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Faut-il fuir les vaccinés ?



14 mai 2021 | Caté gorie: Actualité s, Tribune

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Fuir les vaccins, c’est un conseil que la revue Né osanté prodigue depuis sa cré ation il y a 10 ans. Parfois dangereux, souvent inefficaces et toujours inutiles, ces produits malsains n’ont rien à faire dans un corps humain puisque son terrain est tout. Un ê tre vivant n’est pas malade parce qu’il hé berge des microbes, il hé berge des microbes parce qu’il est dé jà malade. Or les vaccins eux-mê mes peuvent rendre malades! Dè s le dé but de la crise sanitaire, nous avons é té les premiers à souligner que la grippe covid sé vissait principalement là où la grippe classique et quelques cas de mé ningite avaient fait l’objet de grandes campagnes vaccinales, notamment en Lombardie et à Madrid. Et dans notre numé ro de Janvier 2021, nous avons é tayé notre suspicion envers la vaccination antigrippale en montrant que cette derniè re é tait clairement corré lé e aux flambé es coronavirales. Entretemps et par la suite, nous avons donné la parole à des scientifiques expliquant comment l’immunisation artificielle pouvait perturber l’immunité naturelle des individus et semer la pagaille dans le microcosme qui les entoure. Les lecteurs de notre mensuel ont dé couvert les phé nomè nes de dé placement et de remplacement é pidé miques, les notions de « toxicité communautaire » ou de « pé ché antigé nique originel », et surtout l’existence des anticorps facilitant et aggravant les infections. Ceux-ci peuvent ê tre « dopé s » par les injections intempestives et c’est pourquoi le vaccin covid inquiè te tellement certains mé decins et chercheurs. Je pense, entre autres, à la microbiologiste irlandaise Dolorè s Cahill, à son homologue allemand Sucharit Bhakdi et à la gé né ticienne Alexandra Henrion-Caude. En plus d’alerter sur la gravité des effets secondaires immé diats et sur les dangers à long terme de la technologie à ARN messager, ces trois experts avertissent que les personnes vacciné es pourraient payer un lourd tribut dè s l’automne prochain, lorsqu’elles vont rencontrer un quelconque coronavirus « ancien ». Alexandra vient d’ailleurs de s’associer à un appel de 57 scientifiques et mé decins demandant l’arrê t immé diat de la campagne de vaccination en cours. La perspective d’une hé catombe automnale parmi les inoculé s n’est pas un scé nario né dans l’imagination de fadas du grand complot mais une hypothè se ré aliste formulé e par des savants de premier plan. Plus que jamais, j’invite ceux qui me lisent à se dé fier des vaccins en gé né ral et de ceux contre le covid en particulier.

Le scé nario qui monte

Maintenant, faut-il é galement se mé fier des vacciné s et fuir leur proximité ? Depuis deux semaines, la toile bruisse de rumeurs alarmistes et les mé dias sociaux ré sonnent de messages franchement catastrophistes: les personnes ayant reç u un des quatre vaccins autorisé s en Occident seraient contagieuses pour leurs proches et ceux-ci pourraient dé velopper des symptô mes. Pire: ils seraient à leur tour la proie des dé sormais cé lè bres « proté ines Spike » et ces derniè res auraient le pouvoir d’entraî ner les graves et spectaculaires troubles vasculaires caracté ristiques du covid sé vè re. Ce n’est pas un fantasme sorti de nulle part car les « mé decins de premiè re ligne » amé ricains (America’s Frontline Doctors) ont é voqué cette é ventualité dans un article paru le 26 avril. Selon leurs explications, les vaccins engendrent la production massive de proté ines Spike chez les receveurs et leur excré tion par la peau ou la salive serait à l’origine de transmissions par simple contact. Plus pathogè nes que le virus entier, ses picots proté iques auraient la proprié té de dé clencher des maladies auto-immunes (où le corps attaque ses propres tissus) chez certaines personnes. Dans le monde entier, on signale des cas de pé ricardites, de zonas, de pneumonies ou de thromboses chez des personnes non-vacciné es mais en relation é troite avec des personnes vacciné es. On rapporte surtout des cas de rè gles complè tement dé rè glé es, de saignements vaginaux abondants et de fausses couches. D’aprè s les é chos les plus pessimistes, les gens vacciné s deviendraient ainsi des « bombes biologiques » pour leur entourage et mê me pour ceux qui fré quentent leur entourage! Si vous n’avez pas encore é té alerté s par d’autres mé dias alternatifs, je vous invite à lire cet article qui ré sume bien la problé matique. Et si vous ne l’avez pas encore fait, je vous convie aussi à visionner la derniè re « Conversation du Lundi » posté e sur sa chaî ne privé e par Jean-Jacques Crè vecœ ur. Notre ancien collaborateur prend trè s au sé rieux ce scé nario é mergent et il a mis sous sa vidé o toutes les sources accré ditant la thè se des « vacciné s dangereux pour la santé ». Personnellement, je n’ai pas encore d’opinion tranché e sur le sujet mais j’é prouve des ré ticences à cé der à la psychose naissante. J’en é numè re quelques raisons dans la suite de mon billet.

Une é pine trè s anodine

D’abord, j’aimerais rappeler que la « fameuse proté ine Spike » n’est pas une redoutable et sanguinaire ennemie surgie en 2020 dans notre biotope. Nommé e aussi « spicule » ou « pé plomè re », cette mini-protubé rance pointue n’est nullement l’apanage du sars-cov-2. On la retrouve dans tous les types de coronavirus, et mê me dans une myriade d’autres virus impliqué s dans des banals syndromes grippaux. Il suffit d’ouvrir une page Wikipé dia pour constater que la terrifiante é pine est en ré alité trè s ordinaire, et d’ordinaire trè s anodine. Certaines formes de proté ines à piques sont mê me pré sentes dans le corps humain où elles participent aux processus enzymatiques. À l’instar du « nouveau » corona pré senté abusivement par le narratif officiel comme un assaillant sans pitié, sa partie é pineuse ne me semble pas mé riter un procè s en sorcellerie. À mes yeux, la spicule ne devrait pas susciter plus d’appré hension que son vé hicule viral. Est-ce que le nombre fait une diffé rence? Est-ce que les milliards de pé plomè res apporté s par le vaccin ou autofabriqué s sur injonction de l’ARN messager constituent un danger? Pour le vacciné, c’est é videmment une possibilité à ne pas é carter. Pour le non vacciné, en revanche, je demande à voir. Selon une é tude que je vous ai dé jà cité e, les personnes vacciné es contre la grippe saisonniè re excrè tent six fois plus de particules virales que les non-vacciné es. Or, que je sache, leurs proches ou leurs mé decins ne sont pas particuliè rement accablé s chaque anné e par les Influenzae de type A ou B. Jusqu’à preuve du contraire, les vacciné s ne sont pas « contagieux » pour les non-vacciné s. Ce qui pourrait justifier l’anxié té, c’est bien sû r qu’ici, la proté ine Spike est isolé e de son support naturel, trafiqué e gé né tiquement et « bombardé e » massivement dans l’organisme des injecté s. Il n’est donc pas exclu que cette manipulation iné dite du vivant dé bouche sur des dé gâ ts collaté raux tout aussi impré vus, voire pré vus si l’on souscrit au ré cit d’une attaque bioterroriste. Jusqu’à plus ample informé, je m’en tiens pour ma part à une relative insouciance et je ne compte pas pré coniser la distanciation sociale par rapport aux vacciné s. J’ai vu ma vieille maman dimanche dernier et je ne me suis pas privé de la fê ter en la serrant dans mes bras. Dans les cercles ré sistants que je fré quente, je m’oppose é galement à l’ostracisme ou aux gestes-barriè res envers ceux qui ont cru à la « seule solution » vaccinale et se croient proté gé s. Il est vrai que, contrairement à Jean-Jacques Crè vecœ ur, je n’ai recueilli aucun té moignage cré dibilisant les « contaminations » de non-vacciné s par des vacciné s. Je suppose que mon appré ciation é voluerait si ç a devait changer et si on me rapportait de source sû re de tels é vé nements. Mais tant qu’à pré sent, je reste zen et suggè re de rester zen.

Une é tude critiquable

Une autre raison majeure de mon flegme est cette é tude du Salk Institute agité e comme un é pouvantail. Dans leur laboratoire, les chercheurs de cette institution vaccinaliste ont cré é un « pseudovirus » entouré de la couronne à pointes du sars-cov-2 et ont exposé un « modè le animal » à cet assemblage bricolé. Selon les auteurs de cette expé rience, les hamsters auraient rapidement dé veloppé des symptô mes assez typiques du covid, à savoir des lé sions des poumons et des atteintes vasculaires. Conclusion pé remptoire: la seule proté ine Spike suffirait à provoquer la maladie. Et du coup, beaucoup en dé duisent un peu vite que les é pines baladeuses seraient é galement dangereuses pour ceux qui s’y exposent par sé cré tions interposé es. Mais ç a veut dire quoi, « exposer un modè le animal »? Dans l’é tude, il est pré cisé que le maté riel proté ique a é té « administré » aux pauvres bê tes martyrisé es, ce qui signifie trè s probablement qu’il leur a é té injecté. C’est toujours pareil avec les expé rimentateurs sur animaux: ils soumettent leurs victimes à des procé dures purement artificielles et comme ils parviennent à les rendre malades, ils s’imaginent que ç a se passe comme ç a dans un contexte naturel. Mê me en é vacuant la question – pourtant essentielle – du stress infligé aux cobayes, le simple recours à la seringue est dé jà un biais expé rimental qui enlè ve toute valeur à ce type de test. Dans la vraie vie, les spicules ne pé nè trent pas un organisme vivant via une aiguille! Vous me direz que les laborantins ont aussi reproduit le sché ma en é prouvette, sur des cellules endothé liales « exposé es » à des proté ines Spike. Vu que les premiè res ont é galement beaucoup souffert, ils en concluent que le lien causal est confirmé et que le pé plomè re est vraiment un immonde sous-agent infectieux capable d’expé dier au cimetiè re. Halte là ! C’est un fait bien connu en science que les ré sultats obtenus In vitro n’ont souvent rien à voir avec ceux obtenus In vivo. Ce qui se passe dans un tube à essai ne permet pas de juger ce qui peut se passer dans la trè s complexe machinerie humaine. Les cellules cultivé es ont trinqué sous l’avalanche de proté ines piquantes? Et alors? C’est un peu comme si on vous enfonç ait dans un seul doigt des milliers d’é chardes à la fois. Je ne pense pas qu’ils vous viendrait à l’idé e de considé rer le minuscule bout de bois comme un pé ril en soi. Avec ce genre d’é tudes biaisé es à la base, on peut facilement inventer une menace imaginaire et construire toute la narration qui va derriè re.

Ne glaç ons pas notre sang!

Ma ré ticence à l’alarmisme tient aussi à mon scepticisme envers ce qu’on appelle la « piste vasculaire ». Selon cette version du narratif covidiste, la grippe covid serait vraiment exceptionnelle par l’ampleur et la fré quence des troubles thrombotiques soi-disant provoqué s par le virus. Or rappelez-vous ce que j’é crivais dans mon infolettre du 30 septembre: les micro-thromboses dissé miné es sont des symptô mes qui se manifestent aussi dans des pneumopathies virales ou bacté riennes « classiques ». Les troubles de la coagulation n’ont rien de trè s anormal dans un tableau clinique de genre grippal avec complications. Et d’ailleurs, la seule é tude qui a autopsié des cadavres de « covidé cé dé s » pour les comparer à des dé funts de 2009 (grippe H1N1) n’a rien trouvé de trè s insolite. Juste une dé formation lé gè rement plus visible des capillaires pulmonaires et un nombre plus é levé de micro-caillots sanguins en 2020. Et si ce phé nomè ne é tait simplement la ranç on du confinement et le reflet de la peur é prouvé e par les populations terrorisé es par les mé dias et les autorité s? Comme je le soulignais en septembre, la peur panique pé trifie un individu et la langue franç aise nous dit qu’elle peut lui « glacer le sang ». Les caillots, qui sont des sortes de pierres, sont la traduction somatique de ce ressenti de sidé ration. En ré pandant l’é pouvante, les dé cideurs ont certainement multiplié leur nombre chez des personnes pré disposé es. Et comme ceux qui ont trouillé s’empressent aujourd’hui de se faire vacciner, on ne doit pas s’é tonner que le vaccin provoque fré quemment de graves effets secondaires vasculaires lié s à la coagulation. Pour l’instant, je recommande la sé ré nité absolue par rapport à l’hypothè se des vacciné s « supercontaminateurs ». Le seul virus ré ellement contagieux est celui de la peur et celui-là, il faut vraiment l’é radiquer sans se laisser contaminer. Ne glaç ons pas notre sang inutilement!

Source: Né o Santé

 



  

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