Хелпикс

Главная

Контакты

Случайная статья





Des cercles géant dans le plus profond lac du monde… ?



 

Inversion des pô les magné tique: black-out imminent?!

Publié par MERLIN sur 6 Juin 2015, 23: 14pm Caté gories: #Poles

On le sait tous, le pô le Nord magné tique de la Terre se dé place vers la Sibé rie, mais avez-vous remarqué, et fait le rapprochement avec ce qu’il se passe en Sibé rie depuis quelques temps?

 

Il existe tout un faisceau d’indices, tous plus explicites, et alarmant le uns que les autres, qui prouvent que l’inversion des pô les magné tique est imminente!

 

Et pourtant on ne nous en parle presque pas, à peine quelques articles dans les sites et revues dé dié es à la science, mais qui se veulent rassurant, pour garder le troupeau bien calme et soumis…

 

Une des derniè res thé ories explique que cela pourrait ê tre dû au fait que le noyau interne de notre planè te est en train de grandir, obstruant le noyau externe.

 

Les mesures ré alisé es par les trois satellites europé ens SWARM ré vè lent que le pô le Nord magné tique est en train de se dé placer vers la Sibé rie. Le pô le Nord est en train de bouger. Pas le pô le Nord gé ographique, bien sû r, par lequel passe l'axe autour duquel la Terre tourne, mais le pô le Nord magné tique. En effet, ce dernier se dé place actuellement en direction de la Russie, et plus exactement de la Sibé rie.

 

É videmment, il est connu depuis longtemps que le pô le Nord magné tique se dé place en permanence. Toutefois, les caracté ristiques pré cises de ces changements permanents de position n'é taient jusqu'ici pas faciles à dé terminer. Grâ ce dé sormais à la pré sence dans le ciel des trois satellites SWARM, les pé ré grinations du pô le Nord magné tique vont dé sormais pouvoir ê tre traqué es de faç on extrê mement pré cise.

 

Notons que le dé placement du pô le Nord magné tique en direction de la Sibé rie n'est pas le seul ré sultat fourni par les sondes SWARM: ces derniè res ont é galement ré vé lé que le champ magné tique terrestre est en train de s'affaiblir!

Le champ magné tique terrestre s'affaiblit…

 

Lors d’une confé rence, il a é té annoncé que le champ magné tique s’affaiblissait d’environ 5 % tous les 10 ans. Cela annoncerait qu’un inversement des pô les est en train de se produire car cet affaiblissement est 10 fois plus fort qu’en temps normal.

 

Le champ magné tique terrestre, ce pré cieux bouclier qui nous protè ge des rayons cosmiques ainsi que du vent solaire, est en train de s'affaiblir. Tel est le constat dressé par les scientifiques qui ont analysé les donné es recueillies par les trois satellites SWARM, lancé s en novembre 2013 par l'Agence Spatiale Europé enne (ESA) afin d'é tudier le magné tisme terrestre.

 

Selon ces scientifiques, le champ magné tique terrestre s'affaiblirait de faç on particuliè rement marqué e dans l'hé misphè re occidental.

 

A l'inté rieur de cette tendance globale à l'affaiblissement du champ magné tique terrestre, les scientifiques de l'ESA ont aussi repé ré une tendance au renforcement de ce champ dans certaines zones du globe, comme le sud de l'Océ an Indien.

 

Quelles pourraient ê tre les consé quences de cet affaiblissement global?

 

Il pourrait engendrer un accroissement de la quantité de rayonnement en provenance de l'espace, avec par exemple une augmentation des dysfonctionnements affectant les dispositifs spatiaux (satellites), mais aussi terrestres. Quant à nuire à la santé humaine, une telle hypothè se n'est pour l'instant pas d'actualité, pour les scientifiques, mais pour l’instant seulement.

 

En effet, il faudrait que l'affaiblissement du champ magné tique soit beaucoup plus important que celui mesuré par la constellation SWARM, pour mettre en pé ril l’humanité ! Et c’est bien ce qui arrive en ce moment.

 

Pourquoi le champ magné tique de la Terre s'affaiblit-il?

Pour l'instant, les scientifiques n'ont pas de ré ponse pré cise à apporter à ce phé nomè ne!

 

Voici une vidé o time-lapse des variations du champ magné tique terrestre au cours de ces six derniers mois, mesuré es par les trois satellites de la constellation SWARM:

La ré ponse parait pourtant é vidente, car comme nous le savons tous, cet affaiblissement du champ magné tique de la Terre pourrait annoncer son inversion prochaine. Un phé nomè ne qui se produit en moyenne tous les 250 000 ans, et qui s'est dé roulé pour la derniè re fois il y a 780 000 ans, soit une pé riode de temps bien plus é levé e que l'intervalle moyen entre deux inversions.

 

Une inversion qui, si elle devait se produire bientô t, ne s'é talerait certainement pas sur plusieurs milliers d'anné es, comme on veut nous le faire croire, mais beaucoup plus rapidement, comme cela se passe pour toutes les planè tes, et le Soleil lui-mê me!

Voilà pour le constat et les faits, mais qu’en est-il des é vè nements qui montreraient qu’une inversion des pô les magné tique s’opé rerait en ce moment mê me?

 

La Sibé rie est la partie situé e en Asie de la Fé dé ration de Russie, c’est une immense ré gion d'une surface de 13, 1 millions de km² trè s peu peuplé e en moyenne environ 3 habitants au km².

 

la Sibé rie repré sente 77 % de la surface de la Russie, et se caracté rise par un climat froid et continental, et un paysage au relief modé ré sillonné par d'é normes fleuves. Le ré gime sovié tique a dé marré au XXe siè cle l'extraction miniè re, gaziè re et pé troliè re dans cette ré gion.

C’est dans cette ré gion que se trouve le lac Baï kal, haut lieu d’apparitions ovnis aquatiques et aé riens. Le lac Baï kal est situé dans le sud de la Sibé rie, et il repré sente la plus grande ré serve d'eau douce liquide de la surface au monde (environ 23 500 km3). Sa transparence est unique et la visibilité parfaite jusqu'à 40 mè tres de profondeur.

 

Il mé rite d’ê tre connu car orienté du SSO au NNE, il s'é tend sur une longueur de 636 km avec une largeur variant de 24 km à 79 km et une superficie de 31 500 km2, ce qui en fait le 6e lac au monde. C'est é galement le lac le plus profond du monde jusqu'à 1 637 m d'é paisseur d'eau, reposant sur 7 000 mè tres de sé diments.

 

Son volume d'eau (environ 23 500 km3) repré sente environ 260 fois celui du lac Lé man, soit autant que la mer Baltique ou que les cinq grands lacs nord-amé ricains (lac Supé rieur, lac Michigan, lac Huron, lac Erié, lac Ontario) ré unis. Il repré sente 14 % du volume mondial d'eau douce contenue dans les lacs et les riviè res.

 

Mais il renferme bien d’autres mystè res et secrets, à voir en fin de sujet…

 

Mais que se passe t’-il en Sibé rie depuis peu?

En avril dernier, des centaines de feux de prairies et de forê ts ont é té recensé s dans plusieurs ré gions de l'est de la Russie en quelques jours. Plus de 2 000 maisons brû lé es, des milliers de tê tes de bé tail tué es, 20 000 personnes affecté es: les incendies ont ravagé des milliers de kilomè tres carré s en Sibé rie.

 

Officiellement, à l'origine de ces incendies, selon le ministre: les agriculteurs locaux ayant fait brû ler de l'herbe sè che malgré des tempé ratures é levé es et des vents forts!

Qui peut croire cela? pas moi en tous les cas!

Moins dramatique, mais presque plus inquié tant par contre, des cratè res gé ants continuent d'apparaî tre en Sibé rie!

 

On s'en souvient, deux é tonnants cratè res ont é té dé couverts en juillet 2014 dans la pé ninsule de Yamal (Sibé rie). Depuis cette dé couverte, plusieurs autres cratè res, de toutes tailles, y ont é té repé ré s par des scientifiques russes. Une information ré vé lé e par le Siberian Times.

 

Au total, sept cratè res de ce type ont é té pour l'instant dé tecté s dans cette ré gion: cinq sont situé s sur la pé ninsule de Yamal, un dans le district autonome de Yamal, et le dernier dans le nord de la ré gion de Krasnoyarsk, prè s de la pé ninsule de Taimyr.

 

Selon le scientifique russe VasilyBogoyavlensky (directeur de l'institut russe Oil and GasResearch, membre de l'Acadé mie des Sciences de Russie) qui s'est penché sur le phé nomè ne, des dizaines d'autres cratè res de ce type sont probablement pré sents dans cette ré gion: " Je comparerai cela à des champignons: lorsque vous trouvez un champignon, vous ê tes certains d'en trouver plusieurs autres dans les environs. Je pense qu'il pourrait y avoir 20 à 30 cratè res de ce type", a-t-il indiqué au Siberian Times.

L'un de ces cratè res, baptisé B2, a particuliè rement retenu l'attention des scientifiques. Situé à 10 kilomè tres du site de Bovanenkovo, un puits de gaz opé ré par Gazprom, ce cratè re dé sormais empli d'eau est entouré de vingt petits cratè re: " En é tudiant les images satellites, nous avons dé couvert qu'il n'y avait initialement aucun cratè re, ni lac. Puis des cratè res sont apparus, de plus en plus. Il est probable que ces cratè res, empli d'eau, fusionneront pour former un lac de 50 à 100 mè tres de diamè tre", pré cise VasilyBogoyavlensk.

 

 

L'exploration de ces cratè res est rendue difficile du fait des dé gagements de gaz qui semblent s'y produire ré guliè rement: " Ces objets doivent ê tre é tudié s, mais c'est dangereux pour les scientifiques. Nous savons que des é missions de gaz peuvent s'y produire sur de longues pé riodes de temps, mais nous ne savons pas quand elles peuvent survenir", explique VasilyBogoyavlensky.

 

 

Quel est le phé nomè ne à l'origine de ces cratè res? Pour l'instant, le mystè re demeure. La principale hypothè se avance qu'ils sont causé s par des dé gagements de gaz souterrains (du mé thane, notamment). Un phé nomè ne qui pourrait ê tre corré lé au ré chauffement climatique, ainsi qu'à des phé nomè nes sismiques.

Tout le monde se souvient encore j’imagine du 15 fé vrier 2013 ( lendemain de la Saint Valentin ) du fameux mé té ore de Tcheliabinsk…

 

 

Vers 9 h 20 (heure locale), un bolide (mé té ore de grande taille) d’un diamè tre compris entre 15 et 17 mè tres et d’une masse comprise entre 7 000 et 10 000 tonnes est entré dans l’atmosphè re terrestre au-dessus de la Sibé rie à une vitesse estimé e à 20 km/s.

 

 

Son angle d'entré e dans l'atmosphè re é tait proche de l’horizontale (environ 20°) et il a traversé celle-ci d’est en ouest durant 32, 5 secondes en parcourant plusieurs milliers de kilomè tres. Il s’est fragmenté en plusieurs morceaux à une altitude comprise entre 15 et 25 km. Des stations de mesures d’infrasons situé es à plusieurs endroits sur la planè te ont permis d’estimer l’é nergie totale dé gagé e du bolide à environ 500 kilotonnes de TNT soit l’é quivalent de 30 fois la puissance de la bombe atomique de Hiroshima.

 

 

Trois explosions ont é té entendues, la premiè re é tant la plus importante. Les ondes de choc cré é es par l’explosion du bolide en altitude, en se propageant, ont provoqué des dé gâ ts dans la ville de Tcheliabinsk, situé e dans l’Oural, en Russie. Les fragments du bolide n’ont, semble-t-il, occasionné aucun dé gâ t et se sont é crasé s à plusieurs dizaines de kilomè tres au sud-ouest de cette ville.

 

 

Ci-dessous: Traî né e laissé e par le bolide, vue depuis Tcheliabinsk, regardant vers le sud.

En 2012 cette fois, souvenons-nous du mystè re de l'é trange fragment mé tallique tombé en Sibé rie…

 

Des experts de l’agence spatiale russe Roskosmos ont examiné de prè s l’objet de 200 kilogrammes et de deux mè tres de haut qui est tombé du ciel en Sibé rie. Pour l’heure, son origine reste inconnue.

Alors certes, cela semble bien humain, sauf que les experts russes de l’agence spatiale Roskosmos ont essayé s de ré pondre pendant plusieurs semaines sans pour autant y parvenir. D'une hauteur de 2 mè tres, le fameux objet ressemble à un cylindre dé coupé avec un fond en forme de cô ne.

 

Les premiè res conclusions permettent simplement d’affirmer qu’il ne provient ni d’une fusé e ni d’un missile. Les thé ories initiales selon lesquelles il s’agissait d’un morceau de satellite ou de vaisseau lancé depuis le Kazakhstan ont é galement é té invalidé es. De mê me, les mesures de radiations effectué es n’ont donné aucun ré sultat aussi bien autour qu’à l’inté rieur de l’objet, selon Yuri Bornyakov, à la tê te du dé partement de service des secours du district de Kuibyshevski cité par le Daily Mail.

 

De son cô té, Roskosmos a indiqué : " l'objet dé couvert n'est pas lié à une technologie spatiale. Cette conclusion finale peut ê tre faite aprè s une é tude dé taillé e de l'objet par des experts". On ne sait donc finalement que peu de choses pour l’heure, seulement qu’il est partiellement composé d’un titane extrê mement solide. Les personnes qui l’ont dé couvert ont simplement constaté que tout é tait ouvert et qu'il é tait possible de voir à l'inté rieur, suggé rant ainsi qu'il ne semblait repré senter aucun danger.

 

Vous remarquez comme moi sans doute, que l’objet ne semble absolument pas abimé aprè s une chute venant du ciel!?

 

Plus loin dans le temps, mais bien plus mysté rieux, rappelons-nous en Janvier 1959. Dix é tudiants de l'é cole polytechnique de Sverdlovsk se lancent dans une expé dition à ski dans le nord sibé rien.

 

Destination finale: le mont Otorten, surnommé la montagne morte. Malade à mi-pé riple, l'un des participants fait demi-tour. Les neuf autres ne rentreront jamais…

 

Leurs cadavres sont dé couverts peu aprè s leur disparition, curieusement é parpillé s autour de l'ultime campement de fortune dressé à flanc de montagne. Conclusion de l'enquê te officielle: dé cè s dus à « une force supé rieure inconnue ».

 

Les é lé ments troublants ne manquent pas: les corps sont retrouvé s quasi nus à mê me la neige et pré sentent une curieuse couleur brunâ tre. Les autopsies ré vè lent six dé cè s par hypothermie, tandis que trois é tudiants ont succombé à des coups violents, l'un d'eux ayant par ailleurs la langue sectionné e.

 

Dans la foulé e, un expert dé tecte la pré sence de substance radioactive sur certains vê tements. La tente du campement, que les neuf compagnons n'auraient jamais dû quitter vu la rigueur de l'hiver sibé rien, est fendue de l'inté rieur. Pour rajouter au mystè re, les autorité s russes interdisent l'accè s au site durant trois ans!

Plus loin encore dans le temps, souvenons-nous de ce moine sibé rien dé cé dé en 1928, et pourtant, sa dé pouille est aujourd'hui encore intacte, comme si le temps n'avait pas eu d'emprise sur elle.

 

Plus loin, mais sans doute le phé nomè ne le plus é trange de tous, souvenons-nous de l’é vé nement de la Toungouska, cette fantastique explosion survenue le 30 juin 1908 à 7 h 13 du matin en Sibé rie centrale. L'onde de choc, é quivalant à plusieurs centaines de fois celle qu’a gé né ré e la bombe d'Hiroshima 37 ans plus tard, a dé truit la forê t sur un rayon de 20 kilomè tres et fait des dé gâ ts jusqu'à une centaine de kilomè tres.

Situation et zones d'impact de la Toungouska. Zone 1 (R=20 km): forê t dé truite (rouge) Zone 2 (R=100 km): dé gâ ts, brû lures, morts d'animaux (orange) Zone 3 (R=1500 km): bruit de l'explosion (dé gradé bleu)

 

Mais bien plus encore, voir en fin de sujet les articles lié s.

 

 

J’aimerai conclure ce sujet sur le basculement des pô les magné tique tout de mê me, avec un é vè nement des plus é tranges, qui s’est passé l’anné e derniè re, tout prè s de cette ré gion, et qui n’a pas fait grand bruit, mais dont surtout nous n’avons plus aucune nouvelle, et dont on ne nous parle plus du tout?!

Alors qu'il passait au-dessus du Kamtchatka, en Extrê me-Orient russe, un pilote d'avion né erlandais a é té surpris par une vague de lumiè res rouges incandescentes provenant de l'océ an Pacifique. Le té moin de la scè ne, JPC van Heijst, et son copilote effectuaient à ce moment là le vol de Hong Kong à Anchorage, en Alaska, à bord de leur Boeing 747.

 

 

Selon le té moignage et les images rapporté es, la surface de l'océ an se serait illuminé e tel un brasier. L'é trange é vé nement est advenu environ vingt minutes aprè s qu'une sorte d'é clair se soit manifesté, semblant sortir verticalement de la surface de l'eau. " Je pense qu'il s'agissait d'une sorte d'aurore polaire mais plus dispersé, je n'avais jamais rien vu de tel avant", é crit JPC van Heijst sur son site.

 

 

" Environ 20 minutes aprè s, j'ai observé une lumiè re rouge orangé intense apparaitre devant nous, et c'é tait un peu é trange parce qu'il é tait censé ne rien y avoir excepté de l'océ an à perte de vue en dessous de nous", poursuit-il. Les lueurs semblaient se situer proche de l'océ an voire venir des profondeurs. Et plus l'avion s'en approchait, plus la lumiè re é tait intense.

 

 

Pour le moment, la nature de ce phé nomè ne iné dit reste encore un mystè re, ce qui a sans surprise, suscité de nombreuses thé ories, y compris certaines é voquant un phé nomè ne d'origine extraterrestre.

 

 

Enfin, et j’en termine la, remarquez comme les installations HAARP & Co visant à modifier, et ‘’jouer’’ avec la ionosphè re par hautes fré quences et avec modulation du signal sont toutes ou presque, placé e prè s des ré gions polaires et é quatoriales, pourquoi?

Parce qu’à proximité des ré gions polaires et é quatoriales existent des courants é lectriques naturels nommé s é lectrojets. La modification de la conductivité é lectrique de la ionosphè re par HAARP & Co permet d'agir sur l'é lectrojet polaire, permettant de s'en servir pour la gé né ration d'ondes ELF.

 

Aprè s cela on s’é tonne de tous ces é tranges phé nomè nes qui ont court proche du pô le Nord et en Sibé rie?! Preuve en est, que l’homme joue à l' apprenti sorcier, et qu’il ne maitrise absolument l’aprè s ‘’expé rience’’ au risque de dé ré gler complé tement les cycles naturels, les courant naturels, la ionosphè re, l’atmosphè re etc etc…

 

Sujets lié s:

 

Tous les sujets sur: Toungouska

 

Tous les sujets sur: H. A. A. R. P

 

Tous les sujets sur les Pô les

 

Des cercles gé ant dans le plus profond lac du monde…?

 



  

© helpiks.su При использовании или копировании материалов прямая ссылка на сайт обязательна.