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Vous ne le sauriez pas d'après les titres récents, mais il y a de bonnes nouvelles sur la race dans le nous aujourd'hui.



Vous ne le sauriez pas d'aprè s les titres ré cents, mais il y a de bonnes nouvelles sur la race dans le nous aujourd'hui.

Le pessimisme colporté à gauche par les experts et les é lus est au service d'un agenda idé ologique, et il fait probablement plus de mal aux relations raciales que n'importe quel racisme ré el.

Cela vaut la peine de pré ciser (encore une fois) que les anciens partisans de Barack Obama, et non les nationalistes blancs, é taient les é lecteurs responsables de l'é lection de M. Trump.

Ce n'est qu'occasionnellement que les mé dias de l'establishment l'ont reconnu dans leurs reportages. « Il est clair qu'un grand nombre d'é lecteurs blancs de la classe ouvriè re sont passé s des dé mocrates à M. Trump », lit-on dans une dé pê che du New York Times de 2017. « Il a renversé des millions de partisans d'Obama de la classe ouvriè re blanche à ses cô té s. Les donné es du fichier des é lecteurs ne permettent pas d’é viter cette conclusion. »

Si les journalistes n'ont pas complè tement é vité cette conclusion, ils ont passé beaucoup plus de temps à pousser une explication alternative qui cite un pré tendu repli racial dans le nous comme principal moteur du succè s politique de M. Trump.

Les fruits de cet effort sont mis à nu par le politologue Eric Kaufmann dans un nouveau rapport convaincant du Manhattan Institute.

À l'aide de donné es d'enquê te, M. Kaufmann note que les attitudes raciales tendent vers plus de tolé rance depuis plus d'un demi-siè cle, mê me en tant que politiciens noirs (M. Obama, Kamala Harris), polé mistes professionnels (Ta- Nehisi Coates, Ibram X. Kendi ) et les principaux organes mé diatiques (le «Projet 1619» du New York Times) continuent d'insister autrement.



  

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