut à gauche: Paris, France (Patrick Roddie); Karnak, Eqypt (auteur JMH); Londres, Angleterre (auteur IB); Californie du Nord, É tats-Unis (Patrick Roddie); Genè ve, Suisse (Bé atrice Wright); Yosemite, Californie, É tats-Unis (Patrick Roddie); Jaipur, Inde (auteur JMH)

 


Dans le cas d'un é ventuel accord international secret visant à modifier le climat, la pré somption aurait é té faite pour le bé né fice de l'humanité. Cependant, comme nous le montrons, sa mise en œ uvre aggrave le problè me du ré chauffement de la planè te et provoque un chaos climatique, et affecte né gativement la santé des organismes vivants, y compris les ê tres humains. À premiè re vue, il semblerait que les consé quences gé ophysiques et biologiques ré elles de ces opé rations militaires secrè tes seraient incompatibles avec un programme international au bé né fice de l’humanité, à moins que cet accord / entente international secret ne soit fondé sur de fausses dé clarations. Si tel est le cas, une é trange dichotomie marque le sujet des modifications mé té orologiques et climatiques, caracté risé par une contradiction flagrante entre les fins et les moyens, l’intention et les consé quences.


La science devrait ê tre fondé e sur la vé rité, mais son administration et son financement inadé quats ont corrompu son inté grité [9]. Depuis 1989, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'é volution du climat (GIEC) des Nations Unies est resté muet sur la pulvé risation de particules aé riennes militaires et n'a pas tenu compte de ses consé quences gé ophysiques dans ses modè les climatiques [10]. À l'heure actuelle, les é pandages de particules aé riennes à grande é chelle ne peuvent se faire que sous l'é gide d'organisations militaires, mais il existe une tendance mondiale qui encourage la gouvernance permettant à des entité s non militaires telles que les université s et les entreprises à but lucratif d'intervenir sur le climat [11]. .

Quelle raison a é té donné e aux gouvernements nationaux pour les amener à accepter de devenir parties prenantes des pulvé riser aé riennes de particules quasi quotidiennes, quasi mondiales, dans l'atmosphè re? Peu de chefs de gouvernement, de politiciens et de bureaucrates sont formé s à la science. Ont-ils é té informé s que les é pandages aé riens de particules agiraient comme un parasol pour refroidir la Terre afin de compenser le ré chauffement plané taire pré sumé des gaz à effet de serre anthropiques?


Si c'est le cas, ils ont é té trompé s par la plus grande arnaque «scientifique» jamais perpé tré e [12]: provoquer le ré chauffement climatique et le chaos climatique par des é pandages aé riens quotidiens et imputer le ré chauffement aux gaz à effet de serre anthropiques, miner la souveraineté des é tats nations, et é riger de nouvelles structures de gouvernance mondiale pour ré glementer les é missions anthropiques et transnationales de gaz à effet de serre.

 

3. 1 Les consé quences ré elles des pulvé risations aé riennes de particules


L'un des objectifs militaires originaux de la dispersion des particules aé riennes dans les ré gions où se forment les nuages ​ ​ é tait d'empê cher les pré cipitations et de provoquer une sé cheresse en pays ennemi. En effet, l’ancien pré sident iranien Mahmoud Ahmadinejad a accusé les pays occidentaux de faire exactement cela [13]. La figure 2 montre des traî né es de particules couvrant la Ré publique de Chypre, dont les citoyens ont ré clamé, sans succè s jusqu'à pré sent, une explication à leur gouvernement pour l'obscurcissement dé libé ré de leur ciel [14]. Le public ne dispose d'aucune information sur l'é tendue de la guerre mé té orologique. Il est inté ressant de noter que MacDonald a pré dit une guerre secrè te contre l’environnement [1]: «[…] en retirant l’humidité de l’atmosphè re pour qu'une nation dé pendante de l’eau puisse ê tre soumise à des anné es de sé cheresse. L'opé ration pourrait ê tre masqué e par l'irré gularité statistique de l'atmosphè re. Une nation possé dant une technologie supé rieure dans la manipulation de l'environnement pourrait endommager un adversaire sans ré vé ler son intention. « Non seulement l'adversaire, mais les propres citoyens de l'agresseur n'en seraient pas informé s. Comme on l’a noté, MacDonald a fait observer que « l’on peut mener des opé rations secrè tes à l’aide d’une nouvelle technologie dans une dé mocratie, sans que les gens le sachent ».

Vraisemblablement, l'utilisation de particules facilement disponibles et peu coû teuses a du ê tre considé ré e comme une né cessité pratique et a é té mise en œ uvre sans tenir compte de ses é ventuels effets nocifs sur la santé. Nous savons que cela a é té fait au Vietnam [5]. L’accord international non divulgué relatif aux pulvé risations aé riennes quasi quotidienne et à leur financement concomitant a permis à des organisations militaires d’exposer sans discrimination des millions de citoyens non informé s aux particules dispersé es jour aprè s jour, anné e aprè s anné e, dans leurs propres pays souverains. De plus, les pulvé risations aé riennes sont accompagné es d'une campagne de dé sinformation concerté e visant à induire en erreur le public, ainsi que la communauté scientifique, sur ses consé quences né fastes pour la santé [7, 15-17]. Dans les sous-sections suivantes, nous examinons les diffé rentes consé quences des pulvé risations aé riennes.


3. 1. 1 Composition particulaire des aé rosols



La composition des particules aé riennes militaires pulvé risé es dans l'atmosphè re a longtemps é té un secret bien gardé. Au dé but du XXIè me siè cle, les citoyens concerné s ont pré levé des é chantillons d'eau de pluie post-pulvé risation et les ont faits analyser dans des laboratoires commerciaux.

En gé né ral, seule l'analyse de l'aluminium é tait demandé e. occasionnellement à la fois l'aluminium et le baryum; rarement l'aluminium, le baryum et le strontium. La pré sence de ces é lé ments dans l’eau de pluie a montré à l’un de nous (JMH) que les particules pulvé risé es dans l’atmosphè re pouvaient ê tre rapidement lessivé es par l’eau atmosphé rique, des é lé ments partiellement extraits des particules dans l’eau (comme le thé vient des feuilles de thé ). ), tout comme les dé chets toxiques de la combustion industrielle du charbon, les cendres volantes de charbon (CVC) sont facilement lessivé es par l’eau.

 

En comparant le lixiviat de laboratoire de CVC [18, 19] aux é chantillons d'eau de pluie post-pulvé risation [8, 20, 21], nous avons dé montré que les particules pulvé risé es en aé rosols sont compatibles avec les cendres volantes de charbon. Nous avons en outre montré que les ratios d'é lé ments mesuré s dans les poussiè res en suspension dans l'air pré levé es aprè s la pulvé risation et collecté es à l'exté rieur et dans les matiè res entraî né es par la neige et la pluie concordaient avec des ratios similaires mesuré s en CVC [18, 19].

 

Fig. 2. Image satellite de la NASA Worldview daté e du 4 fé vrier 2016, montrant des traî né es de particules pulvé risé es au-dessus de la Ré publique de Chypre mais presque absentes des ré gions avoisinantes. Le dé partement des services de l'environnement de Chypre, qui fait partie du gouvernement chypriote, a promis d'enquê ter sur les é pandages aé riens à la suite des pré sentations faites en fé vrier 2016 à la commission parlementaire de l'environnement, mais à ce jour, aucune enquê te n'a é té mené e.

 

Des cendres volantes de charbon se forment dans les gaz chauds au-dessus de la chambre de combustion du charbon. Typiquement les CVC forme des sphè res, de 0, 01 à 50 μ m de diamè tre [22]. Facilement disponible dans le monde entier à faible coû t, la fine granulomé trie de ce dé chet industriel majeur signifie que peu de traitements supplé mentaires sont né cessaires avant son dé ploiement sous forme d'aé rosol dans l'atmosphè re.

Une grande partie des mé taux lourds toxiques et des é lé ments radioactifs pré sents à l’origine dans le charbon se retrouvent concentré s dans les CVC [23]. En raison de leur toxicité, les ré glementations en vigueur dans les pays occidentaux exigent la collecte de CVC, gé né ralement pié gé es par des pré cipitateurs é lectrostatiques, plutô t que de sortir par les cheminé es. Les circonstances de la formation des CVC sont diffé rentes des circonstances rencontré es dans l'environnement naturel (sauf lorsque les dé pô ts de charbon prennent feu), se condensant et s'accumulant dans les gaz chauds au-dessus de la chambre où la combustion a lieu. Comme les ré actions chimiques au cours de la formation des CVC sont diffé rentes de celles que l'on trouve habituellement dans la nature, de nombreux é lé ments pré sents dans les CVC peuvent ê tre partiellement extraits par exposition à l'humidité [18].

Pour les militaires, ceci est avantageux, car les pulvé risations aé riennes de CVC rendent l'eau atmosphé rique plus conductrice d'é lectricité en raison des nombreux é lé ments dissous et ionisé s, et donc plus sensible au rayonnement é lectromagné tique. Mais pour les humains, les plantes et les animaux exposé s à ces toxines, les consé quences sont dé vastatrices.


3. 1. 2 Problè mes de santé publique et environnementale



Les enquê tes é pidé miologiques sur la pollution par les aé rosols particulaires dans la mê me gamme de taille de particules que les CVC fournissent des indications sur les effets né fastes sur la santé des particules pulvé risé es dans la troposphè re et la basse stratosphè re. Les particules de pollution dans l'intervalle de taille (PM2, 5) [24] sont associé es à la morbidité et à la mortalité pré maturé e [25-27], à la maladie d'Alzheimer [28, 29], au risque de maladie cardiovasculaire [30], au risque d'AVC [31], au cancer du poumon [32], à l'inflammation pulmonaire et au diabè te [33], à la diminution de la fertilité masculine [34], à la ré duction de la fonction ré nale chez les hommes â gé s [35], à l'apparition de l'asthme [36], à l'augmentation des hospitalisations [37] et à une diminution du poids à la naissance [ 38].

Les consé quences né fastes sur la santé des CVC en aé rosols sont encore plus graves. La pollution de l'air ambiant contribue à l'augmentation mondiale des maladies respiratoires et du cancer du poumon [39, 40]. Les CVC inhalé es, en aé rosols, et leurs composé s cancé rogè nes, tels que l'arsenic, le chrome VI et les radionuclé ides, s'installent profondé ment dans les voies aé riennes terminales et les alvé oles où elles restent et peuvent pré senter des risques de cancer du poumon [41].

Les nanoparticules sphé riques de magné tite exogè ne (Fe3O4), ré cemment dé couvertes dans les tissus cé ré braux de personnes atteintes de dé mence [42], suggè rent une origine du type pollution atmosphé rique produite par les CVC, caracté risé es par des particules sphé riques. Les oxydes de fer et les aluminosilicates, composants principaux des CVC, se trouvent tous dans les proté ines anormales qui caracté risent la dé mence d'Alzheimer, ce qui entraî ne un stress oxydatif et une inflammation chronique des tissus cé ré braux [43].

Les cendres volantes de charbon, lorsqu'elles sont exposé es à l'humidité ou aux fluides corporels, libè rent de nombreuses toxines, y compris de l'aluminium, sous une forme chimiquement mobile, qui est un é tat non naturel de l'environnement et de la biologie [18]. L'aluminium chimiquement mobile est mortel pour les plantes et les arbres, ainsi que pour les amphibiens [44]. L'aluminium est associé à des troubles neurologiques [8] et a é té retrouvé à des niveaux é levé s chez les abeilles [45].

3. 1. 3 Consé quences thermiques des pulvé risations aé riennes de particules


En plus d'inhiber les pré cipitations en empê chant la coalescence des gouttelettes d'humidité, les particules pulvé risé es dans la troposphè re et la basse stratosphè re ré flé chissent une partie de la lumiè re solaire dans l'espace. Mais une partie de la lumiè re solaire incidente est absorbé e par ces particules sous forme de chaleur. Cette chaleur peut ê tre transfé ré e dans l'atmosphè re par des collisions molé culaires ou peut ê tre renvoyé e dans n'importe quelle direction et ne pas dans l'espace. Les particules en aé rosols agissent é galement pour limiter la perte de rayonnement infrarouge à la surface de la Terre et deviennent ainsi une source de ré chauffement atmosphé rique - le ré chauffement de la planè te [46].

Les oxydes de fer, un composant important des CVC, absorbent fortement dans l’ultraviolet, mais ré flé chissent dans l'infrarouge [47]. La plupart des particules d'oxyde de fer en suspension dans l'air observé es dans les é coulements continentaux d'origine anthropique en Chine sont constitué es de nanoparticules de magné tite ou de particules contenant du fer des CVC [48]. Les aé rosols absorbent fortement la lumiè re, tels que les CVC, chauffent directement l'atmosphè re et ré duisent indirectement l'albé do de la neige par leur effet de ré chauffement [49]. Lorsque les particules en aé rosols tombent sur Terre, en particulier dans les ré gions les plus é loigné es du nord et de l'extrê me sud, elles modifient l'albé do de la glace et de la neige, ce qui permet à la Terre d'absorber plus d'é nergie solaire [50]. Ce comportement, en particulier lorsqu'il est envisagé dans le contexte de pulvé risations d'aé rosols quasi-quotidiennes et quasi mondiales, peut clairement contribuer au ré chauffement de la planè te. Par consé quent, l’é tat thermique de la Terre a tendance à se ré chauffer, ce qui est l’opposé exact des revendications officielles en matiè re de gé o-ingé nierie.

Il existe d'autres consé quences à la pré sence de particules atmosphé riques de CVC dans la troposphè re et la basse stratosphè re qui conduisent davantage au ré chauffement. Par exemple, les particules de CVC peuvent provoquer la formation de cristaux de glace à partir de gouttelettes d’humidité sur-refroidies qui forment des cirrus dont l’effet est de retarder la perte de chaleur infrarouge de la Terre [51, 52]. Selon les estimations, les niveaux actuels d’é missions de CVC contribueraient à 0, 106 W / m2 de ré chauffement grâ ce à leur rô le dans la formation des nuages ​ ​ cirrus [53]. Cette estimation ne tient toutefois pas compte des quantité s massives de CVC utilisé es dans les pulvé risations aé riennes de particules.

Face à toutes les pré occupations exprimé es dans la presse et ailleurs sur le ré chauffement climatique, il nous semble inconcevable que les dirigeants politiques signent sciemment un accord international secret visant à promouvoir le ré chauffement climatique. L'autre pré somption serait que les dirigeants politiques aient é té trompé s on leur aurait fait croire qu'ils acceptaient une activité qui refroidirait la Terre, alors qu'en ré alité, l'effet net de ces activité s ré chauffe la Terre et dé truit la vie si on lui permet de persister.

 

3. 1. 4 Destruction de la couche d'ozone


En 1968, MacDonald [1] a averti: «Plus soudains, peut-ê tre beaucoup plus brefs mais né anmoins dé sastreux, les effets sont pré visibles si des moyens chimiques et physiques sont mis au point pour attaquer l’un des constituants naturels de l’atmosphè re, l’ozone. Durant toutes ces anné es, de tels moyens ont é té dé veloppé s et dé ployé s.. Les moyens chimiques se manifestent principalement sous la forme de CVC en aé rosols; les moyens physiques, par radiofré quences ionosphé riques.


Beaucoup supposent que la couche d'ozone protectrice dans la stratosphè re se ré tablirait lentement principalement en raison de l'interdiction internationale des chlorofluorocarbones (CFC) par le Protocole de Montré al [54] et que le trou d'ozone antarctique se ré sorberait lentement [55]. Cependant, il apparaî t que ces hypothè ses pourraient ê tre fausses. Il existe de nouvelles preuves de la perte continue d'ozone dans la basse stratosphè re [56]. On pense qu'une ré duction de l'ozone dans la stratosphè re tropicale, où se forme la majeure partie de l'ozone, entraî ne le transport de cet air riche en ozone vers les latitudes moyennes via la circulation de Brewer-Dobson [56].


Les pertes de colonne d'ozone à haute latitude sont de l'ordre de 6% [57]. Auparavant, l’appauvrissement de la couche d’ozone stratosphé rique é tait attribuable à l’augmentation rapide des substances anthropiques (et naturelles) à courte duré e de vie contenant du chlore ou du brome [56]. Cependant, les CVC en aé rosols utilisé es pour la modification du climat, dé sormais quasi quotidiennement, dispersent des quantité s massives de chlore, de brome, de fluor et d’iode dans l’atmosphè re (tableau 1), y compris des nanoparticules hautement ré actives. Ce sont des destructeurs potentiels de la couche d'ozone [58].

 

Tableau 1. Gamme de compositions d'é lé ments halogè nes des CVC [59]


Chlore (μ g / g) Brome (μ g / g) Fluor (μ g / g) Iode (μ g / g)

13 - 25 000 0, 3 - 670 0, 4 - 624 0, 1 - 200

Tableau 2. Comparaison de la ré duction de densité en nombre O3 x 10 9 pendant le chauffage de 30 minutes des ondes radio de polarisation X à haute puissance é mises par les installations à 4, 3 MHz. Donné es de [64]

 

Date 14/03/09 15/03/09 16/03/09 17/03/09
Night   12. 1±0. 7 13. 6±0. 7 13. 6±0. 5
Day 9. 37±0. 48 9. 60±0. 50 9. 55±0. 40 9. 82±0. 35
HF Pumping 8. 03±0. 38 8. 31±0. 29 7. 32±0. 47 8. 97±0. 49
Day 9. 09±0. 42 9. 23±0. 21 9. 01±0. 24 9. 67±0. 30
Night 12. 8±0. 6 14. 4±0. 7 11. 9±0. 6 12. 2±0. 5

 


Un parallè le inquié tant existe pour cette dé gradation de l'é cosystè me: malgré le renforcement des ré glementations sur les é missions de mercure, le mercure mesuré dans l'eau de pluie augmente [60]. Comme la troposphè re supé rieure contient maintenant du mercure oxydé et lié aux particules [61], il n’est pas improbable que les CVC sous forme de particules, contenant jusqu’à 2 μ g / g de mercure, soient une source majeure de pollution quand elles sont pulvé risé es dans l'atmosphè re [21].


Outre la destruction chimique de l'ozone stratosphé rique, il semblerait que les chauffages ionosphé riques à haute fré quence, aujourd'hui ré pandus dans le monde [62, 63], puissent avoir des effets né fastes sur l'ozone stratosphé rique. Les scientifiques russes ont dé couvert un nouveau phé nomè ne physique de diminution de l'intensité des é missions de micro-ondes de la mé sosphè re dans la ligne d'ozone lors de la modification de l'ionosphè re par des ondes radio haute fré quence (HF) de haute puissance [64, 65]. L'installation de Sura pour la gé né ration d'ondes radio de haute puissance est situé e prè s du village de Vasil'sursk en Russie. Il possè de un é metteur de puissance rayonné e efficace de 190 MW et fonctionne en mode 30 minutes en marche et 30 minutes en arrê t.. Le rayonnement thermique de l'atmosphè re dans la raie spectrale de l'ozone, à une fré quence de 110836, 04 MHz, a diminué en intensité pendant la phase de chauffage du cycle de 10 ± 2% en moyenne pendant toutes les sessions de mesure en mars 2009, comme indiqué dans le tableau 2.

 

3. 1. 5 Utiliser l'environnement contre l'humanité

 

La dé couverte russe peut ê tre le signe de graves problè mes à venir. Pendant 60 ans, les forces armé es des É tats-Unis et d'autres grandes puissances ont mené des «expé riences» de modification ionosphé rique sans tenir compte de l'inté grité de la couche d'ozone ou de la vie en gé né ral, exploitant l'ionosphè re à de multiples fins militaires, incluant les communications avec les sousmarins, les ressources en tomographie, l'exploitation et l'utilisation des conditions mé té orologiques et du climat comme armes [5, 66]. En 1968, MacDonald [1] pré voyait qu’à l’avenir, l’armé e pourrait mettre au point des moyens de dé clencher des modifications environnementales secrè tes pour provoquer des tempê tes, des inondations, des sé cheresses, des tremblements de terre et des raz-de-maré e. Bien que l’on ne s’attende pas à ce que les militaires soumis au secret, l'admettent, un courriel adressé à la secré taire d’É tat Hillary Clinton [67] le 21 fé vrier 2011 à 19h35 indique que «le sé isme de magnitude 6 à la source... " [soulignement ajouté ]. L’expression « à la source » semble indiquer que l’heure du tremblement de terre de magnitude 6, 3 à Christchurch en Nouvelle-Zé lande é tait connue à l’avance, ce qui est probablement une indication du dé clenchement dé libé ré du sé isme.

En 1997, le secré taire à la Dé fense, William Cohen, a directement dé claré [68]: «D'autres se livrent à un terrorisme é cologique qui modifie le climat, dé clenche des sé ismes et des volcans à distance par l'utilisation d'ondes é lectromagné tiques…. , et c'est la raison pour laquelle nous devons intensifier nos efforts. "

Il y a cinquante ans, MacDonald [1] notait: «Les oscillations é lectriques à basse fré quence amé lioré es dans la cavité terre-ionosphè re se rapportent à des systè mes d’armement possibles à travers l’aspect peu compris de la physiologie cé ré brale. Peu importe si pour certains, utiliser l’environnement pour manipuler les comportements pour avantager une nation est profondé ment perturbant, la technologie permettant une telle utilisation se dé veloppera probablement au cours des prochaines dé cennies. «Avec les é metteurs de chauffages ionosphé riques dispersé s à travers le monde, ce moment pourrait ê tre proche - un demi-siè cle aprè s les pré visions de MacDonald.


3. 1. 6 Extinction de la vie sur terre


Historiquement, les principales puissances militaires du monde ont manifesté peu ou pas d'inté rê t pour la santé de leurs propres citoyens lorsque les objectifs de la «sé curité nationale» sont en jeu [69, 70]. Dans les anné es 1950 et 1960, plus d'une centaine d'appareils nuclé aires ont explosé en surface dans le Nevada (É tats-Unis) [71]. Sans ê tre au courant des risques potentiels pour la santé, des milliers de militaires ont é té dé libé ré ment exposé s à des explosions nuclé aires, y compris des manœ uvres de « jeux de guerre » qui se sont dé roulé es directement sous les retombé es des nuages ​ ​ atomiques [71, 72]. Les ré sidents locaux n'é taient pas non plus clairement informé s des risques ou des moyens de minimiser ces risques [71]. Les retombé es radioactives se sont produites non seulement dans la zone proche des explosions nuclé aires, mais lorsque les vents ont propulsé le nuage radioactif aux É tats-Unis, des retombé es se sont produites le long des lignes illustré es sur la figure 3, en fonction des conditions mé té orologiques locales.

Les essais nuclé aires aé riens atmosphé riques ont pris fin uniquement à la suite des protestations de la population selon lesquelles le strontium 90 radioactif produit par la bombe, pré sent dans le lait de vache, risquait d'ê tre incorporé dans les dents et les os des nourrissons et des enfants [73 ]. Aujourd'hui, plus d'un demi-siè cle plus tard, la communauté scientifique est muette sur les vastes expé riences militaires sur des systè mes terrestres tels que le climat, et les mé dias du monde entier sont é galement muets. Pourtant, les dangers des pulvé risations aé riennes de particules et des activité s de chauffage ionosphé rique, pris dans leur ensemble, peuvent s’avé rer aussi graves que ceux posé s par les essais nuclé aires atmosphé riques [41, 43, 74]. Si elles ne sont pas arrê té es, ces expé riences militaires dans notre atmosphè re pré sentent un risque d’extinction de la vie sur Terre.

Fig. 3. Image du dé partement amé ricain de l'É nergie montrant des zones de la partie continentale des É tats-Unis traversé es par plus d'un nuage nuclé aire provenant de dé tonations en surface, comme indiqué en noir dans les anné es 1950-1960 (avec l'autorisation du dé partement amé ricain de l'É nergie)

 


L'extinction de masse, dé finie comme lorsque la Terre perd plus des trois quarts de ses espè ces en une pé riode gé ologiquement courte, ne s'est produite que cinq fois au cours des 540 millions d'anné es pré cé dentes [75]. Les caracté ristiques communes des «cinq grandes» suggè rent que des synergies clé s peuvent impliquer une dynamique climatique inhabituelle, une composition atmosphé rique et des facteurs de stress é cologiques globaux qui affectent de multiples ligné es [76]. Drizo et al. [77] ont affirmé que seulement durant les 500 derniè res anné es, les humains ont dé clenché une vague d’extinction, de menace et de dé clin de la population dont le taux et l’ampleur sont dé jà comparables à ceux des extinctions pré cé dentes. La Terre connaî t actuellement une é norme vague de dé clin de la population et de disparition de la population, avec des consé quences en cascade sur le fonctionnement des é cosystè mes et les ressources essentielles à la civilisation moderne. Une é tude ré cente, par exemple, documente un dé clin alarmant, soit une ré duction de 75%, des populations d'insectes (biomasse) au cours des trois derniè res dé cennies dans les aires proté gé es allemandes [78]. Le terme " annihilation biologique" a é té utilisé pour mettre en é vidence l'é tat actuel de la sixiè me grande extinction de la Terre [79].


3. 1. 7 L'ignorance, l'arrogance et le secret en gé ophysique


Les grandes extinctions de la Terre sont en corré lation avec les phé nomè nes volcaniques é piques appelé s grande province igné e [80]. L'extinction de masse la plus extrê me de la Terre, à la fin du Permien (ou « Grande Extinction »), il y a 250 millions d'anné es, a coï ncidé avec la grande province igné e des piè ges sibé riens, un dé versement massif de lave et l'intrusion de magma souterrain. Le magma souterrain mé langé à des veines de charbon é paisses et ce mé lange de charbon et de basalte chaud ont é té extrudé s à de nombreux endroits en surface, produisant des panaches de cendres volantes pyroclastiques, de suie, de sulfate et de poussiè re basaltique qui montaient dans la haute atmosphè re [81]. Ce maté riel a é té dispersé à l'é chelle mondiale et les dé pô ts de char qui en ont ré sulté dans les roches du Permien ont é té remarquablement similaires à ceux des cendres volantes de charbon modernes [82]. Le Permien é tait caracté risé par des niveaux é levé s de dioxyde de carbone, de mé thane et un ré chauffement rapide de la planè te à des niveaux mortels pour la plupart des organismes vivants [83]. Une pé riode de stress mortel du rayonnement ultraviolet pendant la pé riode permienne pourrait avoir é té causé e par l’appauvrissement de l’ozone stratosphé rique par la production massive d’halogè nes organiques hydrothermiques provenant du volcanisme du vaste piè ge de Sibé rie [84].

La crevasse qui s'est formé e à l'est de l'Oural il y a 250 millions d'anné es a abouti à l'un des plus importants gisements de pé trole et de gaz au monde, comme le montre la figure 4 [85]. Il y a beaucoup de mé thane gelé pié gé dans le pergé lisol dans cette vaste zone nordique [86]. Le ré chauffement anthropique de la planè te, provoqué par la pulvé risation quasi-quotidienne de particules aé riennes dans le monde entier, pré sente un risque sé rieux de dé gel massif et de libé ration de ce mé thane pié gé sous terre vers l'atmosphè re. La possibilité d'un autre é vé nement d'extinction massive, si cela devait se produire, ne peut ê tre é carté e.

 

Fig. 4. Relation entre les principaux puits de production de pé trole et de gaz naturel et la limite de pié geage du mé thane de Sibé rie, indiqué e par la ligne noire. La libé ration des dé pô ts d'hydrates de mé thane actuellement enfermé s dans le pergé lisol dans cette vaste zone, lors de la fonte, constituerait une catastrophe majeure. [85]

 

Les activité s militaires visant à manipuler l’environnement terrestre en polluant l’atmosphè re avec des CVC et en utilisant des chauffages ionosphé riques pour provoquer des tremblements de terre, des é ruptions volcaniques et d’autres buts non divulgué s sont, selon nous, trè s né fastes à la vie sur Terre. L'un des nombreux points de basculement avec lesquels les forces armé es de premier plan du monde « jouent » concerne le systè me mondial de mousson de la Terre, qui a un impact direct sur les deux tiers de l'humanité, la plupart dans les pays du Sud. Dans les discussions universitaires sur les impacts possibles de la gestion dé libé ré e du climat par des aé rosols atmosphé riques, il est largement reconnu que le systè me mondial de la mousson est actuellement mal compris; le fait de modifier dé libé ré ment le ré gime climatique mondial pourrait fausser ou bouleverser le renversement persistant de l'atmosphè re sur les tropiques, avec des consé quences potentiellement graves pour les inondations, la sé cheresse et l'agriculture en Afrique, en Chine, en Inde et en Asie du Sud-Est [87, 88 ].


Il est douteux que l'assentiment de l'é lite des pays en dé veloppement à un programme secret d'ingé nierie du climat, qui dé pend fortement du fonctionnement naturel du systè me mondial de la mousson, soit un avis pleinement informé. L’armé e classe les informations qu’elle considè re importantes pour la ré alisation de ses objectifs de sé curité et de guerre, dont l’un est la lutte contre le changement climatique [90]. Le monde civil n’a pas accè s à ces secrets, sauf aux niveaux les plus é levé s et les plus spé cialisé s du gouvernement [89]. Les ré gimes militaires impliqué s dans l'exé cution du programme massif de changement climatique abordé dans cet article jouent aux apprentis sorciers: pré somptueux, agissant en secret et arrogants inconsciemment.

 

CONCLUSIONS



La dé cision de modifier le fonctionnement naturel de notre planè te, de polluer l'air que nous respirons, de perturber le climat naturel, d'utiliser les processus gé ophysiques naturels comme armes, de perturber l'ionosphè re qui nous protè ge du rayonnement é lectromagné tique mortel et d'induire le public en erreur, a é té pré vue avec pré cision par Gordon JF MacDonald, en 1968, dans son essai intitulé «Comment dé truire l'environnement». Mais la vision de MacDonald n’é tait pas juste à 100%. Il a imaginé qu'une nation serait capable de dé velopper une technologie militaire au profit de ses propres inté rê ts nationaux naturels, mais n'a pas vu l'é volution d'un « ennemi » plané taire et les pressions qui en ré sultent pour que les forces armé es nationales agissent en concertation plané taire. Contre un soi-disant ennemi, le changement climatique.


MacDonald a é galement é choué à appré cier pleinement les impacts né gatifs des futures technologies de guerre environnementale, y compris leur impact sur la santé humaine et environnementale [20, 21, 58, 41, 43, 74]. Quatre-vingt-dix pour cent (90%) de la population mondiale vit dé sormais dans des zones où l'air est insalubre. Les produits de combustion du charbon sont le principal facteur contribuant à cette pollution atmosphé rique mondiale, l'exposition aux particules de PM2, 5 caracté risant les cendres volantes é tant le principal facteur de risque environnemental pour tous ces dé cè s (4, 5 millions en 2015) [91]. La pollution atmosphé rique affecte de maniè re disproportionné e les jeunes et les personnes â gé es et celles souffrant de maladies chroniques.

La guerre l'emporte sur toutes les autres activité s organisé es de l'humanité. Cela implique non seulement les protocoles relatifs au secret de la vie et de la mort, mais ferme la porte à la dé couverte scientifique [92, 93]. La guerre secrè te contre le changement climatique ne fait pas exception à cette rè gle. MacDonald n'a pas ré alisé, il y a un demi-siè cle, que les forces armé es du monde pourraient ê tre coopté es par un accord international secret pour mener une premiè re guerre sur le systè me plané taire terrestre, sur tous les biotes de la Terre et sur les processus biogé ochimiques fondamentaux.

Tant que les politiciens, les mé dias, les scientifiques et les autres membres de notre socié té n’auront pas vu ce qui se passe sous leurs yeux et demandé collectivement l’arrê t de ces activité s technologiques secrè tes, nous courrons vers la premiè re extinction de masse causé e par l’homme. de la vie sur terre.


DÉ CLARATION É THIQUE

Les auteurs soutiennent que les repré sentations techniques, scientifiques, mé dicales et de santé publique pré senté es dans la litté rature scientifique en gé né ral, y compris dans cette revue particuliè re, devraient ê tre et sont vé ridiques et exactes dans toute la mesure du possible et servir au maximum à proté ger la santé et le bien-ê tre de l'environnement naturel de l'humanité et de la Terre.

Conflits d'inté rê ts

Les auteurs ont dé claré n'avoir aucun conflit d'inté rê t.

Ré fé rences:

93 ré fé rences en anglais sur l'article original: pdf ci-dessous

 



  

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