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«La famille a quitté la ferme." Au cours de l'hiver 1930, un incident profondé ment troublant a eu lieu au Canada. Le trappeur Arnaud Lauret et son fils ont observé une é trange lumiè re traversant le ciel nordique. Elle semblait se diriger vers la ré gion du lac Anjikuni. Les deux trappeurs l'ont dé crite comme é tant alternativement une balle. en forme et en forme de cylindre... «Un autre trappeur du nom de Joe LaBelle s'é tait rendu à la raquette dans le village des habitants du lac Anjikuni et avait é té effrayé de dé couvrir que la communauté normalement animé e é tait silencieuse et qu'aucune â me ne bougeait dans les rues. Mê me les chiens de traî neau, qui auraient normalement hurlé bienvenue, se taisent, les baraques é taient é touffé es par la neige et pas une cheminé e ne montrait de fumé e. «Le trappeur a trouvé les kayaks du village attaché s au bord du lac. A l'inté rieur des cabanes, le trappeur a trouvé une autre surprise: il y avait des repas laissé s en suspens au-dessus des feux, vieux et moisis, apparemment abandonné s pendant la cuisson. Les hommes des fusils se tenaient toujours prè s des portes, ce qui effraya vraiment le trappeur, car il savait que ces gens ne laisseraient JAMAIS leurs pré cieuses armes derriè re eux. Il a rapporté sa dé couverte à la Gendarmerie royale du Canada, qui a enquê té plus avant. Ils ont dé couvert que les chiens de la ville mouraient de faim, enchaî né s sous un arbre et couverts par une neige. Plus inquié tant encore, le cimetiè re de la ville avait é té vidé. des fosses bâ illantes. Malgré le sol gelé, les tombes avaient é té ouvertes et les morts enlevé s... " Whitley Strieber, qui pré tend avoir eu plusieurs expé riences de type enlè vement depuis son plus jeune â ge impliquant diffé rents types d'ê tres - à la fois apparemment physiques et paraphysiaux - ne tient pas à l'idé e que ces cré atures sont originaires de l'espace lointain. Il croit que certains d'entre eux PEUVENT provenir des ré gions infé rieures de la terre, et peuvent avoir é té ici depuis des millé naires, faisant partie d'une ancienne conspiration visant à contrô ler ou à manipuler occultiquement la race humaine. Il ne sait pas exactement quelles é taient les cré atures derriè re ses enlè vements, mais il a suggé ré que les anciens «é lé mentaux» (tombé s? ) Pourraient ê tre impliqué s. Strieber avait ses propres commentaires concernant l'é trange enlè vement massif prè s de la ré gion du lac Anjikuni. Dans son livre `` MAJESTIC '', il a dé claré: " La GRC poursuit le dossier ouvert à ce jour. Une vé rification auprè s du service des archives a indiqué que la question reste non ré solue, et malgré une recherche dans tout le Canada et des enquê tes dans le monde entier, pas une seule trace des DOUZE HOMMES MANQUANTS, DES FEMMES ET DES ENFANTS n'ont jamais é té retrouvé s. " Strieber a raconté encore un autre incident dans ce mê me livre, d'un mysté rieux enlè vement (apparemment) dans des ré gions souterraines: "... Le premier cas de disparition apparemment lié de l'histoire des É tats-Unis (c'est-à -dire" lié " à des cas é voqué s par Strieber plus tô t dans son livre, concernant des personnes qui auraient é té poursuivies par des objets inconnus et qui ont subi des enlè vements à PROXIMITÉ mais qui ont ré ussi à s'é chapper - - et d'autres qui ont é té capturé s à la vue des té moins et qui n'ont jamais é té revus - Branton)... ont eu lieu le 23 septembre 1880 prè s de la ville de Gallatin, Tennessee. Vers 15 h 30 cet aprè s-midi ensoleillé, M. David Lang, un agriculteur, dé maté rialisé devant cinq té moins, dont sa femme, ses deux enfants, son beau-pè re et un juge local. " Le beau-pè re et le juge venaient de s'arrê ter dans une voiture. M. Lang s'est dirigé vers eux à travers un champ suivi de sa famille. Sans avertissement, il a tout simplement cessé d'exister. Il n'y a eu aucun cri, aucun signe de dé tresse. . Mme Lang, dé semparé e, s'est pré cipité e et a pilonné le sol où il avait marché. Tout cet aprè s-midi, et dans la nuit, le champ a é té fouillé. Par la suite, l'arpenteur du comté a dé terminé qu'il n'y avait pas de grottes ou de dolines caché es dans disparition. «En avril suivant, sept mois plus tard», é crit Streiber, «les enfants ont entendu leur pè re pleurer de loin SOUS le champ. Il semblait dé sespé ré et torturé, et implorait de l'aide. Sa voix s'est progressivement é teinte et n'a plus é té entendue. a é té vu pour la derniè re fois, il y avait un cercle d'herbe jaune flé tri de vingt pieds de diamè tre. «La famille a quitté la ferme.
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