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Remarquable : de nombreux médecins (généralistes) flamands ne veulent pas d'un vaccin Covid-19 pour eux-mêmes. Différentes enquêtes parlent de 9 à 30 %1 2 3. Quelles pourraient être leurs raisons ? Voici quelques faits, le meilleur remède contre les fausses nouvelles. N'hésitez pas de vérifier vous-même les liens et les autres sources à la fin de cette fiche.
1. Le Covid-19 n'est en moyenne pas très mortel. La plupart des personnes infectées ne présentent aucun symptôme4. Même les personnes au-dessus de 85 ans survivent à l'infection dans plus de 90 % des cas5. Les personnes de moins de 70 ans ont un taux de survie de 99,95 %. En effet, le taux de mortalité par infection est de 0,23% dans l'ensemble et de 0,05% pour les personnes de moins de 70 ans.6
2. Pour réduire le risque de corona (sévère), un système immunitaire robuste est de la plus haute importance.Tout le monde, et en particulier les patients vulnérables (les personnes âgées et les personnes souffrant de troubles sous-jacents), peut soutenir son système immunitaire en adoptant un mode de vie sain : repos, exercice, contacts sociaux, alimentation saine, peu de stress ou d'anxiété7 8 ... Des études récentes confirment que la supplémentation en vitamine D peut faire une énorme différence dans le risque d'être atteint de corona et les complications corona et de mortalité : « Nous observons une corrélation très significative entre la prévalence de la carence en vitamine D et l'incidence de Covid-19 »9 10 11 12 13. Les vitamines A et C, le zinc14 15 16 et le sélénium sont également essentiels pour une bonne immunité.17 18
3. En cas de diagnostic de Covid-19, un médecin généraliste peut - contrairement à la croyance populaire - faire beaucoup pour éviter une hospitalisation. L'équipe de Docs4OpenDebate, soutenue par quelques 700 médecins, en donne un aperçu19 , tout comme notre site web20. L'hydroxychloroquine (HCQ) est simplement disponible en pharmacie et peut être utilisée (malgré une couverture médiatique négative) avec grand succès dans les premiers stades de la maladie, comme le prouvent et l'expliquent en détail de nombreuses études (posologie et combinaison avec le zinc et l'azithromycine)21 22 23 24. Il en va de même pour l'Ivermectine25. En mars, la virologiste Anne-Mieke Vandamme (KU Leuven) a même recommandé de fortes doses de vitamine C pour vaincre la maladie26. À l'hôpital, l'administration d'une très forte dose de vitamine D réduit le risque d'admission en soins intensifs de 96 %.27
4. Peu connu mais très important : une grande partie de la population possède déjà une immunité naturelle contre le Covid-19. Ceci est dû au contact avec le Sars-CoV-2 (le virus qui déclenche le Covid-19), ou avec un autre type de coronavirus des dernières années (beaucoup de rhumes sont causés par des coronavirus28, ainsi que par la maladie du SARS de 2003) : c'est ce qu'on appelle « l'immunité croisée ». Cette protection ne repose pas sur des anticorps mais sur l'immunité cellulaire (via les cellules à mémoire T), qui reconnaît les anciens agents infectieux même après de nombreuses années, contrairement aux anticorps qui ne durent que quelques années au plus (ou parfois quelques mois)29 30 31. 30 31. On estime que 70 à 85 % de la population est déjà protégée contre le SRAS-CoV-2 de cette manière32, soit bien plus que les 14 % qui auraient des anticorps33. Ceci fait de l'immunité de groupe un fait. Pour ce groupe la vaccination n'est donc plus nécessaire34.
5. Ceux qui reçoivent le vaccin peuvent encore transmettre le virus. C'est ce que disent les fabricants35, les chercheurs36, les experts gouvernementaux37 et même notre Premier ministre38. C'est parce que le vaccin ne protège pas les muqueuses des voies respiratoires, de sorte que la personne vaccinée peut continuer à propager le virus39. La vaccination par « solidarité » (pour protéger les autres) n'a donc aucun sens.
6. Efficacité des vaccins : le marketing de Pfizer qualifie son vaccin « d'efficace à 95 % », mais ce chiffre est très trompeur : il ne fait référence qu'au nombre total de cas confirmés de Covid-19 et calcule la réduction du risque relatif. Le vaccin aide-t-il vraiment à prévenir une atteinte du Covid-19 grave? Faites le calcul avec nous :
Selon ces données issues de l'étude du fabricant Pfizer lui-même40 41, leur vaccin réduit de 0,01% le risque de Covid-19 grave. Il faudrait alors vacciner environ 10 000 personnes pour prévenir un seul cas. Mais en réalité, ces chiffres sont trop faibles pour permettre de tirer des conclusions sensées (1 contre 3 cas). Ce qui est significatif, c'est que, sur la base des mêmes chiffres de Pfizer, on peut s'attendre à environ 50 effets secondaires graves du vaccin sur 10 000 personnes vaccinées, soit environ 55 000 sur l'ensemble de la population belge. 55.000 sur l'ensemble de la population belge. La réalité est probablement encore moins rose, car l'étude est sous le feu des critiques sur de nombreux points :
7. Ce qui nous amène aux dégâts causés par la vaccination contre le Covid-19.
8. Les vaccins Covid-19 de Pfizer et Moderna utilisent la technologie de l'ARNm. Cela implique l'insertion du code génétique d'un morceau du virus. Qu'est-ce que cela signifie pour le génome humain (ADN) ? Des recherches récentes (décembre 2020) suggèrent que cet ARNm peut être incorporé dans notre propre ADN via la transcriptase inverse et l'intégrase72 73. Les porteurs du VIH, en particulier, y seraient sensibles. Il s'agit d'une prépublication (pas d'examen par les pairs) mais cette étude donne toutes les raisons d'appliquer le principe de précaution. Le généticien moléculaire Christian Vélot (Université de Paris) est d'accord : « Pourquoi choisir une technologie inconnue et imprévisible? »74 Il développe les risques de cette technique d'ARNm, ainsi que ceux de la variante d'ADN recombinante, utilisant un adénovirus comme vecteur viral, utilisée par Oxford/AstraZeneca. Lorsqu'elle est utilisée à des fins thérapeutiques, cette thérapie génique a déjà provoqué une leucémie chez les enfants traités (comme chez les animaux de laboratoire)75. Une autre question qui se pose est, si ces techniques génétiques ne constituent pas la recette idéale pour les maladies auto-immunes : une réponse immunitaire est déclenchée contre les protéines produites par la cellule elle-même, ce qui fait que le système immunitaire pourrait alors attaquer les cellules saines76. D'autres fabricants utilisent des techniques plus conventionnelles, comme GSK, dont le vaccin est attendu plus tard dans l'année.
9. De plus en plus d'experts indépendants expriment leur grande inquiétude. Une sélection :
contre la corona n’est pas nécessaire et une vaccination des masses et extrêmement irresponsable vu les effets secondaires et les conséquences inconnus. »82 10. Certains groupes de patients nécessitent une prudence particulière : (1) Ceux qui ont fait l'expérience de Covid-19 ont déjà développé une immunité à long terme, à la fois par le biais d'anticorps comme par les cellules T et B-mémoire. Ces dernières protègent pendant de nombreuses années (voir point 4), même après que les anticorps aient disparu depuis longtemps : ceci est confirmé par une étude récente (Science, 6-1-202183). Ça n'aide pas, ça ne fait pas mal ? En effet, outre les éventuels effets secondaires du vaccin, les personnes qui ont déjà des anticorps courent un risque supplémentaire lorsqu'elles sont vaccinées, appelé « hyperimmunité », qui entraîne des complications supplémentaires84. Le dépistage préalable des anticorps (et même des cellules T, ce qui est moins courant) peut éviter des vaccinations inutiles. (2) Si une personne est déjà infectée, mais ne présente pas (encore) de symptômes - c'est-à-dire qu'elle est en « phase d'incubation » - la vaccination constitue un risque supplémentaire85. En cas de suspicion d'infection, il est préférable d'éviter la vaccination. C'est pourquoi les centres de soins résidentiels attendent souvent deux semaines après le dernier foyer de corona pour vacciner.86 87 (3) Les enfants, et ce pour trois raisons : 1 - Les enfants ne souffrent presque jamais sévèrement de Covid-19 et ne sont pas de grands propagateurs88. 2 - Le vaccin, comme mentionné ci-dessus, n'empêche pas la propagation du virus. 3 - Les effets secondaires peuvent frapper les enfants de manière très forte (mêmes doses pour un poids du corps inférieur).
LIRE PLUS SUR CORONA & VACCINATION ? Vous trouverez les références et hyperliens, tout comme le contenu des notes de fin de page ci-dessous ou dans la version électronique de cette fiche d’information : www.vaccinatieschade.be/content/corona-fact-sheet.
v.u. Preventie Vaccinatieschade vzw (Dr. Kris Gaublomme), Oude Baan 373, 3630 Maasmechelen
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