Хелпикс

Главная

Контакты

Случайная статья





Alors l'impératif arithmétique pour le vaccin anticovid des ados du Pr Fischer fait grincer des dents



Dans aucun des grands pays dé mocratiques occidentaux, la couverture vaccinale anticovid partielle (au moins une dose) n'a dé passé les 64 %, mê me lorsqu'une propagande mensongè re intense, associé e à une censure fé roce des opposants et des menaces d'obligation ou de pass vaccinaux ont é té utilisé es (comme en Israë l et en Grande-Bretagne).

Au 14 juin 2021, le pourcentage de vacciné s (à au moins une dose) n'atteint que 64 % au Canada, 62 % en Israë l et en Grande-Bretagne et ne progresse plus guè re. De plus, ces chiffres ne concernant que ceux qui ont reç u une dose, les vacciné s complets (à deux doses) sont partout infé rieurs à 50 %.

Dans ces pays, les moins de 18 ans repré sentent moins de 25 % de la population et ceux de 12 à 18 ans environ 8 % de la population globale. Comme il est totalement illusoire d'espé rer vacciner plus d'un tiers d'entre eux, leur vaccination augmenterait de moins de 3 % la couverture vaccinale globale dans la population, restant bien loin des 90 % considé ré s comme né cessaires, d'aprè s les laudateurs de la pré tendue immunité vaccinale de groupe.

Monsieur Fischer, brillant professeur, ne saurait-il plus compter? Ou bien cette apparente aberration arithmé tique, qui met en colè re les vrais mathé maticiens qui se sentent manipulé s, ne constitue-t-elle qu'un argument de propagande vaccinale marchande de plus? Pourquoi ce choix de dé cevoir tant de ses admirateurs?

Aberration mé dicale ou manipulation: proposer la vaccination aux ados comme antidé presseur!

Dans cette interview, le professeur Fischer, aprè s avoir reconnu que les mineurs « n'ont qu'un risque sanitaire minime face au Covid-19 » et que « l'idé e de vacciner les ados à la place des adultes ré ticents est é thiquement inacceptable », pré tend aussi qu'ils pourraient

« tirer un bé né fice individuel au sens social et psychologique », car « ils paient un trop lourd tribut à la pandé mie avec des dé crochages scolaires et des impacts psychologiques trè s lourds pour les jeunes privé s de collè ge ou de lycé e, car la vaccination va ré duire le risque de fermeture d'é tablissements à la rentré e ».

Son aplomb n'est pas digne de sa ré putation et de son passé et rappelle plutô t celui de racketteurs ou de violeurs qui expliquent à leur victime qu'elles ne seront pas battues si elles se plient à leurs exigences. Le covid et sa gestion depuis 18 mois rend fous trop de compatriotes. Il faut en sortir.

Les troubles psychiques considé rables [7] et le massacre é ducatif, sportif et social dont souffrent actuellement les jeunes ne sont absolument pas dus au covid qui ne les a quasiment pas atteints, mais uniquement aux mesures sanitaires inutiles coercitives et humiliantes dont ils ont é té victimes. [8]

Pour faire disparaî tre ces complications, il suffirait de reconnaî tre que l'é pidé mie est quasiment finie en France[9], que les jeunes n'en ont jamais é té responsables[10]et de supprimer immé diatement toutes les mesures dictatoriales, sans aucun fondement scientifique, qui leur nuisent gravement.

Une affirmation contraire à la vé rité scientifique

Dans son interview, Monsieur Fischer affirme: « on sait que les ados participent autant que les adultes à la circulation du virus, donc il faut y aller ». Cette affirmation est totalement contraire aux donné es actuelles de la science.

En effet, toutes les é tudes é pidé miologiques publié es depuis 18 mois montrent que les enfants ne participent pas à la transmission virale. De mê me la persistance ou la reprise des activité s scolaires ne se sont accompagné es nulle part d'une reprise de l'é pidé mie. Aprè s 18 mois d'é pidé mie et plus de 175 millions d'infecté s, aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n'a pu ê tre formellement dé montré selon l'analyse des publications PubMed internationales (plus de onze mille sur covid et enfant).

Les enquê tes sur les cas identifié s en milieu scolaire suggè rent que la transmission d'enfant à enfant à l'é cole est rarissime (si elle existe)[11][12]

Plus de 20 é tudes é pidé miologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâ trement des contaminations à partir d'enfants de moins de 18 ans: aucune n'a pu mettre en é vidence un seul exemple ré ellement probant.

  • L'é tude de l'INSERM[13] est trè s dé monstrative. L'enfant des Contamines a é té en contact, alors qu'il é tait malade, avec 172 personnes, dont 112 é lè ves et professeurs dans trois é coles et un ski-club. Il n'a contaminé personne, mê me pas les deux autres enfants de sa fratrie.
  • L'é tude de l'institut Pasteur[14] sur les é coles primaires de Cré py-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infecté es (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 é lè ves de six é coles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois é tablissements diffé rents qui é taient infecté s au moment où les é coles é taient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n'a contaminé quiconque, qu'il s'agisse d'autres é lè ves ou d'adultes.
  • L'é tude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thé rapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-pré sident de la Socié té franç aise de pé diatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l'â ge de 15 ans permet de conclure que: « sans histoire de Covid parental, l'enfant n'a rien. »[15]
  • Aux Pays-Bas, [16] les enfants â gé s de 0 à 17 ans ne repré sentent que 1, 3 % de tous les patients dé claré s avec COVID-19, bien qu'ils repré sentent 20, 7 % de la population. Seulement 0, 6 % des hospitalisations signalé es concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n'y a pas de rapport d'enfants dé cé dé s du COVID-19. Une é tude des mé nages aux Pays-Bas a rapporté des donné es sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les ré sultats pré liminaires ont montré que rien n'indique que les enfants de moins de 12 ans aient é té les premiers infecté s de la famille.
  • En Irlande, [17] avant la fermeture des é coles, aucun cas de contamination scolaire n'a é té dé tecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infecté s (trois enfants, trois adultes).
  • En Australie, [18] 9 é lè ves et 9 membres du personnel infecté s par le SRAS-CoV-2 dans 15 é coles ont eu des contacts é troits avec un total de 735 é lè ves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont é té identifié es, aucune chez le personnel adulte. 1 é lè ve du primaire a é té potentiellement infecté par un membre du personnel. Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance
  • En Suisse[19]: sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 é taient â gé s de moins de 16 ans (0, 9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants é tudié s, les mè res pré dominaient (n = 39), suivies des pè res (n = 32), des frè res et sœ urs pé diatriques (n = 23), des frè res et sœ urs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
  • En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l'é cole durant sa maladie a é té en contact avec 121 personnes et n'en a contaminé aucune.
  • En Grè ce, l'analyse é pidé miologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n'a retrouvé aucun cas de transmission à partir d'un enfant.

En Israë l, une poussé e de covid est apparue dix jours aprè s la ré ouverture des é coles et des université s. Le rô le d'un employé super contaminateur a é té clairement mis en é vidence, mais aucun cas de contamination certaine à partir d'un enfant n'a é té é tabli.

Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pé diatrique amé ricaine[20]:

« dans la transmission du COVID-19, l'enfant n'est pas à blâ mer. »

Les conclusions du centre europé en de contrô le des maladies infectieuses sont é galement claires:

« les preuves issues de la recherche des contacts dans les é coles et les donné es d'observation d'un certain nombre de pays de l'UE montrent que la ré ouverture des é coles n'a pas é té associé e à une augmentation de la transmission communautaire.

« Les donné es disponibles indiquent é galement que les fermetures d'é tablissements de garde d'enfants et d'enseignement ne constituent pas une mesure de contrô le efficace pour la transmission communautaire du COVID-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplé mentaire significative de la santé des enfants, car la plupart dé veloppent une forme trè s lé gè re COVID-19. »

Ceux qui culpabilisent les enfants en les accusant de transmettre le virus[21] ne citent que de vagues é tudes de laboratoire, ou des simulations reposant sur des hypothè ses fausses, ou la dé couverte de foyers scolaires dus aux adultes à leur contact, mais jamais d'é tudes é pidé miologiques sé rieuses dans le monde ré el.

La mé decine, c'est d'abord la clinique et ceux qui ont osé accuser les enfants de risquer de tuer leurs grands-parents à travers des clips té lé visé s é motionnels, sans aucune preuve scientifique de ces accusations, seront à l'origine de multiples dé gâ ts à court, moyen, voire long terme, et en particulier des é pidé mies de suicide, y compris chez les trè s jeunes enfants. Le journal Bild allemand, un des plus grands en Allemagne vient de s'excuser auprè s de la population des mensonges diffusé s à la demande du gouvernement et en particulier de la maltraitance des enfants.

Stupidité mé dicale: dans le monde ré el, les vaccins covid actuels sont incapables d'assurer une immunité de groupe

Les avocats de la vaccination pré tendent qu'il serait né cessaire d'atteindre le plus haut taux de vaccination (70 %-90 %) pour stopper l'é pidé mie.

Mais cette fausse affirmation ne repose, une fois de plus, que sur des simulations mathé matiques qui se sont trè s lourdement trompé es tout au long de cette crise sanitaire.

Dans la vie ré elle, tous les pays qui ont atteint de trè s hauts pourcentages de vaccination anti Covid, loin d'ê tre proté gé s, sont ceux qui souffrent des plus hauts taux de propagation du virus et de mortalité pendant au moins 6 à 12 semaines. Rappelons quelques exemples à l'aide des courbes officielles de l'OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Gibraltar (34 000 habitants)

Dans ce micro-É tat la vaccination de la totalité de la population a é té suivie d'une multiplication par 4 des contaminations et par 19 de la mortalité (de 10 à 95)

Les Seychelles sont un petit pays d'environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Elles avaient é té relativement é pargné es par l'é pidé mie et ne comptaient, aprè s 9 mois d'é pidé mie, que 502 cas confirmé s et un dé cè s. La vaccination a commencé dé but janvier 2021 et aprè s l'injection de prè s de 140 millions de doses, le taux de couverture vaccinal global dé passe les 70 % et approche les 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois aprè s le dé but de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmé s (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus é levé qu'avant vaccination. Et les Seychelles ont depuis la vaccination subi un confinement.

Une poussé e post vaccinale de nouvelles contaminations comparable a é té observé e sur l' Î le de Man

Et de pareilles é volutions post vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays.

L'exemple dé monstratif de la Grande-Bretagne

Ce pays est partout cité comme exemple de l'efficacité de la vaccination par les mé dias et son gouvernement qui ne parlent jamais ni de l'hé catombe post vaccinale pré coce qui a suivi les vaccinations ni des ré sultats globaux attesté s par l'OMS et trè s peu de la reprise actuelle de l'é pidé mie que la vaccination é tait censé e empê cher. Examinons les faits, les chiffres officiels de l'OMS.

La Grande-Bretagne est le champion europé en de la vaccination. La campagne de vaccination a commencé le 8 dé cembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, un mois aprè s la vaccination, les mois de janvier et fé vrier 2021 ont é tabli les records de mortalité mensuelle totalisant à eux seuls prè s du quart de la mortalité britannique attribué e au Covid depuis le dé but de l'é pidé mie.

Aprè s cette hé catombe post vaccinale, les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais se sont flatté s du faible taux de contamination qui a suivi en mê me temps que l'é pidé mie ré gressait é galement en Europe (-85 % depuis avril 2021) dans les pays vacciné s comme dans les pays trè s peu vacciné s.

Mais depuis mai 2021, malgré son taux record de vacciné s, une augmentation des contaminations journaliè res (+ 300 %) est observé e en Grande-Bretagne prouvant qu'un trè s haut taux de couverture vaccinale ne protè ge pas la population de l'é pidé mie.

Le 18 juin 2021 la Grande-Bretagne trè s vacciné e comptait 10 809 nouvelles contaminations quotidiennes, soit quatre fois plus qu'en France (2775) deux fois moins vacciné e.

Heureusement, l'é pidé mie disparaî t de France depuis avril, bien avant qu'un hypothé tique effet de la vaccination puisse l'expliquer.



  

© helpiks.su При использовании или копировании материалов прямая ссылка на сайт обязательна.