2. Qui sont les personnes clés derrière la grande réinitialisation? Que savons-nous de leurs croyances personnelles?

L'é lite qui promeut la Grande Ré initialisation est composé e des principales organisations mondiales, du Forum é conomique mondial de Klaus Schwab à l'ONU, de la Commission trilaté rale au Groupe Bilderberg, avec le soutien de leurs serviteurs des gouvernements, de la haute finance, des socié té s multinationales et les mé dia. Ce processus dure depuis des siè cles, mené par les grandes dynasties du capital telles que les Rothschild et les Rockefeller, qui s'immiscent fortement dans la politique des nations grâ ce à leur richesse incommensurable.

La matrice est essentiellement maç onnique, tant dans les principes qu'ils expriment que dans la haine qu'ils manifestent envers la religion, et plus encore envers Notre Seigneur Jé sus-Christ. Si l'on considè re les demandes promues par les partisans de la Grande Ré initialisation, on peut les retracer jusqu'à la triade de la Ré volution franç aise et de la franc-maç onnerie: liberté, é galité et fraternité. Tout catholique instruit par le Magistè re des Pontifes romains sait quelle subversion infernale est impliqué e par ces principes: la liberté signifie la ré bellion contre la souveraineté de Dieu et sa sainte loi; é galité met tout le monde au mê me niveau, le plus bas, niant les diffé rences et l'individualité de chaque personne, et surtout annulant la distinction fondamentale entre ceux qui reconnaissent le Christ comme le Dieu et Seigneur unique et ceux qui le rejettent; et enfin la fraternité cherche à é tablir une socié té dans laquelle les hommes peuvent ê tre frè res sans aucune ré fé rence à la paternité divine de Dieu ou à l'appartenance à la famille des racheté s dans le Christ.

Considé rons une chose importante: l'homme est fait à l'image de Dieu en ce sens qu'il reflè te, dans ses faculté s, les attributs de la Trè s Sainte Trinité: la puissance du Pè re, la sagesse du Fils, l'amour du Esprit Saint. La Grande Ré initialisation veut renverser cette correspondance connaturelle de l'homme avec son Cré ateur, Seigneur et Ré dempteur dans une parodie blasphé matoire: bouleverser sa mé moire, dé former son intellect et pervertir sa volonté.

Tout ce qui se fait au nom de l'idé ologie mondialiste a ce but non reconnu mais trè s é vident: il ne faut plus se souvenir de notre passé et de notre histoire, il ne faut plus savoir reconnaî tre le bien et le mal, il ne faut plus dé sirer la vertu et rejeter le vice; en effet, nous sommes poussé s à condamner le Bien comme intolé rant et à approuver le Mal comme une libé ration et une ré demption de la morale chré tienne. Et si Dieu est rejeté comme Pè re, il ne doit plus y avoir de paternité mê me dans l'ordre naturel, car la paternité naturelle est un miroir de la paternité divine. C'est pourquoi il y a cette haine thé ologique contre la famille naturelle et contre la vie à naî tre. Si Dieu n'est pas mort pour nous sur la croix, il ne doit plus y avoir de souffrance, plus de douleur, plus de mort, parce que dans la douleur, nous sommes capables de comprendre la signification du sacrifice et de l'accepter par amour de celui qui a versé son sang pour nous. Si Dieu n'est pas Amour, il ne doit plus y avoir d'amour entre les hommes mais seulement la fornication et la satisfaction des plaisirs, car si nous dé sirons le bien des autres, nous sommes amené s à partager avec eux le don le plus pré cieux que nous ayons, la Foi, et nous ne pouvons pas les abandonner pour tomber dans l'Abî me au nom d'un concept pervers de liberté. Ce ne sont pas des athé es; ils ne nient pas que Dieu existe; plutô t, ils le haï ssent, tout comme Lucifer le hait. et nous ne pouvons pas les abandonner pour tomber dans l'Abî me au nom d'un concept pervers de liberté. Ce ne sont pas des athé es; ils ne nient pas que Dieu existe; plutô t, ils le haï ssent, tout comme Lucifer le hait. et nous ne pouvons pas les abandonner pour tomber dans l'Abî me au nom d'un concept pervers de liberté. Ce ne sont pas des athé es; ils ne nient pas que Dieu existe; plutô t, ils le haï ssent, tout comme Lucifer le hait.

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