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En conséquence, plus nous utilisons ces vaccins pour immuniser les gens au milieu d'une pandémie, plus le virus deviendra infectieux.En consé quence, " plus nous utilisons ces vaccins pour immuniser les gens au milieu d'une pandé mie, plus le virus deviendra infectieux". Et " l'infectiosité croissante s'accompagne d'une probabilité accrue de ré sistance virale aux vaccins". Bossche explique que les vaccins sont efficaces au niveau individuel, mais que dans l'ensemble, ils cré ent des risques é normes en raison de l'" é chappement immunitaire". En tant que dé fenseur des vaccins, Mme Bossche estime que les vaccins sont efficaces au niveau individuel et peuvent cré er une immunité contre l'agent pathogè ne visé. Toutefois, dans l'ensemble, la vaccination massive de grandes populations lors d'une pandé mie entraî ne un phé nomè ne connu sous le nom d'" é chappement immunitaire", c'est-à -dire que le virus dé veloppe des variantes qui sont immunisé es contre les vaccins disponibles. Cette adaptation du virus par sé lection naturelle se traduit par un spectre encore plus dangereux de souches virales qui s'é chappent du corps des hô tes et sont ré introduites dans la nature, dé sormais plus dangereuses que l'agent pathogè ne original que les vaccins é taient censé s stopper. Dans sa pré sentation, M. Bossche avertit que les vaccins covidé s " ne peuvent pas contrô ler la ré plication des variantes plus infectieuses du CoV et peuvent mê me entraî ner une fuite immunitaire". Il explique que l'" immunité inné e" est essentielle pour arrê ter le cycle de mutations et d'infections à l'origine des " trois vagues distinctes" de la maladie pandé mique. Pourtant, l'immunité inné e - l'immunité naturelle exprimé e par les personnes qui ne sont pas vacciné es - n'est absolument pas reconnue par l'establishment mé dical obsé dé par les vaccins et par les institutions politiques mondiales qui font actuellement pression pour une vaccination de masse à l'é chelle mondiale.
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