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Questions sur le taux de mortalité



Il est important d’avoir une perspective sur les dé cè s apparents qui sont manifestement dus au COVID-19. Ici, les faits deviennent trè s impré cis.

Au 3 mars 2020, selon le directeur gé né ral de l’OMS, TedrosAdhanom, on comptait dans le monde 90 893 cas de COVID-19, dont 3 110 ont entraî né la mort. Il a ensuite parlé d’un taux de mortalité de 3, 4 %, un chiffre trè s contesté par d’autres experts de la santé. M. Tedros a dé claré : « Au niveau mondial, environ 3, 4 % des cas de COVID-19 signalé s sont morts. En comparaison, la grippe saisonniè re tue gé né ralement bien moins de 1 % des personnes infecté es. »

Le problè me est que personne ne peut dire avec pré cision quel est le vé ritable taux de mortalité. C’est parce que, globalement, nous n’avons pas testé tous ceux qui pourraient avoir des cas bé nins de ce virus et que la pré cision de ces tests est tout sauf certaine à 100 %. Mais une dé claration sur un taux de mortalité plus de trois fois supé rieur à celui de la grippe saisonniè re est un vé ritable facteur de panique si elle est vraie.

La ré alité est trè s probablement une mortalité ré elle beaucoup plus faible selon les experts en é pidé mies. « Nous ne signalons pas tous les cas », dé clare le professeur John Edmunds du Centre pour la modé lisation mathé matique des maladies infectieuses de la London School of Hygiene& Tropical Medicine. « En fait, nous ne signalons gé né ralement qu’une petite partie d’entre eux. S’il y a beaucoup plus de cas en ré alité, alors le taux de lé talité sera plus faible ». Edmunds a poursuivi en disant: « Ce que vous pouvez dire sans risque […] est que si vous divisez le nombre de dé cè s signalé s par le nombre de cas signalé s [pour obtenir le taux de mortalité ], vous obtiendrez presque certainement la mauvaise ré ponse ». L’OMS, sous la direction de Tedros, semble pé cher par excè s de panique.

L’OMS et les CDC amé ricains ont modifié il y a quelques anné es la dé finition des dé cè s dus à la grippe saisonniè re pour la remplacer par « dé cè s dus à la grippe ou à la pneumonie ». Les CDC ne calculent qu’un nombre approximatif de dé cè s dus à la grippe en totalisant les certificats de dé cè s traité s qui mentionnent « la pneumonie ou la grippe » comme cause sous-jacente ou contributive du dé cè s. Les CDC estiment à 45 millions le nombre de cas de grippe et à 61 000 le nombre de dé cè s « associé s à la grippe » en 2017-2018, saison de la grippe aux É tats-Unis. On ne sait pas exactement combien de personnes â gé es é taient atteintes de pneumonie ou d’autres maladies pulmonaires. Naturellement, ces chiffres contribuent à ré pandre la peur et à vendre des vaccins contre la grippe saisonniè re dont l’effet positif est tout sauf prouvé. Dans le monde entier, les CDC ont estimé dans une é tude en 2017 que « entre 291 000 et 646 000 personnes dans le monde meurent chaque anné e de maladies respiratoires lié es à la grippe saisonniè re ».

Rien qu’en Chine, on estime à environ 300 000 le nombre de dé cè s lié s à la grippe saisonniè re (y compris la pneumonie) en 2018. Il faut noter que 3 000 dé cè s attribué s au coronaire, aussi tragique soit-il, ne repré sentent que 1 % des dé cè s annuels « normaux » dus à des maladies pulmonaires en Chine, et en raison de la comptabilité mixte ou changeante de la Chine, on ne sait pas clairement combien de ces 3 000 dé cè s sont mê me dus à la pneumonie saisonniè re. Mais en raison de vidé os dramatiques, non vé rifiables, de personnes qui seraient mortes dans les rues de Chine, sans aucune preuve, ou d’hô pitaux de Wuhan remplis dans les couloirs de sacs mortuaires apparemment remplis de morts de COVID-19, une grande partie du monde est, à juste titre, inquiè te de cet é trange envahisseur exogè ne.

Au milieu de ce qui est clairement une confusion parmi de nombreux responsables de la santé bien intentionné s et d’un opportunisme probable de la part des fabricants de vaccins occidentaux comme GlaxoSmithKline ou Gilead et d’autres, notre monde est transformé à une vitesse alarmante que nous n’aurions pas pu imaginer il y a quelques mois à peine.

« Lock Step »

Quoi qu’il se soit passé en Chine à ce stade, il est presque impossible de le dire en raison des ré actions contradictoires des autorité s de Pé kin et de plusieurs changements dans la faç on de compter les cas COVID-19. La question est maintenant de savoir comment les autorité s occidentales compé tentes vont utiliser cette crise. Il est utile ici de revenir sur un rapport trè s pertinent publié il y a dix ans par la Fondation Rockefeller, l’un des principaux bailleurs de fonds de l’eugé nisme dans le monde, et cré ateur d’OGM entre autres.

Le rapport en question porte le titre fade de « Scé narios pour l’avenir de la technologie et du dé veloppement international ». Il a é té publié en mai 2010 en coopé ration avec le Global Business Network du futurologue Peter Schwartz. Le rapport contient diffé rents scé narios futuristes dé veloppé s par Schwartz et son entreprise. L’un des scé narios porte le titre intriguant de « LOCK STEP: Un monde où le contrô le gouvernemental est plus strict et le leadership plus autoritaire, où l’innovation est limité e et où les citoyens sont de plus en plus ré primé s ». Ici, cela devient inté ressant comme dans ce que certains appellent la programmation pré dictive.

Selon le scé nario Schwartz, « En 2012, la pandé mie que le monde avait anticipé e pendant des anné es a finalement frappé. Contrairement à la grippe H1N1 de 2009, cette nouvelle souche de grippe – provenant des oies sauvages – é tait extrê mement virulente et mortelle. Mê me les nations les mieux pré paré es à la pandé mie ont é té rapidement dé passé es lorsque le virus a fait son apparition dans le monde entier, infectant prè s de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en sept mois seulement… ». Il poursuit: « La pandé mie a é galement eu un effet mortel sur les é conomies: la mobilité internationale des personnes et des biens s’est arrê té e, ce qui a affaibli des industries comme le tourisme et brisé les chaî nes d’approvisionnement mondiales. Mê me localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement trè s fré quenté s sont resté s vides pendant des mois, sans employé s ni clients ». Cela me semble é trangement familier.

Puis le scé nario devient trè s inté ressant: « Pendant la pandé mie, les dirigeants nationaux du monde entier ont flé chi leur autorité et imposé des rè gles et des restrictions hermé tiques, allant du port obligatoire de masques faciaux à la vé rification de la tempé rature corporelle à l’entré e des espaces communs comme les gares et les supermarché s. Mê me aprè s l’atté nuation de la pandé mie, ce contrô le et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activité s se sont maintenus et mê me intensifié s. Afin de se proté ger contre la propagation de problè mes de plus en plus globaux – des pandé mies et du terrorisme transnational aux crises environnementales et à l’augmentation de la pauvreté – les dirigeants du monde entier ont pris une main plus ferme sur le pouvoir. »

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